Facteurs Reussite Croissance 19ème Siècle

assurance tous risques, etc...) Besoins sociaux (société) → Appartenance/affection de sa famille/amis/etc... (Ex : un cadre supérieur : se rapprocher de la consommation des cadres, dépensés beaucoup plus) → L'estime (besoin de reconnaissance, réussite, d'être respecté, etc...) Besoins personnels → Ressenti individuellement → Besoins d'accomplissement de soi (s'épanouir, contrôler, besoins de sentir la vie) Pour Maslow, un individu ne peut pas atteindre les besoins du haut de la pyramide

DEFINITION SES Croissance économique : l'augmentation soutenue et durable (une ou plusieurs longues periodes) d'un indicateur de dimension significatif. On retient donc le PIB. La croissance est donc une notion quantitative et globale à long terme. Croissance extensive : elle est due à l'augmentation des facteurs de production = L + K. Augmentation de la pop. active (accroissement du facteur L) ou augmentation du nb de machines (accroissement du facteur K). C'est donc un accroissement quantitatif

Peut-on “mesurer” le développement ? (cf. [1], Sylvie Brunel). Laurie Le Rapport sur le développement humain de 1990 a remis en question l’idée selon laquelle le produit intérieur brut (PIB) était un moyen adéquat et suffisant pour mesurer la croissance économique, et a introduit un nouvel Indice de Développement Humain (IDH) permettant de mesurer les progrès réalisés par les pays du monde entier en termes de développement humain. Cet IDH met l’accent sur trois indicateurs que le Rapport de 1990

pétrole et la production intérieure ne couvre pas les besoins… pharaoniques du pays ! La consommation a augmenté et la production diminue. b/ Le charbon : des réserves généreuses . Les Etats-Unis sont le 2ème producteur mondial. . Une production en croissance depuis 1970 pour pallier à la faiblesse du pétrole. Des réserves très importantes (environ 40% des réserves mondiales avec des charbons de bonne qualité et d’extraction facile). . Une production localisée à 40% dans les Rocheuses (gisements récents)

la suite, on se socialise à l'objet. = Toute nouveauté suppose un travail de socialisation : il faut un habitus pour que les nouveautés pénètrent la société. * Trois périodes : → 17ème/fin 19ème : la consommation est réservée à des classes aisées, l'aristocratie puis la bourgeoisie montante. → Fin 19ème/début 20ème : essor d'une aristocratie flamboyante, « la classe de loisir ». → Les 30 Glorieuses (1945-1974, voir à nos jours) : plein emploi, diminution des écarts sociaux, propagation de produits

la naissance de la science économique à partir d'Adam Smith, c'est-à-dire à la fin du XVIII ème siècle, qui correspond à une période de grands changements: la révolution industrielle. En réalité, il existait déjà cette pensée classique, une certaine réflexion économique. A- Les réflexions économiques avant l'école classique. 1)Antiquité et Moyen-Age. Aristote est un philosophe du IV ème siècle avant J.C, il est à l'origine du savoir économique car il distinguait 3 sciences de l'homme: éthique

...........................8 Chapitre 2- Les déterminants empiriques des IDE financiers ..............................................23 Chapitre 3- la réactivation de la banque universelle dans le contexte de la dérégulation financière du XXIème siècle ................................................................................................36 Deuxième Partie- Le supermarché financier de Citigroup: un spectre très large d'activités bancaires projeté systématiquement sur de nombreux marchés

épicuriens. * La vertu des épicuriens est la Compassion. Ces 4 étiques s’arrangent assez bien avec le christianisme. B / Les éthiques marginales 1. Les Sophistes Pour les sophistes, le bien conduit au Bonheur et le bonheur conduit à la réussite. Le Bonheur, c’est avoir ce que l’on veut. C’est une étique pragmatique : les choses qui marchent sont bien et celles qui échouent sont males. La vertu est l’ambition. 2. Les Cyrénaïques Ils sont épicuriens dans le sens courant. L’idée

2 La croissance ou l’augmentation de la production agrégée . . . 1.2.1 PIB, valeur ajoutée et revenu . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 PIB nominal et PIB réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 La comptabilité nationale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Le chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.1 Le taux de chômage : définition et mesure . . . . . . . . 1.4.2 La relation population active totale - chômage . . . . . 1.4.3 La relation croissance - chômage

de l'Est ont des taux bien supérieurs (15% depuis la crise de 2008 pour les nouveaux entrants). Les pays anglo-saxons (Canada, GB, Australie, et Etats-Unis) ont un taux de chômage plus faible que celui d'Europe Continentale. Cela est lié à la croissance de la population active : elle reste différente entre les pays. Le chômage est un phénomène fondamentalement dynamique. Il résulte de flux permanents. Trois états sont possibles : emploi, chômage, ou non-participation à la population active