Exposé Aristote

différencie les registres de langue, au nom de la sacro-sainte règle de la bienséance (voir plus bas). ← Une certaine vision de la réalité : les classiques, obéissant à Aristote, veulent avant toute chose instruire leurs lecteurs. Or, pour instruire, il faut décrire la vérité. C’est pourquoi le classicisme s’attache à exposer la complexité de la vie psychologique et à analyser sans complaisance le comportement des hommes. Cependant la réalité est idéalisée, du moins stylisée pour plaire et frapper

où après l'avoir définit, il en donne l'origine et présente ses différents outils. Il porte également sur les figures de la rhétorique, la lecture rhétorique des textes et comment repérer les arguments dans un texte. Notre objectif est de vous exposé le contenu de cet ouvrage. I- Qu'est-ce que la rhétorique ? Olivier Reboul définit la rhétorique comme l'art de persuader par le discours. Le discours est toute production verbale, écrite ou orale , ayant un un début et une fin, et présente une

grâce aux autres, à vivre une vie affranchie de la nécessité vitale.    Collectivement, dans une société stable politiquement et prospère économiquement, les hommes peuvent jouir d’une auto suffisance qui leur serait refusée dans une vie sauvage. Aristote a souligné ce bienfait de l’existence sociale. «  Celui qui n’a besoin de rien parce qu’il se suffit à lui-même n’est pas un homme, c’est un dieu ».    Par la cité, par le travail solidaire, les hommes peuvent conquérir cette condition divine. En

Toute activité contrainte dont la fonction première est la satisfaction de ses besoins. Marx : Travailler est concevoir par la pensée et réaliser concrètement par la matière ce que l’on a conçu. Hegel : Le travail libère l’esclave de son maître. Aristote : Tant que l’on travaille pour satisfaire ses besoins primaires, on est esclave de la part animale de soi-même. Techniques : Invention d’outils, de machines et de procédés permettant de dominer la nature, de satisfaire nos besoins et de vivre bien

rechercher le plaisir en assouvissant ses désirs. Plus il connaît la satisfaction, moins il rencontre de frustration, c’est-à-dire la douleur et la peine, et plus il s'approche d'un contentement total, tant physique que mental. C’est ce que nous dit Aristote son texte  (citation) Tous les hommes rêvent d’être heureux durant toute leur vie car le bonheur n’est pas « l’œuvre d’une journée, ni d’un bref espace de temps ». Si on se base sur la morale, l’action qui nous permettra de connaître le bonheur

ARISTOTE Dans la Métaphysique, en A, 3, 983 a, Aristote distingue quatre causes pour expliquer que tel sujet acquiert telle forme : • Cause efficiente (motrice) kinèsis principe d’où part le mouvement • Cause matérielle • Cause formelle eidos • Cause finale telos Matière : sujet indéterminé et virtuel de toutes les déterminations Forme : raison qui réalise ces déterminations Naissance ou devenir (genèse) : union d’une forme avec un être capable de la recevoir ; être

ne parle pas de lui directement dans ce chapitre. Il décrit fondamentalement la vie des cannibales. Il le fait à travers des exemples de témoins historiques (Pyrrhus, Aristote, Platon) et le récit de témoins contemporains. Mais, en fait, il se montre comme témoin direct en s’identifiant totalement avec eux. Par exemple avec Aristote, en utilisant le discours indirect libre « (…) attirés par la bonté et fertilité du terroir, s’y en allèrent avec leur femme et enfants et commencèrent à s’y habituer

détaillé : Histoire de la pensée évolutionniste. Les hommes ont cherché l'origine de la diversité du vivant dès la période antique. L'idée d'évolution est déjà présente chez des philosophes grecs[6]et romains (Démocrite, Épicure, Lucrèce). Cependant Aristote, comme beaucoup d'autres, avait une conception fixiste du vivant. Cette vision est restée prédominante dans la pensée occidentale jusqu'au XVIIIe siècle. Les religions monothéistes ont diffusé cette idée fixiste. Les récits bibliques, en particulier

qu’il vient de voir. Dans la Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit la tragédie. Il y définit la mimêsis : il faut que les personnages soient une imitation des passions humaines aussi vraisemblable que possible. Aristote voit dans la tragédie un moyen pour l’homme de purifier l’âme de ses passions. Cette purification, ou catharsis vient de la pitié et la crainte qu’éprouvent les spectateurs envers les personnages de la tragédie. Dans la Poétique, Aristote dicte les règles du théâtre : règle

principe d’identité. Il est, par là même, le précurseur de la logique de l’identité. 2. Zénon d’Elée ou l’inventeur de la dialectique Dans Le Sophiste, dialogue consacré probablement à la dialectique et dont il nous reste que des fragments, Aristote déclare que Zénon, disciple de Parménide, est le premier à avoir inventé la dialectique. Mais en quoi consiste précisément la dialectique de Zénon ? Dans le Phèdre de Platon, dialogue sur lequel se fonde le témoignage d’Aristote sur Zénon, Socrate