Faut Il Se Méfier De Nos Désirs

Amour : Faut-il se méfier de l'amour ? Faut-il aimer son prochain ? Faut-il aimer pour respecter ? Art : Qu'est-ce que la valeur d'une oeuvre d'art ? Le plaisir est-il l'origine et la fin de l'art ? Une oeuvre d'art est-elle utile ? Peut-on convaincre autrui qu'une oeuvre d'art est belle ? Peut-on convaincre autrui qu'une oeuvre d'art est belle ? Autrui : La personne est - elle un objet ? Autrui est-il un autre moi-même ? Autrui peut-il être pour moi autre chose qu’un obstacle ou

renseignements que les autres auraient pu laisser échapper par mégarde. C’est ce qui explique aussi l’importance accordée au „paraître“ (ce que l’on veut bien donner aux autres de sa personne) qu’il ne faut en aucun cas confondre avec l’“être“ (ce que l’on est en réalité). Ce comportement amène les hommes à se méfier constamment les uns des autres et à ne faire que rarement confiance à ce qu’ils voient. Ajouté à cela, le sexe est un élément tabou pour la société de l’époque: le corps doit être caché sous plusieurs

particuliers qui ont une soif de pouvoir extrême et qui se distinguent du reste des hommes qui ont des désirs modérés. Machiavel Distingue encore deux types d’hommes vis-à-vis desquels il faut avoir des attitudes différentes : * les « amis » (les grands qui ont du pouvoir et qui constituent un réseau sur lequel il faut s’appuyer pour étendre son pouvoir) * les sujets (le peuple qu’il faut maîtriser, soumettre) Il différencie le microcosme politique et le macrocosme politique (le peuple

3 : poser la question du sujet La question « qui suis-je ? » admet-elle une réponse exacte ? 4 : Reformuler la question Peut-on définir soi-même avec la même objectivité que s’il s’agissait d’un objet d’observation scientifique ? Ne faut-il pas se méfier des réponses qui prétendent mettre un terme à cette interrogation subjective ? La vérité sur soi-même peut-elle être de l’ordre d’une réponse définitive ? 5 : annoncer le plan Nous verrons, dans un premier temps, à quelles conditions la

connaitre signifie savoir justement qui on est, nos traits de personnalité, ce qui nous différencie des autres. Ainsi, la personne la plus propice a connaitre le mieux le sujet serait le sujet lui meme. En revanche, pour se connaitre le mieux possible il faut porter sur nous meme plusieurs regards comme interieur par une introspection mais aussi extérieur, mais ceci est impossible car on ne peut pas etre en meme temps l'observateur et l'observe. Il semble donc impossible de porter plusieurs regards sur

nos acquis et à la fragilité de notre connaissance. Faut-il pour autant être effrayé par le progrès scientifique et technique ? Si l'on s'en tient à la définition stricte et nominale du progrès, il ne peut être qu'un bienfait, toutefois, dès lors qu'on l'inscrit dans un rapport avec le monde, sa relativité peut le rendre menaçant. Pourtant, nous verrons que la peur du progrès s'avère plus à craindre que le progrès lui-même, dans lequel il faut garder espoir. 1ère partie : Le progrès en soi est positif

à l’homme d’agir de façon indépendante ? N’aboutit-il pas plutôt au développement de certaines contraintes qui guettent les travailleurs et à une certaine forme d’aliénation dans son travail, et au sens plus large, à la liberté humaine ? De plus ne faut-il pas penser la liberté autrement que comme un pouvoir irrationnel sur la nature ? L’enjeu est donc d’éviter de proposer une version naïve ou trop noire du pouvoir de la technique sur notre liberté vis-à-vis du travail. Nous pourrons cependant tenter

pas normal d’exiger que les professeurs donnent le meilleur d’eux-mêmes et en même temps de tolérer n’importe quoi de la part des jeunes. Il faut se méfier de l’enfant gâté et de l’adolescent gâté : ils livrent des guerres d’usure, ils provoquent la lassitude de ceux qui n’ont pas assez de caractère pour dire « non », quand il le faut et où il le faut ! L’enfant gâté est un enfant - tyran imbu de droits imaginaires qui se substitue peu à peu à l’autorité dont il relève par des attitudes proches

intellectuellement supérieur), il vit en harmonie, goûte au bonheur qui dure une éternité (= il échappe au temps). Tout le monde n’est pas sage donc il donne des conseils. Le sage n’a pas peur de la mort (= LE signe de sagesse). - ≠ fou : il vit de ses désirs, de ses passions. Il s’écoute lui-même et est donc malheureux- ex : Marc-Aurèle : empereur Stoïcien (indifférent de tout, maître de lui-même) ; tu es malheureux quand tu es en désaccord avec le tout.I. la conscience est un nouveau point de repère1

exprimée au dernier vers conduit à donner à cette fable une place importante. Les stoïciens sont des penseurs partisans d'une philosophie (le stoïcisme, fondé à Athènes par Zénon de Kition) qui recommandent de supprimer tant les passions que les désirs et de faire preuve en toute circonstance, et particulièrement dans le malheur ou dans la douleur, d'une impassibilité courageuse (ils s'opposent aux épicuriens). Il va sans dire que, du temps de La Fontaine, on ne trouvait plus guère de partisans