Femme de couleur

II)Analyse de l'oeuvre Dans une chambre cosy aux couleurs plutôt sombres, on aperçoit : au 1er plan une jeune fille allongée sur un divan drapé. Elle pose nue, les cheveux attachés, ce qui dégage son visage et laisse apparaître un regard hautain . Cette jeune femme, une main posée sur son sexe expose fièrement son corps. Sur la droite à ses pieds , on aperçoit un chat noir au poil irisé . Au second plan apparaît une femme de couleur qui apporte un bouquet de fleur. En arrière plan se dessine

(sous-)vêtement que porte le personnage, de couleur noire ; - un collier long sur le personnage (autour du cou et sur les bras), de couleur rouge ; - un arrière-plan ou fond appelé décor, de couleur rouge ; - le nom de la marque (avec trois occurrences : une au centre en haut de l'image avec une fonction d'accroche, de couleur noire, une au centre en bas de l'image avec une fonction de base-line, de couleur or et une sur le flacon avec une fonction d'identification), de couleur or ; - le nom du parfum (avec

que je vois ? La couleur Théorie La couleur c'est de la lumière blanche qui balancée sur un support, par réfraction apparaît. Selon cette définition, le blanc c'est le principe de l'addition, et le noir le principe de la soustraction. On travaille sur la couleur pigmentaire : en écrasant pigments d'origines minérales (charbon), féreuse (rouille), naturel (herbe) ou animal (sang). Cercle chromatique : M.Chevreuil a décomposé la couleur en couleur primaire et couleur secondaire. Primaire :

St-Baptiste, 1700, Huile sur toile, S.D, Musée Beaux-arts, Montréal, Canada. Cette œuvre appartient a la période du baroque par le plan illustré qui est plan mi-moyen on voit la femme ainsi que sa servante jusqu'à environ la taille des personnages. Le tableau est ouvert car, on ne voit pas tout le corps de la servante de la femme. L’œuvre est située en premier plan, les personnages sont devant il n’y a pas de profondeur. Il ya une perspective empirique avec la superposition par la chandelle sur la main

De l’image à la stratégie Analyse de la publicité pour le parfum« J’adore » de Christian DiorPLAN Introduction 2 Description rapide et premières impressions 3 Analyse plastique (composition, typographie, couleurs, matières…) 3 Interprétation de premier niveau : compréhension du message 6 Interprétation de second niveau : stratégie 11 Conclusion 17 Introduction À propos de ce documentCette analyse a été réalisée pour satisfaire une curiosité personnelle à l’égard

quantité,  comme dans une chaîne industrielle pour la grande distribution.  Quant aux couleurs utilisées, elles sont vives jusqu'à saturation pour certains  des portraits. On peut remarquer que la couleur du maquillage des  paupières est systématiquement la même que celle du fond de la toile. Les  couleurs sont ici irréelles par rapport à celle de la carnation humaine.  De toute évidence, les couleurs utilisées sont ici pour attirer voire choquer  l'oeil, afin qu'il retienne l'image. L'artiste

méthode sémiologique. Celle que nous adoptons s’apparente à la théorie de Charles Sanders Pierce puisqu’elle comporte une démarche à trois temps que sont : la dénotation qui est une description de l’image telle que nos sens la perçoivent (plans, couleurs, décors éclairage, format, etc), la connotation qui est un lecture thématique et culturelle issue de l’interprétation de tous les éléments identifiés dans la dénotation, et le système textuel dans lequel on révèle tous les non dits, le lieu de la

15 La femme entour/embrigadé l’homme, ils sont liée. L’homme voit le monde qu’a travers le femme. Paul Eluard dit qu’il a besoin d’elle pour comprendre le monde, sans elle, il ne le comprend pas. I- Le regard de l’homme sur la femme : a) L’image symbolique sur la femme : - Réseau lexical de la forme de l’œil : courbe, tour, rond, auréole, berceau. - Chiasme v.1 et 15 : le regard = la femme alors que le cœur = l’homme et c’est le cœur qui est contenu dans le regard - La femme contient

attribué à un courant artistique, mais malgré cela il est affilié au courant de l’expressionisme abstrait. Ce mouvement sera assez vite qualifié de « nouvelle peinture américaine ». Le but est de retranscrire ses pensées et ses sentiments avec des couleurs variées et des formes abstraites. En fait, l’idée est simplement d’exprimer. Rosenberg dira « […] l’un après l’autre, les peintres américains commencèrent à considérer la toile comme une arène dans laquelle agir, plutôt que comme un espace où

table représentée de façon verticale. Ensuite chaque femme forme un plan. Les personnages ne sont pas représentés de façon réelle, les figures sont fragmentées en formes géométriques, sans respect des proportions du corps. De plus, certaines parties sont démesurées, comme les yeux ou le nez, trop grands et non alignés. Le corps humain est ainsi vu de toutes les directions de l’espace à la fois. On remarque également que la palette des couleurs utilisées est limitée, uniquement l’ocre, le blanc, le