Femme Nue Femme Noir

Pablo Picasso. Femme assise sur la plage. 10 février 1937, huile, fusain et pastel sur toile. Hauteur 131 cm. Largeur 163,5 cm. Legs Jacqueline Delubac, 1997. Vous vous tenez face à ce tableau qu’il faut découvrir dans le sens de la largeur. Sur ce tableau, vous trouverez une femme nue, assise sur une plage.   Pour visiter le tableau, posez vos deux mains sur les deux angles inférieurs du modèle tactile. Vous sentez alors de petites arêtes qui montent en oblique. Ces arêtes sont toutes

d’amour, spirituel et non sensuel. Le poète parle d’un voyage, d’une promesse, d’une promesse de voyage qui tiré de son rêve le plus cher. Dans la strophe1, il invite au voyage une femme, qu’il compare à un paysage, à la nature. Dans la strophe2, il décrit la chambre, sa chambre idéale où il aimerait emmener cette femme. Dans la strophe3, il décrit la ville. Ce poème est composé de 3 strophes (pentasyllabes), séparé par un refrain (heptasyllabes). Mon/ en/fant, / ma/ sœur/ (5 pieds) Refrain :

| « Femme nue, femme noire Vêtue de ta couleur qui est vie, De ta forme qui est beauté J'ai grandi à ton ombre ; Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi, Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein coeur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme noire Je chante ta beauté qui passe, forme que je fixe dans l'éternel Avant que le destin jaloux Ne te réduise en cendres pour nourrir les racines de la vie ». Léopold Sédar Senghor « Femme nue, femme

personnellement que ces commentaires sont particulierement juste pour le poeme femme noire. Le theme du temps qui fuit ('tempus fugit') peut etre rapproche de l'Ode a Cassandre de Ronsard... La fin du poeme est optimiste, ce qui devrait etre note. Quant au style du poeme, il est plus proche du Cantique des Cantiques que de la poesie de la Renaissance. Il serait interessant de travailler sur les nuances entre noir, sombre et obscur, et bien sur travailler sur l'utilisation subtile de la lumiere

Eleanor, Chicago est une photographie prise par le photographe américain Harry Callahan en 1947. Il s’agit d’un portrait de sa femme, Eleanor, un de ses sujets favori avec sa fille Barbara. D’une part nous verrons qu’il en ressort une fermeté et un caractère très prononcés. D’autre part nous montrerons que cette femme est pleine d’une douceur féminine dans son quotidien. De cette photographie ressort une grande fermeté de la part du mannequin. Tout d’abord dans son regard très direct et froid

poèmes qui célèbre l’amour sensuel. Ce poème décrit une scène érotique entre Duval, sa « venus noir » et lui-même. Nous verrons en quoi cette scène érotique décrit le pouvoir séducteur de cette femme aimé qui l’incite à rêver et en quoi ce pouvoir réveille en lui une multitude de sentiments contradictoires liés au désir et à la frustration. Pour cela nous étudierons dans un premier temps l’éloge de cette femme aimée qui invite le poème amoureux à une rêverie exotique puis nous nous pencherons sur les

tributaire des récits qui en ont été donnés par les témoins de l'époque principalement T. Gautier qui portait à la Première le 25 février 1830 un gilet rouge, destinée à en faire l'acte fondateur du romantisme en France. L'auteur y fait l'éloge d'une femme, Carmen, en la célébrant d'une façon particulière, puisqu'il s'appuie sur ses défauts. Nous verrons la composition de cette poésie, le portrait sensuelle puis le portrait diabolique de Carmen. Premièrement, ce texte vient du registre polémique

Commentaire composé : Femme noire de Léopold Sédar Senghor Tiré du recueil « Chants d’ombres », publié en 1945 par Seuil, ce poème « Femme noire » est composé des trois strophes de cinq vers chacune ainsi que d’une quatrième strophe de trois vers. Son auteur, Léopold Sédar Senghor (1906-2001), est un poète africain, d’origine sénégalaise, exilé en France à l’âge de 22 ans. Dans ce poème, Senghor rend hommage à l’Afrique, sa terre natale, à travers la beauté de la femme noire. Dans ce commentaire

roman Louis Aragon rend hommage à sa femme. Grâce à la rencontre de sa femme Elsa, il a reprit goût à la vie car il était au bord du suicide. Ce roman inachevé est composé de plusieurs moments de sa vie depuis sa rencontre avec Elsa sous forme de poème. Dans l'extrait « Il n'aurait fallu » Louis Aragon a utilisé sept hésamètres donc un septain. Chaque vers contient cinq syllabes et dans chaque strophe il nous décrit une partie du corps de sa femme « Mais une main nue » ; « Deux bras suffi » ; « Deux

utilise une technique fréquemment utilisé dans le surréalisme ; l'artefact, une photographie argentique en noir et blanc sur laquelle on dépose des traces d'encre. La femme représentée est  vue de dos ce qui suscite l'étonnement et l'intrigue. Analyse En effet, le cadrage est serré, le plan est frontal mais c'est une vue de dos. Cette photographie en noire et blanc met en scène une femme dont les cheveux son enveloppés dans un foulard. Son visage de profil nous laisse à peine entrevoir son maquillage