Ferdinand Walsin Esterhazy

vérité.Par exemple Piquar en 1895,convaincu de l'innocence du capitaine Alfred Dreyfus, il joue un rôle important dans l'Affaire Dreyfus en relevant des indices accusant le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. Il découvre notamment un morceau de papier déchiré adressé par l'attaché militaire allemand à Esterházy. Lorsqu'il consulte les écrits d'Esterházy, il constate que c'est la même écriture que celle du bordereau, principal élément à charge contre Dreyfus.Georges Picquart décide alors de communiquer

frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat

frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. L'affaire Dreyfus se place dans le cadre de l'annexion de l'Alsace et de la Moselle, déchirure qui alimente tous les nationalismes les

l’innocence de Dreyfus, il crée le mouvement des Dreyfusards avec des auteurs connus tel que Bernard Lazare ou Émile Zola qui en écrivant dans la presse créa un conflit social. En 1896 le véritable coupable est reconnut et il s’agit du commandant Ferdinand Walsin Esterhazy mais il est acquitté à

universelles, l'écrivain décide de s'exposer publiquement, afin de comparaître aux assises pour qu'un nouveau procès, plus indépendant, puisse se dérouler. C'est cet article qui relance l'affaire Dreyfus, au moment où, le véritable coupable (le commandant Esterházy) étant acquitté, tout pouvait sembler perdu pour le camp dreyfusard. Cet article représente le symbole de l'éloquence oratoire et du pouvoir de la presse mis au service d'une cause juste et généreuse.    I – L’affaire Dreyfus   A) Accusations

allemand Schwartzkoppen adressées à Ferdinand Walsin Esterhazy, un ancien membre du contre-espionnage français. De là, il se procure le dossier secret et compare l’écriture du bordereau aux lettres. Plus aucun doute n’est possible, l’auteur du bordereau est Esterhazy. Problème, Picquart n’a pas le droit de contester l’autorité de l’Etat major, il risque d’être remercier, de plus l’Etat ne pouvant pas avouer son erreur judiciaire, les affaires Dreyfus et Esterhazy sont séparées. Mathieu Dreyfus décide

frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat

persuadé de l'incohérence de cette affaire et aidée par le journaliste Bernard Lazare, mène campagne pour la révision du procès. Un enquèteur engagé par la famille arrive même à prouver en 1896; que le vrai traître est en fait le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy. L'Etat Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte l'enquèteur en Afrique du nord. {text:soft-page-break} {draw:frame} La publication par Zola dans l'Aurore, en janvier 1898, d'une lettre ouverte au président de la

trahison, il est déporté sur l’île du Diable vers la fin de l'année 1894. Sa famille, notamment son frère Mathieu tente de prouver son innocence. Le colonel Georges Picquart, chef du contre espionnage, constate en mars 1896 que le commandant Ferdinand Walsin Esterhàzy est le vrai traître mais l’État Major refuse de revenir sur son jugement et envoie Picquart en Afrique du nord. Sa famille veut alors attiré l'attention du président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner qui fait savoir trois mois plus tard

frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat