Fascination Le Clézio

Mondo dé pour la cl Re • • • • 5 se de Le récit s d’aventure e as com man et trois autres histoires J.M.G. Le Clézio Édition de Marianne Chomienne Mondo Lullaby Celui qui n’avait jamais vu la mer Les Bergers Ils s’appellent Mondo, Lullaby, Daniel et Gaspar. Épris de liberté, ces enfants-voyageurs ont quitté l’univers des adultes pour partir à la rencontre de la nature et vivre en harmonie avec le soleil, la mer, ISBN 978-2-7011-5256-1 224

A e cet égard, le personnage adolescent investit de plus en plus les récits littéraires. Âge de fascination, l'adolescence, dans ls éaits romanesques, infère une période e "0. Ducrot et T. Todorov, Dictionnaire encyclop6dÏque des sciences du langage, Paris, Seuil, 1972, p. 286. -- de révolte où le personnage suggère implicitemant l'enfance ou renvoie à une figure en devenir. Le Clézio, dans un article sur Réjean Ducharme, fait remarquer à propos de l'adolescence : La plus grande aventure

théorie du genre Ulrich Beck ds La société du risque ? A l’aide de 3 reproductions de tableaux de 3 peintres représentatifs du mvmnt, définir : l’impressionnisme, l’expressionnisme, les nabis, l’art nouveau, le fauvisme. Lecture : Le chercheur d’or Le Clézio, Tournier Vendredi ou les larmes du Pacifique, Perec W ou le souvenir d’enfance, Philip Roth La tâche, Ionesco Le roi se meurt ou Rhinocéros, Beckett En attendant Godo ou Fin de partie… Baudelaire : éloge de l’imagination plutôt que de la copie,

sous-titre au Rouge et le Noir « Chronique de 1830 », et Zola, bien plus tard, fera l'« histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire » : il y a là un projet « scientifique » qui ne doit pas faire illusion, mais qui montre bien la fascination qu'exerce l'histoire sur les esprits du temps. Cantonné dans un univers masculin (quand la réalité politique l'était aussi), le roman historique évolue dans l'entre-deux-guerres, qui voit changer le statut de la femme. Des romancières de l'histoire

un songe et les songes sont des songes », fait dire Calderon à son Sigismond. La vie a ceci de commun avec le rêve qu’elle est brève, pleine d’illusions, inconnaissable, futile. Mais sa matière fragile suscitait également un réel pouvoir de fascination. Le poète fixe la matière du rêve, et se sert de ce dernier pour figurer l’insaisissable. D O S S I E R © G A L L I M A R D DOSSIER PÉDAGOGIQUE LE RÊVE « Je me perdis plusieurs fois dans les longs corridors, et, en traversant

professeur, ce qui donne lieu au voyage au centre de la Terre. Sa nature peu téméraire et froussarde contraste avec la rigueur de Hans et le courage de son oncle. Le spectacle qu’il observe dans les entrailles de la Terre exerce sur lui une étonnante fascination. On découvre alors ses qualités de jeune scientifique passionné par la géologie et l’évolution. Ses compagnons d’aventures lui sauvent à plusieurs reprises la vie. Ses nombreux évanouissements fragmentent la narration du récit, ce qui renforce

vie, une « félicité » que lui procure l’art. Dénonciation de préjugés sociaux qui naturalisent la condition sociale, ce portrait corrosif est en même temps une exaltation de l’art. • 186 Texte 7 J.-M. G. le Clézio, Ritournelle de la faim ❯ p. 444 1. Situation du texte Le Clézio s’est inspiré de sa mère Simone pour brosser le portrait de son héroïne Ethel Brun. Elle est la vraie destinataire de la dernière phrase du roman rédigée en forme de dédicace : « J’ai écrit cette histoire en mémoire

thématique du trésor dans la littérature : L’Ile au trésor, Le Comte de Monte-Cristo, Le Petit Poucet, ou encore Hansel et Gretel. Autre variante possible : le pays utopique où l’on ne manque de rien, tel l’Eldorado de Candide, ou Le Chercheur d’Or de Le Clézio. Ajoutons également la thématique du hasard : l’argent est souvent associé à la fortune, c’est-à-dire au hasard, à la roue qui tourne, à ce dieu Plutus, personnification de la richesse qui distribuait en aveugle les biens… On joue au loto et la publicité

semble réinventer continuellement le monde au gré de ses désirs, de sa peur ou de sa haine, jusqu’à fabriquer des figures monstrueuses, hybrides. (…) le monde du rêve est ici très proche du mythe, car la liberté de l’imaginaire est totale"1 écrit Le Clézio, soulignant ainsi que dans cette vacillation des frontières ontologiques provoquée par Maldoror, c'est notre monde tout entier qui bascule dans le domaine de l'imaginaire et du rêve, domaine où est permise toute aberration monstrueuse et où la morale

communauté francophone et essaie d’éliminer les définitions étroites des compartiments de la littérature francophone. Ses signataires, quarante-quatre écrivains, parmi lesquels Tahar Ben Jelloun, Edouard Glissant, Nancy Huston, Michel Le Bris, JMG Le Clézio, Amin Maalouf, Eric Orsenna, Jean Rouaud o Dai Sijie, entre autres, déclarent la mort de la francophonie et soulignent que le temps est passé où les langues étaient “nationales”. Et cela, à cause de l’émergence d’une littérature en langue française