Fenetres Ouvertes Hugo

6|L’ogre 4|| Nazim Hikmet|Le globe 10|||| Victor Hugo|Demain dès l’aube 12|Les Djinns 50|Océano Nox 30|J’aime l’araignée 30| |La chanson de Gavroche 10|Mes vers fuiraient… 8|Le Pêcheur 12|| |Chanson de grand-père 12|Jeanne au pain sec 30|Voici que la saison décline… 10|| Solange Innocent|Pluie 4|||| Jean-Louis Jacob|La pluie 6|||| Francis Jammes|La salle à manger 16|||| Anne-Marie Kegels|La fenêtre 12|||| Dénes Kiss|L’illisible 6|||| Tristan Klingsor|Les

l’emplacement du marché aux fleurs, assimilé au vers 20 à “une ferme en plein Paris”, dont les fenêtres donnent sur “la voie lactée”. On remarquera que le temps de référence reste l’imparfait, dans sa valeur durative, comme si le poète racontait une histoire mais surtout comme si les images liées à cette nuit évoquaient l’éternité, ou du moins un temps suspendu. A travers cette ferme en plein Paris, ouverte sur la voie lactée, le poète réalise la réunion cosmique des mondes terrestre et céleste. C’est

fonction de l’irréel qui est positive et utile car comment prévoir et inventer sans imaginer ? L’imagination est la faculté de déformer les images. Il y a imagination lorsqu’une image occasionnelle détermine une prodigalité d’images aberrantes. Elle est ouverte et évasive. Elle est l’expérience de a nouveauté. Elle ne s’emprisonne dans aucune image. Si une image créée par l’imagination devient fixe et prend une forme définitive et familière, habituelle, elle cesse d’être imaginaire. Elle ne nous fait plus

à ta naissance illuminait le monde n'est plus qu'aujourd'hui un corps qui l'a quitté. Audrey SOLITUDE Par la lumière de l'ombre Je me suis réveillée. Le lit était vide, je vois ta lettre sur le drap, Je me précipite à la fenêtre, Et au bout de ma lunette, Je vois ta silhouette s'éloigner de moi. Une larme coule, tu es parti, Plus rien n'a de sens. Je repasse dans ma tête, tes dernières phrases, Je revois en toi, la joie, le bonheur de vivre, l'envie que tu donnes pour

technologiques tels que la photographie, le cinéma, la radio etc… Cette nouvelle galaxie a une “perception simultanée et aux perspectives plurielles”3. Dès 1895, le cinéma prend sa place dans cette recherche “d’images animées”. Le théâtre est une “fenêtre qui s’ouvre(nt) sur des représentations ou d’autres médias”4. Pour évoluer et s’intégrer dans cette Galaxie le théâtre s’ouvre, s’inspire du cinéma et de sa technologie pour évoluer en tant que “théâtre postdramatique”5. Ainsi, ces deux arts, média

latino-américain où l’opposition politique fut balayée en 1998 lors d’élections libres, plurielles et démocratiques, les principaux groupes de presse, radio et télévision ont déclenché une véritable guerre médiatique contre la légitimité du président Hugo Chávez (4). Alors que celui-ci et son gouvernement demeurent respectueux du cadre démocratique, les médias, aux mains d’une poignée de privilégiés, continuent d’utiliser toute l’artillerie des manipulations, des mensonges et du bourrage de crâne pour

habituels, linéaires. La pluie est faite comme des larmes, peut être celles du poète mais aussi simplement une pluie réelle qui amène au songe, à la rêverie poétique. On peut penser que la page blanche avec cette pluie désigne la vitre fermée d’une fenêtre, qui représente une ouverture sur l’extérieur mais surtout une sorte d’obstacle, en dépit de sa transparence. Chaque goutte tombe comme une goutte d’eau du ciel ou comme une larme, et ces gouttes, en s’alignant verticalement, s’enchaînent et se transforment

: Ombres de poésie 1. Dans l'ombre des cénacles Alors que le romantisme historique, celui des grands maîtres, Lamartine, Vigny, Musset, ne passera pas le cap des bouleversements idéologiques et politiques des 1848-50, c'est, avec l'inusable Hugo, le romantisme « noir » qui survivra au mouvement et en assurera la continuité avec les écrivains de la modernité (Baudelaire, Rimbaud, Lautréamont principalement) et, par-delà, avec ceux de la génération surréaliste. C'est lui encore qui fondera,

LA POÉSIE, JEAN-LOUIS JOUBERT INTRODUCTION « Le poète a toujours raison », Aragon « La poésie est de toutes les choses humaines la plus voisine des choses divines, V. Hugo La poésie est en même temps domaine réservé (sacré, réservé à des initiés) et chose du monde la plus commune (tout le monde a une idée de la poésie, connaît au moins quelques poèmes). La poésie tient du sacré : les discours des prophètes bibliques sont les modèles par excellence du langage poétique (sous l’impulsion de

mer : elle avance à grand’peine ; pourtant je l’ai reconnue ; puisse-t-il apporter ce qui doit vous guérir ! » Tristan tressaille : « Amie belle, vous êtes sûre que c’est sa nef ? Or, dites-moi comment est la voile. — Je l’ai bien vue, ils l’ont ouverte et dressée très haut, car ils ont peu de vent. Sachez qu’elle est toute noire. » Tristan se tourna vers la muraille et dit : « Je ne puis retenir ma vie plus longtemps. » Il dit trois fois : « Iseut, amie ! » À la quatrième, il rendit l’âme. Alors