Faut Il Plaire Pour Instruire

• argumentation indirecte (= dissimulée derrière une narration, une histoire…c’est le contraire d’un texte argumentatif, un discours) permet d’éviter la censure • le récit peut plaire (situations des personnages = drôles, pittoresques, originales = séduction) et instruire en même temps (contenu moral) =INSTRUIRE ET PLAIRE conte • goût pour le merveilleux (les moutons rouges) • goût pour l’orientalisme (La Turquie) • laisse libre cours à l’imagination • peu de soin et de place au réalisme •

pour les théoriciens du XVIIe siècle l’idée de l’art est proprement liée avec la doctrine qui est convaincu qu’il existent, dans chacune domaine d’art, des normes universelles, des règles particuilères et générales de la composition, du style, qu’il faut suivre pour créer une oeuvre dans le genre littéraire concret. Dans cette époque il y a une esthétique normative. C’est une science, une capacité intellectuelle de savoir comment faire une oeuvre d’art. Ces normes sont indépendantes de l’artiste aussi

enfants, sans songer que l’apologue, en les amusant, les abuse ; que, séduits par le mensonge, ils laissent échapper la vérité, et que ce qu’on fait pour leur rendre l’instruction agréable les empêche d’en profiter ? Les fables peuvent instruire les hommes ; mais il faut dire la vérité nue aux enfants : sitôt qu’on la couvre d’un voile, ils ne se donnent plus la peine de le lever. On fait apprendre les fables de la Fontaine à tous les enfants, et il n’y en a pas un seul qui les entende1. Quand ils les

style. On assiste à un élargissement du public touché par ce courant. Les concepts sont souvent d'être contre l'église, la légitimité d'un art profane (= sans caractère sacré ou religieux)... La devise de ce courant littéraire est : PLAIRE et INSTRUIRE à travers le plaisir, le rire, les larmes c'est à dire la réflexion sur ce plaisir, l'émotion que le lecteur peut et doit la morale instaurée à la fin du récit exprimer et ressentir durant l'histoire. (pour que le texte ne soit pas une

toujours calé sur le même rythme, où tout le monde se plie à ses décisions, tend à nous faire penser que l'auteur, sous-couvert de sa passion pour cet homme, omet sciemment des moments de la vie de Louis XIV qui sont pourtant pas des moindre. Car il ne faut pas oublier que le Roi n'était pas seulement un homme à femme avec bon nombre de maîtresses et de favorites (comme nous le fait bien comprendre le chapitre XXV) , mais c'est aussi un homme de guerre, et dont les décisions aussi bien politique que dans

public . Correspond au goût dominant . Elle est entièrement dirigé du coté du placere . Movere docere ( plaire, instruire ) , placere (plaire) . Il y a oeuvre faible , anti moderne, si l'oeuvre est entièrement dirigé pour plaire au public . On reproduit le beau sous des formes familière, une essence du beau qui ne varie pas . L'oeuvre qui rassure, qui est familière . Notion d'habitude. Il faut que l'oeuvre marche . Parfois il y a ce sensationalisme -L'oeuvre moderne se mesure a l'écart esthétique

pièces de théâtre au 17ème, critiquait la société de manière amusante. Cependant on est en droit de se demander si ce mode peut s’appliquer à tous les sujets… Pouvons-nous traiter de sujets graves et sérieux sur le mode plaisant ou humoristique ? Faut-il instruire en plaisant comme le conseillaient Molière et La Fontaine ? Par extension, n’y a-t-il pas certaines limites au rire ? Relativiser les choses permet à l’homme de les accepter avec plus de philosophie. En effet, transmettre une morale par le

 Depuis plusieurs  siècles les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs oeuvres. Cette volonté à vouloir instruire son lecteur,s'affirme notamment au siècles des lumières (avec la publication de l'encyclopédie et de plusieurs œuvres didactiques) lors de cette époque la diffusion de savoir est incontournable. Cette transmission s'effectue par deux formes, l'argumentation directe;  à travers laquelle les idées sont rapportées de façons claires et réels. Et la fiction

peind les défauts humains ou critique la société de son époque. Ainsi dans la fable les animaux malades de la peste il dénonce les puissants et la justice de son époque. Nous verrons comment LaFontaine mène sa critique en voulant à la fois plaire et instruire. Nous cerneront l’art du conteur puis nous montreront qu’il y a une parodie de procès et nous cerneront la dimension critique de la fable. I. L’art du conteur A. La composition du récit 1ère étape : situation initiale (v.1 à 14)

sont la pertinence et la cohérence qui séduisent aussitôt, et valent à « L’Art poétique » d’être considéré comme le manifeste du classicisme. - Impératifs : il s’adresse aux aspirants poètes. - Importance du sens : plus que faire de bons mots, il faut être compréhensible. « Si le sens de vos vers tarde à se faire entendre » ; « sombres pensées » (dans le sens difficile à comprendre) ; « Le jour de la raison ne le saurait percer ». « Selon que notre idée est plus ou moins obscur » (« obscur » reprend