Faire Rire Pour Instruire

texte ou faire un commentaire littéraire, vous avez souvent besoin d’utiliser la notion de registre. Voici 10 registres que vous devez connaître et reconnaître. Apprenez-les.. 1. Le registre comique vise à provoquer le rire 2. Le registre pathétique vise à inspirer la pitié, la compassion, chez le lecteur par le spectacle des souffrances 3. Le registre tragique vise à inspirer la terreur ou le désespoir face au destin inéluctable, face à la fatalité 4. Le registre lyrique vise à faire comprendre

la Satyre de Mœurs. • La poésie satyrique s’inscrit dans une période de floraison de la poésie baroque : de 1598 à 1630 environ, de nombreux talents se font connaître. 2. les différentes inspirations A) la rhétorique • Pour toucher et instruire, l’auteur satirique utilise les différentes incarnations de l’orateur: il est tour à tour le conseiller, le juge, le prophète, le prédicateur,… • Il partage également avec cette discipline une stylisation voyante et une négligence qui a toujours

différentes situations, portrait à charge puisqu’il s’agit de démontrer en quoi Euphrosine est « vaine minaudière et coquette ». Le théâtre de Marivaux s’inscrit ici dans la démarche du « castigat ridendo mores », corriger les mœurs par le rire, instruire et amuser ; l’auteur s’emploie ici à démontrer comment la vanité influence les rapports sociaux, comment l’hypocrisie mondaine et la coquetterie cantonnent les personnes (et en particulier les femmes) dans des comportements factices. La cible

agaçante de l'élève, l'affolement soumis et défensif de Rose. Ces remarques devaient être accompagnés d'exemple précis et commentés pris dans le corpus. 2° L'origine du comique : Vous pouviez vous appuyer sur l'ouvrage de BERGSON évoqué en cours : LE RIRE. On attendait de vous que vous montriez votre connaissance des différents types de comique : de geste, de mots, de situation, de mœurs et de caractère. Des exemples de plusieurs natures pouvaient être puisés dans les trois textes. Comique de caractère

s’y prend pour avouer sa véritable identité (scène 6). Lisette déclare enfin à Arlequin qu’elle accepte de l’épouser (l. 13-16). C’est pour Arlequin l’heure de vérité, car il ne peut cacher plus longtemps qui il est. Aussi commence-t-il par faire preuve d’humilité en faisant des allusions au fort modeste parti qu’il représente : « Lisette.- Je regarde pourtant votre amour comme un présent du ciel. Arlequin.- Le présent qu’il vous fait ne le ruinera pas, il est bien mesquin » (l. 30-33)

l'assimilation. Elle est dédicacée à "André Antoine, mon maître, en signe de reconnaissance". - Cette pièce est une comédie : Pagnol à l'intention de faire rire mais elle a aussi une fonction éducative : Pagnol aborde un problème grave et philosophique : les rapports entre argent et morale . On y retrouve donc le grand principe des œuvres classiques : plaire et instruire. - C'est aussi un drame (mélange entre comique et sérieux) voire une tragédie : avec la mort de l'innocence. Ce qui fait donc son intérêt

types immortels solidement ancrés dans la réalité de leur époque mais dépassant leur intemporalité. Le but de la comédie de Molière est de faire rire et pour cela  il faut savoir utiliser tout ce qui provoque le rire. Molière a souvent recours au «  gros rire », celui de la  farce, les coups de bâtons...Mais si Molière tient à faire rire, il veut surtout instruire. En effet il était un fin observateur de ses contemporains et c’est en toute lucidité qu’il a pu constater que les hommes sont malheureux

joué. La lecture d’une pièce de théâtre n’est qu’un « pis-aller » (faute de mieux), le vrai objectif est la représentation théâtrale. Le principe de l’illusion théâtrale est une sorte de contrat entre les spectateurs et les acteurs : ensemble on va faire semblent de croire, pendant la durée de la pièce, à un monde qui n’existe pas.  I-LES ORIGINES Le théâtre est né en Grèce à la fin du VIème siècle av. J.-C. et surtout dans le courant du Vème siècle av. J.-C. Les premières représentations sont des

Comique => Faire rire ou sourire - Jeux sur les mots - Effets de chute, de rupture et de décalage - Répétitions mécaniques des mots ou de situation - Ironie - Imitation burlesque (sujet sérieux dans un style bas) Délibératif => Ouvrir un débat, discuter en vue de prendre une décision. - Articulations logiques explicites (hypothèse, cause, conséquence, opposition, but) - Argumentation serrée, raisonnements concessifs - Interrogations (adressées à soi-même ou a autrui) Didactique => Instruire, transmettre

terme date de 1734. On reproche à Marivaux ses néologismes, ses expressions (« tomber amoureux », «fictivement », « scélératesse ») l'utilisation abusive de pluriels («des humilités » au lieu de « l'humilité »). On reproche aussi à Marivaux de faire un théâtre sans action, réduit à un flot de paroles, de ne parler que d'amour. Contrairement aux comédies classiques, chez Marivaux la trame principale est très rarement un mariage contrarié et empêché entre deux amants (ex.de Tartuffe) et ses