Farce Métaphysique

appliquer les mathématiques ou autres sciences abstraites. Ce texte de Kant qui démontre que la physique doit s'effectuer par l'observation et par la raison propose une ouverture sur ce qui dépasse la physique, à savoir : la métaphysique. La question de savoir si la métaphysique est une science sera le problème débattu dans la suite du texte. La définition de la physique en tant que science préoccupera Kant jusqu'à la fin de sa vie, puisque dans les Opus postumum3, il écrira : « Qu'est la physique

celui de la triste vie sociale et des exigences quotidiennes est corrompu par le péché, le désir, la concupiscence, l’hypocrisie ou, pire encore pour le poète, « l’Ennui » . Par « Ennui », Baudelaire désigne le « spleen », cette forme de déprime métaphysique qu’il éprouve devant le monde humain. Le poète « s’ennuie » à chaque fois qu’il ne touche pas l’Idéal : il entre dans une profonde déprime lorsqu’il n’est pas déchiffreur des symboles qui renvoient au macrocosme, au monde spirituel. Cette réalité

et de la theorie de Darwin. Le mecanisme de variation aleatoire ne touche ici que les genes au cours de leur replication. Genes qui vont subir des modifications, des melanges, des mutations, des recombinaisons, etc. 1 p. 11-12. 2 ARISTOTE, Metaphysique, ƒ¦8, 1050a 4-24. David Bouchet 6 / 9 Mais la fabrication des cellules, quant a elle, ne serait pas aleatoire. Elle serait entierement determinee par les genes. Le neodarwinisme apporte donc un determinisme totalement absent du darwinisme.

celle-ci doit continuer à chercher les propriétés structurelles des organismes, c'est-à-dire à traiter le vivant comme elle traite l'inerte ; mais elle ne saurait rendre compte de la véritable unité de la vie. Cette unité, seule la philosophie ou la métaphysique, autrement dit l'intuition, est à même de la restituer. C’est ainsi qu’à défaut de pouvoir la définir à partir de son intelligence, l’homme tente quand même de lui donner un sens, c’est un besoin vital. Cette tentative est une façon pour l’homme

nécessaire qui est Dieu. Tout ce qui commence à exister a une cause. L'univers a commencé à exister. Donc l'univers à une cause, on peut soutenir, un argument de type métaphysique (par exemple "rien ne peut surgir du néant») Cela a plus d'une forme. Les premiers se produit chez Platon (Lois, livre X) et Aristote (Métaphysique, livre VIII) et souligne la nécessité d'expliquer la cause du mouvement. En supposant que le repos est naturelle et le mouvement n'est pas naturel, ces penseurs sont arrivés

travail et l’éloignement de la folie des grandeurs. Il faut être utile, discret et se contenter de peu : déjà se dessinent les bienfaits du fait de « cultiver son jardin ». Famille et travail sont au cœur de ce mode de vie, bien au-delà des débats métaphysiques qui agitent l’homme. C) Conclusions de l’ouvrage Ce chapitre final se conclut sur deux idées principales : - la condamnation de l’optimisme et du déterminisme qui ont dominé l’œuvre, avec les personnages de Pangloss et Candide - la mise

 Les premières pages de la métaphysique affirment que le genre humain vit de raison et d'art. Aristote touche là une des propriétés qui différencient l'homme des autres animaux. Ceux-ci agissent par instinct naturel, tandis que l'homme règle ses actes sur des jugements rationnels. Cela lui permet d'acquérir des gestes aisés et harmonieux dans l'expression artistique. Aussi l'art se définit-il comme un ordre particulier permettant à l'activité humaine d'atteindre une fin précise, à l'aide de moyens

effet qu’est-ce que le réel ? Ce que nous ne cessons de viser dans le langage, dans la perception, dans les sciences sans doute ; mais c’est toujours à travers des médiations que nous le saisissons. L’immédiat nous est refusé. Seule une intuition métaphysique pourrait nous le révéler et si Bergson prétend qu’elle est une possibilité humaine la preuve de cette possibilité n’a pas encore été administrée de manière convaincante. Nous saisissons le réel à travers des élaborations conceptuelles, des instruments

existence. La mort d’autrui nous touche ; la mort nous interroge (y a t-il quelque chose au-delà ? où vont ceux qui nous quittent ?), Comment mourir ? Toutes ces questions sont à l’origine de nombreuses tentatives de réponses : philosophiques, métaphysiques, mythiques, et la psychanalyse ayant conclus à l’irreprésentable de la mort. L’heure de la mort est pour chaque humain, le mystère, le secret le plus intime ; et, le temps qu’il reste à vivre à une personne « condamnée par la médecine », lui

conscients. S’ils parlent fort bien de sciences ou de métaphysique, ces microbes hélas, sont plus inquiétants lorsqu’ils causent de massacres et d’un soit disant pouvoir infini qu’un dieu leur octroya un jour. Effrayés et déçus par ces petits monstres grotesques et imbus d’eux-mêmes, les deux géants reprennent leur route interstellaire en laissant tout de même à la Terre un livre, qui apparait finalement vierge aux terriens. Enfin la métaphysique est vaine parce que l'homme ne peut trouver de solution