Faut Il Plaire Pour Instruire

». Cette affirmation amène alors le lecteur à s'interroger si elle est conforme à ses attentes ? Pour répondre au problème posé, l’aspect plaisant d’une oeuvre sera d’abord mis en avant. Mais, on ne lit pas des contes seulement pour se divertir. Il faut savoir apprendre d’une lecture. L’édification d’une œuvre sera donc notre deuxième file conducteur. Malgré cela nous terminerons par le constat suivant : un livre qui ne nous apprend rien n’est d’aucune utilité, l’œuvre doit apporter un raisonnement

qui est une véritable leçon de savoir-lire humaniste, donne-t-il le ton de l’œuvre en associant d’emblée rire et savoir ? Plan : I] *l1à17 : il ne faut pas se fier aux apparences avec la double nature des silènes et de Socrate. II] *l17à29 : l’analogie de l’œuvre avec le fait qu’il faut chercher le sens caché derrière la fantaisie c’est-à-dire voir le double niveau de lecture avec le sens littéral et le sens caché. I] Contraste entre deux termes

préfère raconter que démontrer, et cela même dans son Dictionnaire philosophique. Ainsi, il passe par un apologue pour défi nir le Beau et se vante de s’être épargné « la peine de composer un long traité ». l Et du côté du docere (instruire), et du côté du placere (plaire), l’essai manquerait son but. Mais cette approche est sans doute un peu caricaturale 3) L’essai est aussi une forme souple et qui joue sur la séduction du lecteur Idée directrice L’essai n’est pas la forme rigide que l’on croit

C’est au XVII ème siècle, siècle de Louis XIV et de la monarchie absolue, qu’il atteint son apogée avec Jean de la Fontaine et ses fables critiquant la société, qui firent grandir sa réputation. Ces récits accessibles à tous et écrits pour plaire et instruire, ont pour but de faire passer un message, une morale. D’Esope à Saint-Exupéry, des fables aux contes, ces histoires continuent d’être lues au fil des années. Souvent considéré comme un genre mineur, l’apologue ne serait-il alors destiné qu’aux

comportements hu- ! ! ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- mains injustes ou injustifiés). 1. Définition de la fable « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes. » fable est un bref récit en prose ou en vers dont le but est d’illustrer une morale. Le but recherché est donc d’instruire, de guider, de corriger les comportements humains." gétaux, des éléments de la nature. Les personnages représentent

sérieux ? » ; « N’y a-t-il pas des limites au rire / des cas où le rire est inefficace ? »… Choisissez les sous-questions qui pourraient être le titre d’une partie de votre devoir. Chercher des idées L’adjectif « plaisant » est de la famille du mot plaire. Ce qui est « plaisant » divertit, amuse. L’humour est la capacité à prendre ses distances par rapport à la réalité, à considérer le monde de façon lucide mais avec un regard souriant, parfois faussement naïf. Constituez-vous une réserve d’exemples

(1645-1696) est un moraliste, terme qu’il ne faut pas confondre avec “moralisateur”. Ayant observé ses contemporains, il en tire des maximes et brosse le portrait de quelques “types” humains : le pédant, l’hypocondriaque, l’égoïste... Si la vision qui s’en dégage se révèle pessimiste, le projet consiste à peindre l’homme sans fard et sans jugement. Le portrait partage avec la fable une esthétique de la brièveté ainsi que le souci de plaire et instruire. De même que La Fontaine revendique l’inspiration

|La fonction seductrice de l’apologue | | |Seduire puis plaire | | |•courte fable de 41 vers

quelques vers, généralement un ou deux ce qui montre bien la brièveté de la fable, qui est un récit plutôt court. Le récit plaisant est aussi vivant c'est à dire qu'il n'y a pas ou peu de temps mort, de plus c'est souvent amusant et drôle. Il faut rappeller qu'à l'époque où La Fontaine écrivait ses fables le but de l'écriture était d'instruire mais aussi de divertir, ce que font très bien ses récits. Nous pouvons prendre comme exemple Le Corbeau et le Renard avec une situation quelque peu cocasse

voir les choses. Donc, si on compare le courant classique au courant des Lumière, il faut commencer par mentionner que les dates y sont importantes. En effets, le courant classique correspond au règne de Louis XIV. Le but des auteurs étant d’atteindre l’idéal que représentent les œuvres de l’antiquité. Louis XIV protège les artistes qui suivent les règles tant au niveau de la volonté de plaire et instruire que du respect de l’ordre et des règles. Les auteurs classiques vont miser sur la règle