Faire Son Devoir Est Ce Agir Moralement

A-t-on des devoirs envers soi-même?Svetlana Sauthier Mardi 19 avril - A-t-on des devoirs envers soi-même? Le devoir renvoie à l’ensemble des règles morales ou juridiques que l’on doit respecter. Le devoir se distingue, par définition, à ce que l’on fait spontanément et pose des limites à notre liberté. Les lois nous les imposent par le moyen de sanctions. Mais dans la mesure où nous aborderons ce sujet d’un point de vue philosophique, il ne sera pas question de savoir s’il existe effectivement des

Lorsque l'homme agit , il est censé agir de façon rationnelle et raisonnable. Mais l'homme peut-il se fier à sa raison? Au premier abord, l'homme est non seulement doté des capacités pour s'y fier, mais en plus il en a l'autorisation légale et légitime. Toutefois la raison peut être induite en erreur. Mais alors vaut-il mieux prendre le risque de se tromper ou ne pas écouter sa raison? N'y a t-il qu'une seule raison? Cette raison est-elle universelle ou bien change t-elle selon les époques et les

définie –par Kant notamment –la vie n’est en revanche ni une réalité, observable et indiscutable, ni une substance. Toute vie, en tant que vivant et vécu, a-t-elle des devoirs et droit au respect du fait de sa nature ? Toute vie est-ce tout organisme vivant ? Toute vie humaine ? Des valeurs telles que la liberté, le devoir, le respect donc, sont-elles l’apanage de n’importe quelle forme de vie ? Pourquoi respecter l’être humain d’une manière général ? En quoi cela influe-t-il sur sa manière

Le devoir et le bonheur.Faire son devoir, est-ce renoncer au bonheur ?Introduction.Le devoir est souvent caractérisé comme ce que l’on est tenu de faire, que cela nous plaise ou non.Le bonheur, à première vue, c’est la satisfaction totale des désirs.Partant de ces définitions, on peut soutenir que faire son devoir semble bien correspondre au fait de renoncer au bonheur. En effet, puisque le bonheur exige une satisfaction complète et que le devoir peut impliquer de ne pas satisfaire certains désirs

absence de morale peut donc faire perdre son humanité à un homme. L’homme, du fait de son imperfection est le seul animal capable d’adopter un comportement en contradiction avec lui-même. C’est pour quoi c’est le seul être vivant disposant d’un adjectif en contradiction avec sa nature : “inhumain”. Pourtant nous avons vu que l’homme est le seul animal à disposer de raison. Ainsi, être pour un homme, c’est devoir être. Comme le dit Kant : “J’agis conformément à ce que je dois faire pour être un homme, et

maître ? Nietzsche les appellera « surhommes », et parmi eux l’on peut nommer Gengis Khan, Alexandre ou encore César. Ce sont des personnes qui changent le cours de l’histoire. Par le fait d’avoir rendu l’obéissance innée aux hommes, l’on risque de faire disparaître les bergers en les plongeant dans l’hypocrisie morale. Dans un premier temps, nous verrons que l’Homme est conditionné à obéir, ensuite la critique de l’obéissance et enfin la disparition des grands Hommes. Nietzsche commence son

Le commun ne cesse de répéter que le bonheur est le but de la vie, qu’il faut donc tout faire pour être heureux, et qu’on peut estimer avoir bien vécu quand la vie qu’on a menée peut globalement relever de cette idée. La notion de but signifie qu'une volonté s'est déterminée par une représentation. Si le bonheur est le but de la vie, cela peut donc signifier ou bien qu'il y a un Dieu qui veut que la vie débouche sur le bonheur, auquel cas c'est plutôt du souverain Bien (union du bonheur et de la

se juger (capacité qu’il suppose présente en chaque homme – raison pour laquelle il se permet de les juger également). Dans la suite de son texte, Kant développe son argumentation. Il nous demande de nous rapporter à l’expérience que nous pouvons faire de notre dimension morale – parce que cette expérience, reposant sur le simple fait que nous sommes des êtres conscients, est universelle. Nous faisons tous l’expérience de notre caractère moral, ce dont témoignent quelques sentiments universels comme

Condition nécessaire de la liberté: affirmation de l'indépendance absolue de notre volonté, de notre faculté de choisir. Je suis libre en tant que je suis doué de libre-arbitre, que j'ai la faculté de choisir une chose plutôt que son contraire, de faire une chose ou non, d'affirmer ou de nier, de désirer ou non etc., sans que rien ne puisse limiter en moi un tel pouvoir. Descartes, Méditations métaphysiques (Quatrième méditation): C'est parce que nous faisons en nous l'épreuve d'un tel libre-arbitre

LA LIBERTÉ On devient libre, on ne nait pas libre on le devient en faisant des chois et en acceptant des contraintes EX : le pianiste pourra improviser, jouer, créer faire preuve de liberté dans la mesure ou il aura acquis un certain nombre de structure de contraintes et de codes Nos potencialité ne peuvent se developper que par le travail (la contrainte, la repetition), et c'est par cela que l'on peut acquerir une liberté de penser. Ce texte nous permet de dialectiser les notions