Fantastique Univers Réel

surmoi : l’inconscient Dans inception, 3 niveaux de conscience = 3 niveaux de rêve Problématiques : Le rêve : une fuite du réel, une fuite au niveau du temps Le rêve : une utopie ou un cauchemar Le rêve et le réel = quelle est la frontière Le rêve qui se nourrit du réel Les dangers du rêve : Don Cobb « est dans la lune », il ne fait plus la différence entre rêve et réel = univers virtuel Les pouvoirs du rêve, construction et imagination Citations : « Qu’y a-t-il de plus résistant qu’un idée 

du Nord, trois règles fondamentales : → combiner le réel et le virtuel, → de manière interactive (en temps réel) → en respectant l'homogénéité des perspectives La réalité augmentée au service des effets spéciaux Mais le premier film à avoir réellement marqué les esprits pour la qualité de ses incrustations numériques est Jurassic Park de Steven Spielberg (1993), dans lequel des dinosaures virtuels étaient incrustés dans un décor réel de parc d'attractions. Star Wars Épisode 1 (George

registre fantastique Le fantastique désigne des textes dans lesquels le héro est confronté à un phénomène étrange, inexplicable et angoissant. L’angoisse réside essentiellement dans l’impossibilité pour le narrateur et le lecteur de savoir si les faits inhabituels font toujours parties du réel ou s’ils relèvent du surnaturel (le horla pour le 6ème sens) Procédés : champ lexical de la peur, images, connotations et métaphores sinistres, macabres, effets de suspens. Définition fantastique et merveilleux :

récits symboliques menés chronologiquement dont les personnages sont généralement des animaux ou des personnages humains stéréotypés et permettant une transposition dans le monde réel. Elles puisent leurs thèmes dans les domaines publics et privés. L’une des fonctions de la fable est de transporter le lecteur dans un univers imaginaire où, par un juste retour des choses, il peut s’identifier à la situation évoquée et y réfléchir. La construction de la fable répond à un schéma simple : la situation initiale

distant de chez nous d’une vingtaine de kilomètres » ; ces choix dans la narration ont bien pour vocation à renforcer l’illusion de vérité en posant un contexte de façon détaillée, cette somme de petits détails qui participe à donner une base «réelle » à la restitution des personnages. Si l’histoire est mal ficelée avec des personnages incohérents, sans épaisseur et dans un style approximatif, il est peu probable que le lecteur puisse être capté par l’œuvre. II. Une adhésion empathique vis-à-vis

Pour tenter de définir le nonsense, on peut procéder par la voie négative et le différencier de formes proches: le monde à l'envers, l'absurde, le paradoxe. Ainsi, on associe souvent le nonsense à la vision d'un monde inversé, négatif du monde réel. Il y a en effet ce type d'univers dans Alice au pays des merveilles, où Alice devient la servante d'un lapin. Mais suffit-il de présenter un monde à l'envers pour faire du nonsense? Le topos du monde à l'envers, que Bakhtine a longuement et brillamment

désormais plus admirable que l'homme comme modèle de perfection physique, intellectuelle et morale. Le baroque : Dans la seconde moitié du XVIe siècle, le conflit entre catholiques et protestants, la faiblesse du pouvoir royal, la découverte d'un univers dont l'homme n’est plus le centre favorisent une nouvelle sensibilité : le baroque. Fantaisie et l'exubérance des formes. Aussi le baroque se traduit-il par l'absence de mesure, la multiplication des effets, la liberté et la virtuosité de l'invention

entre dans la boutique d’un vieil antiquaire. Cette  rencontre pour le moins étonnante plonge le lecteur dans un univers tout à fait étonnant, qui rompt avec le début du récit et suggère une entrée en enfer. Nous pouvons alors nous demander de quelle manière cette scène crée une atmosphère annonciatrice de la suite. Dans un premier temps, nous étudierons en quoi celle-ci est fantastique ; dans un second temps nous nous intéresserons au portrait d’un antiquaire troublant. Texte : (pages 79 à 81 chez

le réel. On dit souvent que le roman est le reflet de la société. On veut dire par là qu'il est semblable à la société, sans être cette société pour autant : tout reflet est une illusion, une apparence, qui peut même être déformante dans certains cas. Cette illusion déformante est-elle le signe de l'insuffisance du roman, qui cherche à peindre le réel sans y parvenir tout à fait, ou au contraire la preuve d'un choix artistique, porteur de sens ? Nous verrons d'abord que le roman imite le réel social

l’action parallement oscillation du décor urbain entre reel et irreel : (brouillard qui envelloppe la vérité dans une sorte de primatisme où se confondent les rencontres et les images : celle de femme et d’un voyou, celle d’un amour personnifié Honte ressentie mais amour plus fort que le refus essuyé + attrait ravivé Comparaison mauvais garçon et la femme aimée Vision cauchemaresque : La rue brule Apparition associée a la déchéance, fantastique allié au sordide Au magnétisme de la 1 ère rencontre