Extremisme Fanatisme

importance au progrès scientifiques | Auteur : Voltaire (1694-1778) François Marie Arouet, dit Voltaire, est un écrivain et philosophe qui est le symbole des Lumières. Son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. Il est cependant déiste (il croit à un seul dieu : Le Grand Horloger) et son idéal reste celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Il agit auprès des Lumières en se

traditions, et il s’engage par ses écrits, comme les autres philosophes, dans la lutte contre l’ignorance, les superstitions et le fanatisme. A la fin de son exil, il est élu à l’Académie française, et publie Zadig, le premier de ses contes philosophiques, dans lequel il développe les thèmes qui lui sont chers, en dénonçant la vanité, l’égoïsme des puissants, le fanatisme religieux, responsables de bien des misères sur la Terre. Installé près de Genève, il publie Micromégas, son deuxième conte philosophique

| |● |Présentation |Voltaire (1694-1778) : symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, combat contre | | | |« l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. | | | |Principales œuvres : Candide, Lettres philosophiques, Micromégas | | | |1736 , Siècle

son auditoire. - l’homme est avant tout intéressé par la rhétorique : c’est un orateur (ligne 5) dont l’expression la bonne cause (ligne 6) suggère le fanatisme. Plus qu’homme de charité, il s’avère être celui du soupçon. - sa bonhomie sournoise (Mon ami, ligne 10) ne va pas durer. Le fanatisme du personnage s’exprime immédiatement : croyez-vous que le pape soit l’Antéchrist ? (lignes 10-11). - la haine va ensuite succéder à la bonhomie, marquée

provoquer le rire ( au lieu de l'émotion) pour dénoncer les travers de ses contemporains. Ce conte philosophique s'interroge sur la question de l'Homme face aux catastrophes naturelles, aux guerres, aux régimes tyranniques, aux peuples asservis, au fanatisme, à l'intolérance religieuse, et à l'absurdité de la condition humaine. Chapitre 1-16 = la fuite de Candide Chapitre 17-30 = la quête du bonheur Voltaire raconte le voyage de son personnage épistolaire, chassé du paradis terrestre de Thunder-ten-tronckh

possible. Pour Leibniz, le mal n'existe pas et n'est qu'apparence. L'enseignement de Pangloss (Leibniz) fait de Candide un esprit naïf (Candide = naïf), étroit => Voltaire condamne le dogmatisme (fanatisme philosophique qui réfute toute idée de critique et prone la vérité absolue) ainsi que le fanatisme religieux (inquisition) => Opposition entre l'optimisme de Pangloss (Leibniz) et le pessimisme de Martin (Pascal) Les idées s'opposent entre les deux théories sans faire prévaloir l'une plus que

à toutes les dimensions de la vie humaine. Cette foi dans le progrès, dans l’avenir, s’accompagne d’une critique systématique de l’autorité et des traditions. Le principe du libre examen joue dans le domaine religieux contre le dogmatisme et le fanatisme. • Un nouvel humanisme : L’épanouissement humain n’est plus une affaire de salut personnel. Pour le philosophe des Lumières, l’homme, ce sont les hommes. D’une part, c’est la société à laquelle il participe, qu’il cherche à aimer et à servir pour

l'homme et son destin tragique qui ont marqué les auteurs étudiés. Objet de plusieurs commémorations solennelles à l'occasion du 350e puis du 400e anniversaire de sa mort (1903-1953), Michel Servet a été, tour à tour qualifié d'hérétique, de martyr du fanatisme religieux, d'apôtre de la tolérance religieuse, de libre Annuaire EPHE. Section sciences religieuses. 1. 106 (1997-1998) 608 Michel Servet entre mémoire et histoire croyant, de libre penseur, de prototype du résistant à l'oppression pour

Voltaire indigné par la mort de Jean Callas se mit à rédiger ce texte comme plaidoyer pour obtenir la réhabilitation de Jean, mais son texte devint plus universel car Voltaire y vente tous les bienfaits de la tolérance et critique violement le « fanatisme religieux ». Mais dans le traité tout cela est exposé de manière très claire et est expliqué de façon explicite et logique. C’est d’ailleurs une des importantes qualités des traités, en effet puisque ceux-ci sont conçues pour éduquer ils sont claire

l'Inquisition et le fanatisme religieux, tout en étendant sa critique à l'optimisme de Leibniz, qu'il s'attache à critiquer dans toute l'œuvre. Pour cela, il utilise avec brio les possibilités offertes par l'ironie. Sommaire du commentaire composé: Chapitre 6 (L'Autodafé) - Candide Introduction Texte étudié Commentaire L'ironie de Voltaire Les différents procédés La mise en scène de l'autodafé Une critique acerbe du fanatisme religieux