Faut Il Considerer Les Lois Comme Un Mal

faire le mal, c’est aussi le vouloir. Et ce n’est pas seulement le vouloir, c’est le vouloir en toute connaissance de cause » André Comte Sponville L’Homme est libre, et c’est précisément cette liberté d’action qui lui permet de faire le mal. Et s’il est libre, il peut choisir de faire le bien ou le mal, quelles qu’en soient ses motivations et ses manières. Alain a écrit « penser le mal, c’est penser mal », il envisage par conséquent une volonté possible du mal, confirmant ce choix du mal. Thérèse

fait ressortir tous les mauvais penchants de l'homme, tous nos instincts bestiaux. Pourtant l'homme est considéré comme le seul animal à posséder l'art politique, ce qui signifie la parole, la rhétorique, la justice naturel qui naît avec nous les hommes et notre intelligence, ce qui nous rend capable de créer les lois morales. Néanmoins la guerre suspend les lois de la morale, c'est à dire les lois de la paix : la guerre annule l'exigence éthique « tu ne dois pas tuer ». Malgré tous ces aspects négatifs

------ Par --------- ---------- Groupe : ----- Collège -------------- Le -------- - ------- 20-- Pourquoi et dans quelle mesure doit-on obéir aux lois? Depuis toujours, les hommes doivent respecter les lois qu’ils se sont donnés eux-mêmes. Par contre, il y a une problématique évidente dans le fait d’obéir à chacune de ces lois. N’est-il pas ridicule de respecter une loi qui est injuste si on entend par loi quelque chose qui est là pour créer la justice entre les hommes. Voilà l’enjeu

je peux saisir que si j’en fais l’expérience, c'est-à-dire si il y’a quelque chose que je pense j’imagine etc. Nous ne nous saisissons comme sujet que par la médiation d’un objet qui n’est pas le sujet que je suis. Quand je me pense, le moi qui est pensé n’est pas le « je » qui est en train de penser. Dans cette opération de dédoublement le «  je » se saisis comme objet et la description et portrait que nous allons élaborer de nous même inclut des déterminations qui nous sont données par l’expérience :

Sujet: Suffit-il d'obéir aux lois pour être juste? Il existe plusieurs façon de concevoir la justice. On peut concevoir la justice comme étant une valeur morale, mais aussi comme étant juste le fait de se conformer aux lois, ou encore, la justice peut simplement renvoyer à l'institution ou au pouvoir judiciaire. Être juste c'est être légale, et être légale c'est être conforme aux lois. Il existe trois types de lois: celles qui interdisent, celles qui obligent et celles qui autorisent. Cependant

constitue l’ensemble des lois (rationnelles) qui régissent notre univers. Nous verrons dans un premier temps comment des évènements naturels ou d’apparence surnaturelle (c’est à dire qu'on juge ne pas appartenir au monde naturel, qui est trop extraordinaire et qui semble échapper aux lois de la nature) peuvent parvenir à faire planer un climat de doute dans un milieu des plus tangibles puis comment le surnaturel parvient à nous faire accepter une réalité correspondant à de nouvelles lois et enfin comment

Dans la République, Platon, par l'allégorie de la caverne, nous fait prendre conscience que ce en quoi nous croyons, et les choses que nous tenons pour vraies, le monde même pourrait n'être que l'ombre, le reflet, de ce qui est en vérité, comme le voyageur perdu dans le désert l'est par le mirage d'un oasis, il nous arrive d'être victimes de l'illusion, c'est-à-dire d'être dans l'erreur involontairement. La liberté, est pour nous, de façon simple, un terme qui désigne celui ou celle qui n'est ni

PEUT ON JUGER AUTRUI ? Juger , réciproquement se former une opinion , ennonver un avis sur quelque chose ou quelqu’un ,sous entend de décider en bien ou en mal du mérite d’autrui , des ses pensées et de ses sentiments voire du motif de ses actions. Peut on se permettre , nous simple humain de prétendre agir ainsi en se comparant à Dieu , vis-à-vis de ce qu’il compte faire ? Juger autrui sucite il un quelquonc interet envers autrui ? Connaissons nous la justesse du jugement ? Selon la religion

plusieurs sortes de termes: les termes simples comme « qu’est-ce que » et les termes complexes comme « est » et « l’homme » . Nous appelons « homme » un être vivant qui respect les règles de l’Humanité . On se demande alors quel est le sens du sujet, que dit-il ? Que demande-t-il ? Et quelles sont ses présupposées .Il demande la nature de l’homme, son existence et sa valeur. Il y a des définitions de l’homme mais on ne sait pas laquelle choisir, il faut donc en trouver une et l’analyser, c’est-à-dire

philosophes des Lumières l'un des biens les plus précieux de l'Homme, on ne peut en faire le sacrifice que pour des raisons d'impérieuse nécessité. Pour reprendre Beccaria, « tout ce qui s'y ajoute est abus et non justice ». I - La nécessité comme limite négative au droit de punir : du devoir de ne pas punir ayant pour but de rendre « docile » et « utile » ensemble des procédures rationnelles et des techniques réfléchies par lesquelles à l’époque on prétendait agir sur la conduite des