Faut Il Condamner Les Préjuger

superficielle, qui nécessite un effort pour l'esprit. Il pense, que pour philosopher, il faut savoir autant sur les autres que sur soi-même. → Selon Bertrand RUSSEL, la philosophie libère l'esprit de ses préjugés, lui ouvre des possibilités nouvelles et surtout l'élève au dessus de ses préoccupations ordinaires et égocentriques. C'est-a-dire que pour pouvoir dialoguer et critiquer sur des sujets extérieurs, il faut que l'homme ce soit pencher sur sa propre étude, sur ce qu'il est, ce qui le façonne

accéder l'enfant à son autonomie, mais elle fait problème : elle vise à emplir un esprit de jeunes formules toutes faites, mais elle oublie simplement d'apprendre à réfléchir. Elle est la cause des préjugés que les enfants s'autorisent. Ce n'est peut être donc pas l' enfant, ni l'enfance qu'il faut condamner mais l'éducation qui s'en suit, celle qui forme la personnalité et l'identité de l'enfant, celle qui l'apprend à grandir et à vivre. Socrate dénonce cette éducation "sophiste" qu'il juge toute

de corriger ses erreurs ou conduire à se débarrasser d'un préjugé. La question se pose alors de savoir si on peut refuser de douter. Autrement dit est-il possible et a-t-on le droit de renoncer volontairement à toute remise en question? Et si oui quelles sont les raisons qui pourraient légitimer un tel choix? N'y a-t-il pas, parfois au moins, nécessité de douter sans pour autant sombrer dans le scepticisme? Le refus de douter ne nous condamne t-il pas à rester dans la « Caverne », c'est-à-dire à adhérer

tyrannie infligée à l’état de nature par les codes sociaux et les préjugés. Rousseau accorde une large place, dans son roman, à cette notion de préjugé. Ce sont les véritables outils de la dénaturalisation de l’homme par la société. Dans Julie ou la Nouvelle Héloïse, on peut s’interroger sur la fonction que donne Rousseau aux préjugés dans sa dialectique entre la société et son idéal d’état de nature. Peut-on supposer que les préjugés vont êtres utilisés comme critique du modèle social et moteur de

INTRO : • Présentation : - du mouvement des Lumières. Au XVIIIe s, une minorité d’hommes de lettres tente d’améliorer la condition humaine par leurs écrits contestataires, développant un esprit critique qui affranchit l’homme de ses préjugés sociaux, politiques, et de ses superstitions religieuses obscurantistes. - de Voltaire. Parmi eux, Voltaire dénonce l’injustice et l’intolérance de son temps en privilégiant deux armes efficaces : l’ironie, et l’apologue (pls précisément

d’assumer ses choix et ses actes -> être en accord avec sois même. 2) Expérience du doute et la découverte métaphysique de la vérité a) Pourquoi faut t’il douter ? Il faut refuser les fausses évidences en doutant. Il ne faut pas se fier aux évidences car après examen cela se révèle ĉ faux (fausse croyance, préjugé). Il faut donc éviter l’erreur en commençant par l’examen critique et suspendre notre jugement. Douter : hésiter devant un chemin qui bifurque. C’est aussi une manière

Commentaire de texte n°1 : Spinoza Le thème de ce texte est la notion de liberté. Mais qu'est-ce que le la liberté? Après avoir énoncé les préjugés que les hommes ont sur la nature de liberté , Baruch Spinoza les approfondi dans une analyse rigoureuse où il à pour but de « clarifier » les choses. Le raisonnement de Spinoza s'effectue en plusieurs , et plus précisément deux étapes. Tout d'abord la thèse de Spinoza est la suivante : L'homme n'est pas libre lorsqu'il agit en son propre intérêt et

Platon nous renvoie comme message que nous sommes persuadés de bien connaître certaines choses que l’on sait, sans les avoir véritablement comprises et expérimentées. Ainsi, nous sommes enfermés dans nos opinions et pour se sortir de cette prison, il faut prendre conscience de notre ignorance. Car comment pouvons-nous chercher à connaître quelque chose lorsque nous croyons déjà le savoir? Ceci nous amène à nous demander si cette allégorie est toujours pertinente à appliquer dans notre société actuelle

Par exemple, une personne pour qui les questions de religion ne sont pas une préoccupation, ne peut être qualifiée de tolérante ou intolérante en matière religieuse. La soumission est l'acceptation sous la contrainte. Pour qu'il y ait tolérance, il faut qu'il y ait choix délibéré. On ne peut être tolérant qu'avec ce qu'on a le pouvoir d'empêcher ou du moins ce que l’on peut essayer d’empêcher. L'indulgence et la permissivité vont plus loin que la tolérance, en cela que le 1er concept est une disposition

de l’illusion de sa connaissance Basée sur le principe de non-contradiction Vérité en chacun de nous, il faut faire l’effort de le comprendre (voir Allégorie de la caverne) Mayotique Kant (XVIII) : « on ne peut apprendre la philosophie, on ne peut qu’apprendre à philosopher » 3. La raison comme présupposé de la philosophie Philosophie n’est pas basée sur des opinions perso, des préjugés Il faut convaincre et non persuader Pour cela le philosophe s’appuie sur sa raison. a Opposition entre ‘persuader’