Faut Il Parfois Désobéir Aux Lois

aux lois? Le mot «loi» est un terme pouvant avoir diverses significations. Il existe les lois juridiques qui différent des lois de la physique comme la loi de la gravité, dans notre problématique le mot «doit» implique la notion de devoir, or il apparaît stupide de faire coïncider une loi physique à laquelle on ne peut se soustraire avec un quelconque devoir. Nul n'est censé ignorer la loi, lit-on dans le Code. Ce qui signifie que tout individu se doit de connaître et de respecter les lois en

Comment s’enfuir ? », mais « Faut-il s’enfuir ? », ou plus précisément « Est-il juste de s’enfuir ? ». La réponse à une telle question suppose que l’on définisse l’attitude à suivre par rapport à des principes eux-mêmes définis de manière permanente et nécessaire, valables quelles que soient les circonstances, et non inventés sur le moment, en fonction des intérêts du moment. Socrate pose ici le problème de la fidélité à soi-même et de sa propre cohérence. « Il nous faut donc examiner si nous devons

On observe parfois dans la vie courante des phénomènes de la bêtise humaine, comme le manquement à des règles instaurées par une personne, une société, ou encore des leçons données par un juge, un parent… En effet ceux ci se propagent au sein de notre communauté, et crée ainsi la société humaine. Cependant il y une différence notoire entre surveiller et punir. Celle-ci se fait dans la gradation du jugement. Effectivement punir implique sanction. Surveiller, est prévenir le danger, superviser

de la souveraineté. De plus, pour l’auteur, le prince est souverain car son pouvoir procède directement de Dieu, cependant il insiste sur le fait que ce prince n’est pas soumis à une autorité supérieure puisqu’il est indépendant. Bodin écrira : « il faut que ceux-là qui sont souverains ne soient aucunement sujets aux commandements d’autrui », cette phrase exprime donc bien l’idée selon laquelle le souverain est indépendant et ainsi il peut exercer sa souveraineté comme il l’entend sans devoir se soumettre

instauré par l’état, qui permet à tous les individus de vivre en harmonie et de les protéger contre la violence. Puisque la révolte est un soulèvement contre le pouvoir établit, il est absurde que l’état donne la permission, le droit de se révolter, de désobéir. Peut –on dire qu’il existe un droit à la désobéissance sans se contredire ? La révolte peut-elle être un droit légitime en défendant un droit naturel, qui est un droit indépendant de toute législation ? Dans quel cas ce droit existe-t-il ? Dans

addiction. La conscience est donc une possibilité que nous n’exploitons pas toujours. A l’origine de la liberté qui est d’abord une notion métaphysique, vient donc la conscience qui se doit d’apporter un choix entre le Bien et le Mal mais pour devoir il faut d’abord pouvoir. La liberté est synonyme d’autonomie et la conscience est, elle, une connaissance qui accompagne celui qui pense, comme dit Husserl dans les Méditations cartésiennes : « Toute conscience est conscience de quelque chose » cela signifie

institutionnelle et une justice naturelle: Aristote, Rhétorique, I, 13. (… )la définition du juste et de l'injuste se rapporte à deux sortes de lois (…). Je veux parler de la loi particulière et de la loi commune. La loi particulière est celle que chaque collection d'hommes détermine par rapport à ses membres, et ces sortes de lois se déterminent en : loi non écrite et loi écrite. La loi commune est celle qui existe conformément à la nature. En effet il y a un juste et un injuste, communs

limitée par des règles qui nous encadrent dans la société, nous ne sommes pas libre de nos choix mais ne faut-il pas s’imposer des règles pour en quelque sorte être rassuré, ne pas prendre de décisions, être heureux, s’épanouir et devenir indépendant et autonome ? C. Plan Détaillé : I. La liberté est limitée par des règles qui nous encadrent dans la société a. Le respect des lois b. Le respect d’autrui II. Mais la contrainte fait désirer la liberté III. La liberté

qui est reconnue et sanctionnée par le droit objectif. Ex : L’amour est-il l’objet d’un droit subjectif ? Aucune prérogative précise ne confère le droit à l’amour. Le droit au logement : Personne ne disposait de prérogative précise pour ce droit. Il faut qu’elle soit précise pour être reconnue. On peut aujourd’hui opposer à l’Etat le droit au logement. Le Droit objectif est l’ensemble des règles de conduite. Sa violation est sanctionnée. On le définie de façon objective, impersonnelle. Ex : Le

Milgram, révèle que sous l’influence d’une autorité, bien plus de la moitié des individus seraient prêts à provoquer la mort d’une personne. Ce triste constat nous apprend une chose, c’est que l’Homme a beau être doué de raison, cette dernière peut parfois lui faire défaut. En effet, quand l’autorité à qui on a accordé sa confiance nous ordonne l’impensable, la raison, bien qu’affirmant que cela est « mal », sera insuffisante face à l’emprise de l’autorité. La raison ici affirme la vérité, mais est