Femme Nue Femme Noir

mon coeur s'y forme S'y taise le monde au moins un moment Donne-moi tes mains que mon âme y dorme Que mon âme y dorme éternellement. Les mains d’Elsa Louis Aragon, Le Fou d’Elsa Ce poème est écrit pour une femme, au nom de ses mains. Le poète évoque ici une personne de sa famille, la femme qu’il a aimée puis épousée. Angoissé, il attribue à Elsa une fonction protectrice. Il la prie, la sollicite et l’implore. Le poète angoissé : Le poète, seul, a des soucis, il a peur et il se sent en danger, d’où

vertige,  La roule défaillante aux rives de la mort ! Charles Baudelaire - Les Fleurs du mal Dans ce poème, Baudelaire tente de s’évader de la réalité, de s’échapper du spleen, et ce grâce à des paradis artificiels : le vin, l’opium, et l’amour (la femme). Mais, dès le titre, on comprend que ses tentatives sont déjà vouées à l’échec. Dans la première strophe, il parle du vin. Au début, cela semble plutôt positif (« luxe miraculeux ») mais le poète essuie déjà un premier échec, avec une première allusion

roman ont été inspirés par des personnes réelles que Boulgakov a connu), la difficulté dans la construction de leur œuvre qu’ils détruisent chacun en partie (« Je sortis du tiroir les lourdes copies du roman […] et entrepris de les brûler »), une femme qui les accompagnait dans leur travail Des chapitres du Maître et Marguerite se confondent avec ceux écrit par le Maître. C’est un roman dans le roman. Boulgakov écrit une histoire dont il fait « traiter » une partie par son héros !!! La relation entre

toile, les pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles pour tenir lieu de bas ; une blouse courte et souillée de boue derrière le dos, ce qui indiquait qu’il couchait habituellement sur le pavé, la tête nue et hérissée. Il avait sous le bras un pain. Le peuple disait autour de lui qu’il avait volé ce pain et que c’était à cause de cela qu’on l’emmenait. En passant devant la caserne de gendarmerie, un des soldats y entra et l’homme resta à la porte, gardé

signification qu’elle porte. Cette page couverture est dominée par l’élément central qui semble être une femme nue ou portant une sorte de chandail fleurie qu’elle semble caresser, toucher ou placer. Un tracé bleu marin irrégulier qui fait penser à une rivière ou un cours d’eau est placé au niveau de ses jambes et traverse la page. Le contraste de couleur créé par le bleu marin comparé au noir encre du reste des éléments combiné à son imposante présence visuelle fait en sorte que le cours d’eau se

ustensils). Écrivain de l'amour (ironie). Aime pas ce faire dérranger, raciste, problème de colère. Aime ce faire toucher par la Mme au restaurant, mange là à chaque jours. ''Weakness'' pour la mme. Ne sais pas comment dire non au monsieu avec la peau noir, il n'est pas si ''tough'' qu'il veut que les gens pensent. ------- Les yeux disent la vérité, tandis qu'ils ment. Change sa table habituelle pour être plus proch du chien, souris lorsque les enfants joue avec lui. Donne le bacon du restaurant au chien

énormément maquillée. Elle a les cheveux bruns et la peau blanche. Duroy et elle passeront plusieurs nuits ensemble. « Une de ces femmes, s’étant accoudée à leur loge, le regardait. C’était une grosse brune à la chair blanchie par la pâte, à l’œil noir, allongé, souligné par le crayon, encadré sous des sourcils énormes et factices. Sa poitrine, trop forte, tendait la soie sombre de sa robe ; et ses lèvres peintes, rouges comme une plaie, lui donnaient quelque chose de bestial, d’ardent, d’outré mais

vu, de l’avenue des Ternes au boulevard Malesherbes, notre joie haletante de chiens lâchés. Du haut du talus, nous nous sommes penchées sur le fossé que comblait un crépuscule violâtre fouetté de tourbillons blancs ; nous avons contemplé Levallois noir piqué de feux roses, derrière un voile chenillé de mille et mille mouches blanches vivantes, froides comme des fleurs effeuillées, fondantes sur les lèvres, sur les yeux, retenues un moment aux cils, au duvet des joues… Nous avons gratté de nos dix

vrai travail, sain, fécond, généreux, Qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux ! Victor Hugo, Les Contemplations, Livre III La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir

portraits en opposition L'auteur montre deux descriptions symétriques jusque dans les détails. Les deux personnages n'ont ni prénom ni nom ce qui nous amène à leur attribuer une valeur générale. L'homme représente le pauvre qui vole pour se nourrir et la femme représentant l'aristocrate indifférente à la misère. 1)Portrait de l'homme misérable En tout premier c'est le portrait de l'homme. * "un homme que deux soldats emmenaient.". Cet homme n'a pas de nom, c'est un prisonnier car il a volé un pain. *