Fatwa

tous les maux et de tous les dangers. A quoi rime donc cette minicroisade digne d'un pamphle taire de bas e tage? La reconnaissance litte raire ne lui suffit-elle pas? Aspire-t-il a un statut de star mondiale a la Salman Rushdie, provoque par une fatwa gratuite e mise par un imam du Pakistan ou du fin fond de l'Egypte? Serait-il ravi de voir dans tous les JT du monde sa photo brïle e et son nom scande par des foules manipule es? Ou bien tout ce cirque ne seraitil qu'un r`glement de comptes familial:

intégrité physique. Ces salafistes ignorants ont  trouvé sur les lieux de leur crime la liste des artistes exposant au Bchira Art  Center et ont lancé une FATWA contre ceux-ci. Un pas supplémentaire dans la  violence et l’extrémisme. De nombreux artistes, dont certains appartiennent à  notre collectif, vivent aujourd’hui, en TUNISIE, sous une Fatwa lancée par une  minorité d’extrémistes. Il faut les soutenir à tout prix. (11 juin 2012) Super-Tunisian est  apparue dans la rue en mai 2012, plus d’une

Ces règles spécifient ce qui est halal (halāl), c'est-à-dire légal. Ces règles se trouvent dans le Coran, qui décrit aussi ce qui est illégal ou haram (harām). Il existe aussi d'autres règles venant s'ajouter à celles-ci qui ont été émises dans des fatwas par des mujtahids; mais elles ne sont suivies que par leurs propres disciples et non l'ensemble des musulmans. La loi islamique interdit aux musulmans de consommer de l'alcool[43], de boire ou de manger du sang et ses produits dérivés, et de manger

journal arabe Al-Arabi à Londres " Déclaration du Front mondial islamique pour le djihad contre les Juifs et les Croisés " signée par Ben Laden et des leaders de groupes islamistes d’Egypte, du Pakistan et du Bangladesh dans laquelle ils émettent la fatwa suivante : " Tuer les Américains et leurs alliés, civils et militaires, est un devoir pour chaque musulman qui en est capable, dans tout pays où c’est possible, jusqu’à ce que la mosquée Aqsa [de Jérusalem] et la mosquée Haram [de La Mecque] soient

reconnaître l’imposteur, le temps de faire passer la tempête, mais celui-ci devina le stratagème et ordonna à ses troupes de faire place nette. Afin de montrer son dédain aux tribus disséminées autour d’Oran, il demanda à ses hommes, sur la base de fatwas innovées pour la circonstance donc apocryphes, d’épouser les femmes des chefs ! A son approche d’Oran, il fut surpris par la sortie de ses soldats et un dur combat s’engagea des jours durant, rendant les routes qui partent d’Oran vers les autres

10 11 Rapporté par el Bukhârî (3371), selon ibn ‘Abbâs. C’est un passage du Hadith précédent. 12 Rapporté par el Bukhârî (2704, 3629, 3746, 7109), selon Abû Bakra. 13 Voir :Jâmi’ el Masâil de Sheïkh el Islam ibn Taïmiya qui proposent certaines Fatwas inédites (4/99). -6- 

l'islamisation des peuplades turques en Anatolie, l'inégalité entre hommes et femmes est plus facile à attester : les femmes ont vu leur pouvoir décroître dans le monde turc avec l'adoption de l'Islam. Ainsi, tout au long des siècles ottomans, les Fatwas interdisant les diverses formes de présence féminine dans la société sont périodiquement renouvelées : interdiction de fréquenter les lieux publics et les hommes au 16e siècle, interdiction de sortir et de changer de ferace (vêtement féminin) aux

d’une civilisation et d’une culture aux concepts réducteurs que certains voudraient lui imposer : excision, islamisme, fondamentalisme, extrémisme et obscurantisme. Mais alors puisque le constat est là, pourquoi ne s’arrête t-elle pas de lancer des fatwas et autres djihads menaçants ? Pourquoi n’arrête t-elle pas ces mutilations sociales et physiques des femmes ? Pourquoi s’enferme t-elle dans cet obscurantisme ? En quoi l’ablation du clitoris ou le mariage forcé dès l’âge de 9 ans avec des vieillards

retiennent que les versets dont le sens littéral. • semi- cultivés : des gens, qui savent lire mais ne comprennent pas ce qu’ils lisent. • fondamentaliste : revenir aux principes fondamentaux de l’islam, comme si le monde n’avait pas évolué. • fatwa : « dicter », un avis d’ordre religieux, mais ce n’est pas une loi. • chari’a : une ligne de conduite. Elle se base sur le Coran et sur les paroles du prophète. • tolérance : « supporter », « accepter », même si on n’est pas égal, qu’on n’a pas la

égal, et te sourirai comme tu me souris. Je te parlerai comme à un ami, pas plus. Les propos du jeune homme ont secoué Internet. Hamza Kashgari a reçu plus de 30.000 réponses et menaces de morts après ces messages tandis que le comité saoudien des fatwas (édits religieux) a affirmé que ces tweets constituaient "une apostasie", le reniement de la foi musulmane, soit un crime passible de la peine de mort dans le pays ultraconservateur de la péninsule arabique. Le jeune journaliste a été arrêté le 9