Fable Pour Divertir

renarde, VIe siècle av. J.-C. Nous allons étudier une fable intitulée L'aigle et la renarde d'Esope, auteur du VIème siècle avant Jésus-Christ. Il est l'inventeur des fables, fabuliste grec donc précurseur de La Fontaine. Nous avons un court récit en prose à visée didactique qui a pour vocation de charmer et de faire réfléchir autant que de divertir en mettant en scène des animaux. Le corps du texte est l'histoire et la morale, l'âme de la fable. Dans un premier temps, nous étudierons la composition

retrouve ici le principe fondamental du Classicisme : plaire tout en instruisant. Le plaisir est-il compatible avec l’enseignement et est-ce que l’emploi d’une forme divertissante ne porterait-elle pas préjudice à la visée didactique ? Ainsi, si divertir et instruire sont une combinaison fort prisée, cette dimension peut constituer un obstacle à la réception de l’œuvre. Instruire consiste à faire acquérir des connaissances, amener quelqu'un à se modifier en lui faisant trouver des raisons de le

lumières avait été traduit en français en 1644, mais surtout c'est sa propre personnalité que nous découvrons davantage. [ pour en savoir plus sur La Fontaine, cf. site : http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/deuxpig.htm ] Les deux pigeons Cette fable retrouve cependant un thème chez aux écrivains antiques, depuis l'Odyssée d'Homère, celui du “nostos”, du retour plus important que le voyage lui-même, fondé sur la double valeur symbolique de l'animal choisi : le pigeon, s'il est “voyageur”, est aussi

Entraînement à la dissertationEntraînement à la dissertation Application de la méthode Parcours « Pensée et imagination » Œuvre : La Fontaine, Fables, livres VII à XILe sujet  La Fontaine s'interroge au début de sa fable "Le Pouvoir des fables" (VIII,4) : "La qualité d'ambassadeur/Peut-elle s'abaisser à des contes vulgaires ?". On peut prolonger cette interrogation en se demandant dans quelle mesure les fables et "autres contes vulgaires", pleins d'imagination, sont efficaces pour offrir

Martin Augoyard Dissertation de Français 103 Les auteurs du XVII ème siècle ont trouvé comme moyen de divertir pour faire passer leurs messages. En effet, les auteurs du classicisme sont des moralistes qui prônent une philosophie fondée sur la raison et la mesure et traitent des moeurs, des actions et des comportements humains. L'un des plus célèbres auteurs de ce mouvement littéraire est Jean de La Fontaine et est considéré comme le plus grand fabuliste de tous les temps. Dans son second

efficaces pour défendre des idées ou d’autres formes d’arts peuvent atteindre ce but ? Il existe deux genres d’argumentation, l’argumentation directe et l’argumentation indirecte. Certains genres argumentatifs peuvent néanmoins avoir pour simple but de divertir sans l’optique de lutter pour ses convictions. Les formes d’art, elles, sont variées et obéissent à plusieurs buts ; il en existe 7 : l’architecture, la sculpture, la peinture, la musique, la danse, la poésie et l’art cinématographique. Nous nous

argumentative et didactique, allégorique, rédigé en vers ou en prose). On peux aussi voir que c'est une fable (court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique (qui comporte un enseignement, qui cherche donc à instruire). Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La fable s’inscrit dans le genre de l’apologue.). ● Registre : Registre comique / satirique : Le registre

parle d'une histoire de meurtre, dans la quelle le meurtrier traque ses victime et les abat pour ce divertir. Cependant dans cet extrait c'est au contraire un de habitant du village, Frédéric qui va suivre le meurtrier jusqu'à sa maison. Le prédateur est devenue la proie. On peut donc pensé à travers cette scène que tout un chacun, comme Frédéric peut devenir le prédateur, et donc tuer pour ce divertir. Cette œuvre nous fait donc réfléchir sur l'homme et sur son divertissement. Mais également sur la

pour divertir. Fable : étymologie : nf 1155 vient du latin « fabula » = récit, propos, d’où : « récit mythologique, allégorique, conte, apologue » Français classique : fable apparait au milieu du 12 au sens de récit imaginaire, d’histoire et d’allégation mensongère. Le sens de petit récit moralisant qui met en scène des animaux est lui aussi ancien (1180). Au 17, le mot désigne la mythologie de l’antiquité païenne. Dérivés : fabliau : nm : fin 12 correspond à l’ancien français fable et

Fontaine, un orateur tente en vain de discourir avec le peuple athénien d’un sujet important à l’aide d’une violente argumentation directe. Mais voyant que personne ne l’écoute, il commence à conter une fable, le public lui accorde alors toute son attention. Cela amènerait-il à penser qu’une fable est parfois préférable à un essai ? II- Afin de déterminer les atouts que présente une fiction à visée morale, il est important, tout d’abord, de définir ses caractéristiques et intentions premières