Ferdinand Walsin Esterhazy

d'avoir livré aux Allemands des documents secrets. Il est alors condamné au bagne à perpétuité pour trahison et déporté. Sa famille tente de prouver son innocence et à l'issue d'une enquête on découvre que le vrai traître est le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy. Mais l'Etat Major refuse de revenir sur sa décision. Malgré les interpellations de l'opinion public avec le soutien de G. Clémenceau, la lettre ouverte J'Accuse... d'E. Zola et le ralliement d'une partie de la population des émeutes antisémites

devenu ambassadeur à Londres, en décembre enfin ministre des affaires étrangères. Pendant toute l’année 1823, il a dirigé la diplomatie française alors que l’armée, sous les ordres du duc d’Angoulême, pénétrait en Espagne pour rendre son trône à Ferdinand VII. La pleine réussite militaire et diplomatique de cette campagne, qui contrastait avec les échecs qu’avait subis Napoléon quelques années plus tôt, pouvait largement lui être imputée. Cela a joué certainement un rôle important dans le succès de

Le Syndicat le 1er décembre et de Procès-verbal le 5 décembre. Il le conclut par la phrase prophétique, restée célèbre : « La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera ». Le véritable traître en lieu et place d'Alfred Dreyfus, le commandant Walsin Esterházy, est dénoncé puis jugé par un Conseil de guerre à Paris le 10 janvier 1898. Il est acquitté le lendemain. Après la condamnation d'un innocent, c'est l'acquittement du coupable, ce qui amène Zola à la réaction. Elle fut extrêmement énergique.

Le Syndicat le 1er décembre et de Procès-verbal le 5 décembre. Il le conclut par la phrase prophétique, restée célèbre : « La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera ». Le véritable traître en lieu et place d'Alfred Dreyfus, le commandant Walsin Esterházy, est dénoncé puis jugé par un Conseil de guerre à Paris le 10 janvier 1898. Il est acquitté le lendemain. Après la condamnation d'un innocent, c'est l'acquittement du coupable, ce qui amène Zola à la réaction. Elle fut extrêmement énergique.

antisémite régnant un peu partout en Europe. Alfred Dreyfus, capitaine de l’armée française, est condamné au bagne à perpétuité pour avoir livré aux allemands des documents secrets. Il est déporté sur l’île du Diable. Le vrai traître est Ferdinand Walsin Esterhazy mais la justice préfère occulter la vérité faisant preuve d’antisémitisme. Des émeutes antisémites se développent un peu partout en France et même si l’affaire se dénoue, cela n’empêche pas le développement de publications antisémites tant

Le Syndicat le 1er décembre et de Procès-verbal le 5 décembre. Il le conclut par la phrase prophétique, restée célèbre : « La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera ». Le véritable traître en lieu et place d'Alfred Dreyfus, le commandant Walsin Esterházy, est dénoncé puis jugé par un Conseil de guerre à Paris le 10 janvier 1898. Il est acquitté le lendemain. Après la condamnation d'un innocent, c'est l'acquittement du coupable, ce qui amène Zola à la réaction. Elle fut extrêmement énergique.

de Le Syndicat le 1er décembre et de Procès-verbal le 5 décembre. Il le conclut par la phrase prophétique, restée célèbre : « La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera ». Le véritable traître en lieu et place d'Alfred Dreyfus, le commandant Walsin Esterházy, est dénoncé puis jugé par un Conseil de guerre à Paris le 10 janvier 1898. Il est acquitté le lendemain. Après la condamnation d'un innocent, c'est l'acquittement du coupable, ce qui amène Zola à la réaction. Elle fut extrêmement énergique.

fut dégradé et envoyé aux travaux forcés. On assiste à un antisémitisme marqué chez les antidreyfusards qui font tout en sorte que cette haine de fait que s’agrandir. On découvre après que le véritable coupable était le commandant français Ferdinand Walsin Esterhazy mais, l’État refuse de retourner sa parole et étouffe l’affaire. Le frère du capitaine Dreyfus entends la nouvelle par le chef du contre-espionnage, le colonel Georges Picquart et porte plainte au commandant. Tranquillement, le nombre de

Le Syndicat le 1er décembre et de Procès-verbal le 5 décembre. Il le conclut par la phrase prophétique, restée célèbre : « La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera ». Le véritable traître en lieu et place d'Alfred Dreyfus, le commandant Walsin Esterházy, est dénoncé puis jugé par un Conseil de guerre à Paris le 10 janvier 1898. Il est acquitté le lendemain. Après la condamnation d'un innocent, c'est l'acquittement du coupable, ce qui amène Zola à la réaction. Elle fut extrêmement énergique.

Le Syndicat le 1er décembre et de Procès-verbal le 5 décembre. Il le conclut par la phrase prophétique, restée célèbre : « La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera ». Le véritable traître en lieu et place d'Alfred Dreyfus, le commandant Walsin Esterházy, est dénoncé puis jugé par un Conseil de guerre à Paris le 10 janvier 1898. Il est acquitté le lendemain. Après la condamnation d'un innocent, c'est l'acquittement du coupable, ce qui amène Zola à la réaction. Elle fut extrêmement énergique.