Exposé Sur Schumpeter

preuve de la dépréciation du billet de banque, et, en 1815, l’Essai sur l’influence du bas prix du blé sur les profits et les cours des fonds publics, dans lequel, reprenant à son compte la théorie de la rente foncière, il en donne, le premier, un exposé systématique. En 1817 paraît son ouvrage principal, Des principes de l’économie politique et de l’impôt, qui sera publié en France en 1819, traduit et annoté par Jean-Baptiste Say avec qui Ricardo entretiendra une longue correspondance. Partisan

depuis R. Cantillon, à l'aube de la révolution industrielle, une réponse simple: l'entrepreneur est l'agent économique qui supporte le risque parce qu'il est inséré dans un environnement économique fluctuant et incertain. Puis J.-B. Say et J. A. Schumpeter formuleront l'équation suivante: entrepreneur = innovation. Cette innovation technologique ou organisationnelle ne pourrait-elle être sociale? L'entrepreneur n'est-il pas par définition social puisqu'il est inséré dans un environnement socialisé

relation, l’entrepreneur est celui qui établit des relations entre offreur et demandeur. Peuvent s’opposer deux visions de l’entrepreneur : Celle de Joseph Schumpeter qui va insister sur le rôle perturbateur de l’entrepreneur. Celle d’Israël Kizner qui va montrer comment l’entrepreneur résorbe les déséquilibres du marché. La vision de Schumpeter : l’entrepreneur est un peu le surhomme de Nietzsche, monteur d’une dialectique qui est la vie même de l’économie. C’est « l’agent principal d’une destruction

apporter quelques précisions. Les approches des définitions par nos économistes et sociologues du XX è m e et XXI èm e siècle. La compréhension que nous avons de l’entrepreneuriat doit beaucoup à l’économiste Joseph Schumpeter très cité dans de nombreux essais sur l’entrepreneuriat. Pour Schumpeter (1950), « un entrepreneur est une personne qui veut et qui est capable de transformer une idée ou une invention en une innovation réussie ». L’entrepreneuriat conduirait à une « destruction créatrice » dans les

fut jusqu'à sa disparition en 1995 l'un des chefs de file des économistes libertariens américains2. On lui doit, notamment, une monumentale histoire de la pensée économique, qui a surclassé l'œuvre, classique dans ce domaine, du grand Joseph Schumpeter, lui-même autrichien (1883-1950)3. Il existe même aux États-Unis un Institut Mises, situé à Auburn (Alabama), 1. Saïd Rohaine, Un paradoxe : réticence au système des prix chez les économistes. Faits et explications, thèse de doctorat de l'université

écoles "entrepreneuriale" et "configurationnelle". Il faut bien reconnaître que, si la première a connu ses heures de gloire à l'époque du capitalisme industriel où l'on valorisait l'intuition, le génie aventurier de certains capitaines d'industrie (Schumpeter), elle ne figure plus, aujourd'hui, parmi les tendances dominantes de la réflexion sur la formation des stratégies: celle-ci s'est, depuis lors, considérablement complexifiée et le simple appel aux talents de visionnaire du manager n'est plus de

plus simple, pense-t-on, consiste à demander aux intéressés de se situer eux-mêmes dans la grille des C.S. Ce procédé serait évidemment le plus économique, mais il suppose une connaissance des définitions précises qui est rarement réalisée, et il expose surtout à des déformations dictées par un sentiment d'appartenance tout subjectif : à tort ou à raison, l'opinion attribue un « standing » différent aux catégories... On part d'une question sur la profession, mais, nous allons le voir, rien n'est

en Angleterre, collègue et amie de John Maynard Keynes, à Joseph Schumpeter, économiste d’origine autrichienne, professeur à Harvard dans l’autre Cambridge, aux États-Unis. Selon Joan Robinson : « When Industry leads, finance follows », autrement dit ce qui compte c’est l’industrie, la finance n’est bonne qu’à mettre de l’huile dans les rouages de l’industrie pour la faire fonctionner, mais elle n’est pas essentielle. Joseph Schumpeter, quant à lui, écrit que « les services que rendent les intermédiaires

depuis R. Cantillon, à l'aube de la révolution industrielle, une réponse simple: l'entrepreneur est l'agent économique qui supporte le risque parce qu'il est inséré dans un environnement économique fluctuant et incertain. Puis J.-B. Say et J. A. Schumpeter formuleront l'équation suivante: entrepreneur = innovation. Cette innovation technologique ou organisationnelle ne pourrait-elle être sociale? L'entrepreneur n'est-il pas par définition social puisqu'il est inséré dans un environnement socialisé

1.2.3. Les théories de la croissance économique : Après avoir cerné la définition, formes et types de la croissance économique, on passe maintenant aux théories de la croissance économique « les différents courants théoriques », nous pouvons exposer les théories de la croissance économiques telles qu’elles sont définies par les grands courants de la pensée économiques. Les théories explicatives de la croissance dans leurs variantes sont relativement récentes dans l’histoire de la pensé économique