Exposé Paradis Fiscaux

risques de blanchiment Evaluation les risques de blanchiment et de financement du terrorisme auxquels le cabinet est ou pourrait être exposé dans le cadre de ses activitésL’évaluation se base de ses clients, des services ou opérations proposés et les pays concernés. Exemples : centres offshores, e-commerce, professions libérales installées dans des paradis fiscaux, activités criminelles Les risques ont été évalués comme faible2. Identification et vérification de l’identité de chaque client Dans

de nous familiariser avec leurs clasification et fonctions et, enfin, d’identifier les difficultés que nous rencontrons dans leur traduction. Du point de vue applicatif, nous avons emporté des exemple concrets pour éclaire les poins essentiels exposés dans la partie théorique.Nous avons trouvé une diversité de matériaux choisi parmi différents supports de communication (presse écrite, télévision) et dans les oeuvres littéraires. Les objectifs de cette analyse ont été d’exercer l’identification

facteur géo | Peu opérant | II / recrutement * Communication * Présélection * Séléction * Intégration | Ex : la France ; Peu opérant Impacts/méthodes | P.O P .O | | | | III/ Formation | -Taxe professionnelle(volet fiscal dominant ) -impôt sur la masse salariale (1%) en France et au Maroc - | ------------- | ---------- | Impact sur le niveau d’exigence de la fonctions surtt la formation continue -Impacte le cout -Impacte la disponibilité | | Iv/Motivation

Exposé sur les inégalités sociales La démocratisation de la société française n’a pas fait disparaître les inégalités dans tous les domaines. Certaines d’entre elles se sont perpétuées même si elles se sont souvent considérablement atténuées. L es inégalités sont des différences qui se traduisent par un avantage ou un désavantage. Pour autant, la question de leur légitimité fait toujours débat : Peut on concevoir une société sans inégalités ? Ne s’agit il pas de la conséquence inévitable

Parmi les moyens financiers, nous retrouvons les ressources définitives, celles de trésorerie et celles extraordinaires. Mais nous attirons toute notre attention aux ressources définitives parce qu'elles comprennent les ressources fiscales et les ressources non fiscales. Comme l'impôt est la principale source de revenu dans un Etat, on part de l'idée que seule l'autorité politique peut satisfaire la demande de biens publics comme la sécurité publique et la défense nationale, extension du concept de

aux agents économiques pour faciliter leurs décisions ; apporter une couverture contre les risques de marché… Les marchés financiers ne sont pas des marchés comme les autres, ils sont caractérisés par une forte instabilité et sont donc davantage exposés aux crises. L'activité spéculative sur les marchés financiers participe à cette instabilité inhérente. Si la spéculation peut être considérée comme un instrument de régulation des marchés financiers (ou des marchés de biens financiarisés tels que

sont restés des freins au développement du pays en 2012. Les agences de notation ont dégradé la note de Chypre et le pays n'a plus accès depuis mi-2011 aux marchés financiers pour assurer son refinancement. Le puissant secteur bancaire est fortement exposé au risque grec. D'une manière générale, Chypre reste hautement dépendante de l'état de santé économique de ses voisins. Son  taux de chômage, longtemps inférieur à 5%, est passé à 7,8% en 2011 pour atteindre 9,5% en 2012. En ce mois de mars 2013

la volonté de bâtir des projets ambitieux est néfaste car ils profiteraient des avantages fiscaux et de production Pour nos riches bourgeois, la fiscalité est la raison évidente de leur fuite vers nos voisins Helvètes (environ 800 par an). Afin de payer moins d’impôts, les riches Français préfèrent ainsi passer la frontière, même de seulement quelques mètres (comme Voltaire), et profiter des avantages fiscaux des pays frontaliers. Les nouveaux riches n’ayant pas d’héritage important en France n’ont

L’INVESTISSEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT : Aperçu de quelques enjeux de politique fiscale en Afrique Mike Pfister Ce document de travail est diffusé en tant qu’élément de la documentation officielle pour la réunion ministérielle et la table ronde d’experts de l’initiative NEPAD-OCDE pour l’investissement en Afrique du 11-12 Novembre 2009. Il a été préparé conjointement par les secrétariats du comité de l’OCDE pour les affaires fiscales, du comité de l’investissement et du comité d’Aide au développement

des Banques (CFB). Celle-ci a droit de regard sur toutes les informations relatives à la relation bancaire. Le secret bancaire ne s'applique pas à la procédure pénale (les délits financiers - fraude fiscale, délits d'initiés, manipulation de cours - ne sont donc pas protégés). La soustraction fiscale est soumise à la procédure administrative, mais elle n'est pas protégée par le secret bancaire. En effet, si l'administration a des indices suffisants, elle peut obtenir la levée du secret bancaire.