Exposé Aristote

Andromaque la pièce de Jean Racine est composée d’une structure de cinq actes qui comprend plusieurs scènes, qui nous ramène au temps Antique. En acte I, on nous expose la situation dans laquelle se trouvent les personnages pour qu’on puisse comprendre le déroulement de l’histoire. Ceci nous mène jusqu’à la fin de l’acte III, on ne sait si Andromaque va épouser Pyrrhus, cela s’appelle la montée des périls. Andromaque est confrontée à un choix décisif ; soit elle meurt avec son fils, soit elle

qui sait discerner ce qui est réalisable et ce qui ne l’est pas. Utilisé avec ignorance le courage deviendrait alors témérité, un excès de confiance et un manque de peur. Ce n’est pas commun à tous les citoyens le désir de servir son pays en étant exposé à un tel danger. Ce courage militaire nécessite un dépassement de soi par rapport à sa peur face à l’ennemi. Pour oser se livrer à ce genre d’acte, le militaire doit d’abord être convaincu de la valeur de ce pour laquelle il accepte d’assumer ce risque :

de vérité absolue ». Il entre à l’École normale supérieure où il ne rejoint pas ses camarades dans la vénération des grands maîtres d’alors, que ce soient Taine, Brunetière, Sainte-Beuve ou Renan. Il lit les grands auteurs, intégralement : Platon, Aristote, Comte – et Kant qu’il aime beaucoup. Agrégé de philosophie, il commence à enseigner en lycée à vingt-quatre ans. Il collabore avec des journaux dès l’Affaire Dreyfus. Professeur à Rouen, il commence à publier dès 1906 ce qu’il appelle des « propos »

moyens et non comme des fins à respecter. Seule l’invention future de machines remplaçant les esclaves rendrait caduc l’utilisation de cette main d’œuvre servile : « si les navettes marchaient toutes seules, nous n’aurions plus besoin d’esclaves. » (Aristote, Politique) Les Anciens pensaient qu’il fallait avoir des esclaves pour se libérer de cette dépendance à l’égard de la matière, des besoins. En tant qu’asservissement à la nécessité, le travail est dévalorisé. Mais le travail a aussi un autre sens

la lunette qu’il venait de construire « sous l’inspiration de la grâce divine ». Ce geste allait révolutionner la connaissance du monde céleste. Dès lors, Galilée s’engagera corps et âme dans le combat pour le nouveau cosmos, pour Copernic contre Aristote et Ptolémée. Ceci l’entraînera dans un affrontement titanesque avec l’Eglise, pour la liberté de la recherche, contre tous les pouvoirs et contre toutes les Autorités. Enfin, vieux, condamné, presque aveugle, il reprendra le combat de sa jeunesse

droit public. Politique : Polis : la cité. On en déduit que la reflexion politique grecque commence dans le cadre de la cité. Cette cité c’est aristote qui en donne l’une des def les plus celebres au 4eme av JC : «  ce qui caractérise la cité c’est une sorte de communauté ainsi que la participation commune des citoyens à un systéme de gouvernement ».Aristote est la ref principale pour la cité, ce n’est pas qu’un philosophe ,c ‘est aussi un grd penseur pol , il aurait vecu entre 384 et 322 av JC. Il

La technique trouble-t-elle l'ordre des choses ? Aristote définit la technique comme « une disposition permanente acquise, créatrice, accompagnée de raison ». C'est à dire que la technique est une façon rationnelle d'ordonner des éléments matériels pour atteindre un objectif voulu : la réalisation d'une œuvre. C'est en cela que la technique est indéniablement humaine, elle a toujours été inhérente à l'homme et son humanité reste sa caractéristique première. C'est l'outil qui sépare l'homme de l'animal

induit donc que l'homme politique est une sorte de sage, de personnage infaillible qui impose par la force et l'autorité suprême. Au contraire, dans Le Prince de Machiavel, la politique semble constituer une pratique, une pure technique. L'auteur expose diverses méthodes qu'il faut savoir employer à tel ou tel moment, selon les situations, mais également selon les peuples. C'est alors la capacité à anticiper, à subvenir aux besoins de son peuple qui est essentielle au politique. La nécessité de l'action

souligner que le travail est aussi un devoir. En effet, dans nos sociétés les Hommes s’affirme grâce au travail qu’ils fournissent : que ce soit le sportif qui veut être le meilleur, ou le cadres qui souhaite présenter le meilleur projet. De plus, Aristote dit : « c’est parce que l’Homme est intelligent qu’il a des mains ». Ainsi la main humaine n’est pas qu’un instrument, mais elle conditionne l’intelligence, et donc, l’homme au travail fait valoir sa spécificité humaine : penser. Le travail n’est

propre volonté personnelle. Ainsi, pour le philosophe, l’état de nature n’est pas une entrave à la vie mais la racine d’un monde dominé par le chaos et l’anarchie. Mais cette vision reste pour le moins contesté. En effet, le philosophe John Locke, expose une vision des choses quelques peu différentes. Selon lui, l’état de nature permet la bonne cohésion de l’égalité et de la paix au sein des hommes et leurs sociétés. Il développe davantage en revendiquant le fait que l’homme est doté de moralité dès