Facilités linguistiques

 Sommaire 1. Introduction (p.1) 2 2. Langue, Dialecte, Pidgin, Créole et Frontières linguistiques (p.17) 10 3. Ferdinand de Saussure (1857-1913) (p.39) 16 4. La révolution chomskyenne (p.49) 20 5. La typologie et la grammaire fonctionnelle (p.69) 27 6. Les philosophes du langage : Austin, Searle et Grice (p.90) 38 7. L’analyse conversationnelle (p. 105) 44 8. L’interprétation des phrases : la phrase négative et l’ironie (p.117) 48 9. Le sens des mots (p. 129) 53 10. Aspects neurolinguistiques

UNIVERSITÉ NATIONALE ET CAPODISTRIENNE D’ATHÈNES Faculté des Lettres Enseigner le français langue étrangère à l’école primaire : méthodes et pratiques ACTES de la Journée d’étude du 21 octobre 2006 organisée par la Section de Langue française et de Linguistique du Département de Langue et Littérature françaises Textes recueillis par Argyro P RO S CO L L I et Kyriakos F O RA KI S Comité d’organisation Maria PAPADAKI Marie-Christine ANASTASSIADI Argyro PROSCOLLI Kyriakos FORAKIS Mem bres du Perso n nel

de l’information : il propose ainsi un model circulaire. 2°) Les modèles linguistiques La langue structure notre pensée et nous permet de communiquer avec les autres (outils flexible de communication humaine). Dans le langage ordinaire la parole est souvent désordonnée, l’implicite est souvent présent, parfois les phrases ne sont pas terminer et pourtant on se fait comprendre. Ex : A+ → à plus tard Le linguistique J.Obson attribut 6 fonction au langage : -expressive ou émotive : centré sur

prescriptives pour un système donné comme celles que l’on trouve dans les grammaires. L’usage est la variation par rapport à la norme adoptée par une communauté linguistique donnée. Le code est l’ensemble des conventions permettant de produire des messages. C’est une forme de communication qui n’est d’ailleurs pas forcément linguistique (ex : le morse est un code mais pas une langue). Ce code se distingue en deux catégories : o Le code oral, regroupant les unités sonores (la phonétique). On recense

est mis en relief par l’opposition « tout petits »/  « adultes » (l 3-4) et « sans aucun effort »/ « au prix d’un grand effort » (l 4-5). Le 2ème argument (l 6) se rattache au 1er : les enfants sont attirés par l’imitation donc ils ont plus de facilités pour la pratique des langues. Pour appuyer cet argument, il utilise un exemple à la ligne 7 : « les sansonnets et les perroquets. ». Ce sont des oiseaux qui aiment imiter, donc Erasme montre que l’imitation est naturelle. Ainsi l’étude des langues

lit etc. Nous voila donc condamnés à toujours regretter l’insuffisance du langage, et à nous détacher nous même de ce qui fait notre originalité, notre personne, en recourant, à contrecoeur , à ce langage impersonnel. Entrons-nous dans un monde linguistique, idéal, général, profondément distinct réel toujours étonnant. Il nous est en quelque sorte naturel, par notre tendance à la simplification, de devenir des êtres symboliques. Alors Bergson rappelle la cause de ce processus, et jette soudain la

sanctionner les graphies traditionnelles, de faire peu à peu des formes rectifiées l’orthographe de référence, à l’école comme dans les textes officiels. Pour aider à franchir cette nouvelle étape, le Conseil de la langue française et de la politique linguistique et le Service de la langue française rappellent ici les principales rectifications adoptées en 1990, celles qui, pouvant prendre la forme de règles assez générales, apparaissent à la fois comme les plus économiques et les plus productives. Des

de l’apprenant, elle orne ses apprentissages et ses expériences. Au cours de sa pratique l’apprenant est influencé par trois facteurs dominants; psychologique, linguistique et sociofamilial: la motivation d’apprentissage l’incite à aimer l’activité et à fournir plus d’efforts pour réussir son travail, il a besoin d’un bagage linguistique pour réaliser son activité de production écrite, l’encouragement de la famille, la vision de la société vis-à-vis des langues étrangères, ils jouent un rôle très

d’abord. Soit, en roumain : limbaje speciale, ce qui correspond directement au terme français de langages spéciaux. Ce terme ouvre un espace de réflexion sur la dimension à la fois linguistique (i.e. systémique) et langagière (i.e. discursive) de ces « lectes[2] », dans la lignée (entre autres) des recherches en linguistique juridique de Gérard Cornu (Cornu 1990[3]) – que j’assume sans réserves, mais ne se réfère pas aux seuls langages scientifiques et techniques[4] – ce qui ne me semble pas (ou : plus 

l’enseignant se doit de prendre en compte. Nous considérons que la compréhension de textes repose sur cinq ensembles de compétences qui sont simultanément requises au cours de l’activité de lecture : des compétences de décodage, des compétences linguistiques, des compétences textuelles, des compétences référentielles, des compétences stratégiques (régulation, contrôle et évaluation par le lecteur de son activité de lecture) (Cèbe, 2007 :1). Par-delà la diversité des paradigmes théoriques, notre