Exposé Sur Socrate

2 2) La rhétorique des sophistes 2 3) Socrate 2 II. Les grands thèmes de Phèdre 3 1) L’âme 3 2) Le monde des Idées (intelligible) 3 3) De l’amour à la philosophie 4 III. La parole dans le Phèdre 4 1) Les formes de la parole 5  Le dialogue 5 Le caractère théâtral de la parole 5 Les paroles mises en abyme 5  Les trois discours 6 Le discours de Lysias 6 Le premier discours de Socrate 6 Le deuxième discours de Socrate (palinodie) 7 Conclusion 7  Les mythes

sagesse. Pour illustrer cette idée, Kant se sert du philosophe Socrate, grec antique, qui a été longtemps opposé au sophisme; c'est à dire une argumentation fallacieuse, qui n'est pas valide au sens de la logique. Kant y fut également opposé, puisque le sophisme utilise la force de la persuasion (de l'influence) plutôt que de la démonstration raisonnée. Ainsi, la réaction de Socrate face aux marchandises illustre cet éloge de la sagesse: Socrate, plutôt que de déplorer le fait qu'il ne possède pas toutes

Dans l’Apologie de Socrate, Criton questionne Socrate sur sa décision de ne pas s’enfuir, car cela lui semble absurde sachant que ce dernier risque, de manière injuste, la peine de mort. Cependant, Socrate lui répond que s’échapper serait une forme d’injustice aussi, il rajoute qu’il ne faudrait jamais répondre à l’injustice par l’injustice, ni de faire de mal à qui que ce soit, même pas celui qui nous en a fait. Criton ne semble pas être du même avis initialement et croit que s’échapper n’est pas

75 e-75 a Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s’enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est de savoir si il existe une ou plusieurs vertus. Il définit donc l’essence d’une chose. En passant par la définition de « figure » et de « rondeur » Socrate tente d’expliquer à Menon si il existe une ou des vertus et pourquoi. Il

Commentaire du Phèdre Iere Partie (p 146 à p 150) • De « c’est ici qu’en voulait venir » à « comme l’huître dans sa coquille » : Après avoir exposé dans le commentaire d’avant les trois formes de délire inspirées par les Dieux (délire prophétique inspiré par Apollon, délire cathartique inspiré par Dionysos, délire poétique inspiré par les Muses), Socrate en ajoute une quatrième. Platon nous parle ici de la réminiscence et de la 4e forme de délire. Réminiscence signifie ressouvenir, se remémorer

soigneusement peser ce qui y est exposé ». Il demande ensuite de pratiquer la meilleure lecture possible, on pourra alors s’apercevoir que l’œuvre recèle une « substantifique moelle » : un sens, une philosophie cachée (« arcane »). Pour lire Gargantua, l’auteur recherche un lecteur de bonne humeur, sans malveillance qui sache concilier la plaisanterie et le sérieux : un lecteur ayant un esprit pantagruéliste. I / L’art du portrait 1) Le portrait de Socrate. Ce portrait manifeste la dualité

l’exil (…) » Voltaire • Le syllogisme : raisonnement en 3 étapes = 1. Une vérité générale (=majeure) 2. Un cas particulier (=mineure) ; une vérité générale tirée des deux premières étapes (conclusion) ex : « les hommes sont mortels, or Socrate est un homme, donc Socrate est mortel » • Par déduction : du général au particulier • Concessif : concède puis disqualifie la thèse adverse • Par l’absurde ; ridiculise la thèse adverse (tautologie simplisme) 3) Les citations • Ont valeurs d’arguments

Platon était un philosophe grec, disciple le plus célèbre de Socrate, on estime qu’il est né en 424 a Athènes avant JC et meurt en -348. Platon n’a à proprement parler, jamais entrepris l’écriture de sa biographie, et celles qui ont été écrites par d’autres auteurs ont été posthumes, les informations quant à sa vie sont donc minces et la plupart ne sont qu’hypothèses. Néanmoins l’ensemble des sources s’accordent sur le fait qu’il appartenait à l’une des plus illustres familles athéniennes. Socialement

claire de nos pensées, elle peut s’adapter à l’expression de nos idées. Règle 1 : c’est la règle de la clarté et de la distinction : on peut admettre ce qui est clair et distinct, c’est-à-dire indubitable (ce dont on ne peut pas douter). Notre exposé doit s’appuyer sur ce qui est clair pour l’autre. Règle 2 : face à un problème compliqué, on doit décomposer en parties claires et distinctes sans aller jusqu’à le compliquer. De même pour l’exposition de nos idées. Règle 3 : règle de recomposition

LE BANQUET ------------------------------------------------- Platon Récit de la réunion d’amis en -416 (mort de Socrate en -399) chez le poète tragique Agathon (victorieux au concours de tragédie) Invités : Phèdre, Pausanias, Eryximaque (médecin), Aristophane (poète comique), Socrate Chacun prononce un éloge de l’Amour ------------------------------------------------- Structure Préambule + texte + prologue 3 parties : - ensemble des 5 premiers discours (éloges de Phèdre, Pausanias