Ferdinand Walsin Esterhazy

reconnu coupable de trahison et envoyé à l'île du Diable en Guyane française. Le lieutenant-colonel Georges Picquart est tombé sur des preuves mettant en cause un autre officier, Ferdinand Walsin Esterhazy, et a informé ses supérieurs. Plutôt que de se déplacer pour effacer Dreyfus, la décision a été prise pour protéger Esterhazy et assurer le verdict initial n'a pas été annulé. Major Hubert-Joseph Henry documents qui donnait l'impression que Dreyfus était coupable et avait Picquart affecté à des fonctions

reconnu coupable de trahison et envoyé à l'île du Diable en Guyane française. Le lieutenant-colonel Georges Picquart est tombé sur des preuves mettant en cause un autre officier, Ferdinand Walsin Esterhazy, et a informé ses supérieurs. Plutôt que de se déplacer pour effacer Dreyfus, la décision a été prise pour protéger Esterhazy et assurer le verdict initial n'a pas été annulé. Major Hubert-Joseph Henry documents qui donnait l'impression que Dreyfus était coupable et avait Picquart affecté à des fonctions

prendre en charge l’affaire en lui indiquant que c’est cette affaire qui marquera sa présidence et non ses actions.À la suite de cette dernière tentative de convaincre, nous apprenons que l’article fût rédigé à la suite de l’ouverture du procès Esterhazy et de son acquittement à l'unanimité par le Conseil de guerre deux jours plus tard, une aberration selon Zola, comme il l’exposera dans le reste de sa lettre. Il indique que la marque de l’injustice restera sur la joue de la France comme un « crime

frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat Auguste

frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat

une majorité de Français, Dreyfus fut peu à peu oublié. Toutefois, en janvier 1896, le lieutenant colonel Georges Picquart, chef du service de renseignements, intercepta un document révélant les liens unissant le commandant Marie Charles Ferdinand Walsin Esterházy et l'ambassade d'Allemagne (l'écriture ressemblant fortement à celle figurant sur la pièce ayant fait accuser Dreyfus.). En outre, il constata que le dossier secret, présenté lors du procès de Dreyfus, et soi disant rempli de "preuves accablantes"

perpétuité pour trahison. Certaine de l'incohérence de cette condamnation, la famille du capitaine, tente de prouver son innocence. Parallèlement, le chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'Etat-major refuse pourtant de revenir sur son jugement [pic] Lénine (1870-1924) : Vladimir llitch Oulianov est le fils d’un inspecteur d’école. Après ses études de droit, il étudie la doctrine de Marx et devient socialiste sous le

Dreyfus. Malgré qu'il continue d'acclamer son innocence, on le dégrade le 5 janvier 1895 et on le déporte à l'Île du Diable, près de la Guyane. Quand le colonel Georges Picquart découvre le vrai coupable, Ferdinand Walsin-Esterhazy, on continue néanmoins d'accuser Dreyfus et même de proteger Esterhazy en essayant de se débarasser de Picquart. Un nouveau conseil de guerre à Rennes en 1899 condamne à nouveau Dreyfus, alors que on sait en ce moment qu'il est innocent. Alors, à quoi ça sert l'armée d'accuser

traître était le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy. Cependant, le personnel a refusé d'annuler la condamnation et a affecté Picquart en Afrique du Nord. Pour attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille décide de contacter le vice-président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner en juillet 1897. En quelques mois, il est convaincu de l'innocence de Dreyfus. Le même mois, Mathieu Dreyfus porte plainte au ministère de la Guerre contre Walsin Esterhazy. Lorsque le cercle de Dreyfusard

secrets, est condamné au bagne à perpétuité pour trahison et déporté sur l’île du Diable. La famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence mais en vain. Pourtant Mathieu porte plainte contre le Commandant Ferdinand Walsin Esterhazy, le vrai traître. Alors que le cercle des supporters de Dreyfus s’élargit, deux événements quasi simultanés donnent une dimension nationale à l’affaire : l’acquittement d’Esterhazy et la publication de J’accuse(1) de Zola. Ils divisent la