Ferry

c’est la république opportuniste. B- la république opportuniste Difficile de mettre en place une politique. Problème de l’instabilité gouvernementale. Les républicains sont divisés. Au parlement on a la gauche républicaine menée par jules ferry, on a aussi l’union républicaine de Léon Gambetta et ensuite on a la gauche radicale dont le meneur est George Clemenceau. S’entendent a peu près sur les réformes mais pas sur le rythme et leur profondeur. C’est au gré des changements d’alliance que

à la direction des mœurs puisque elles forment les cœurs, les vertus alors que l’instruction forme l’esprit (uniquement les savoirs). Pour Condorcet et les révolutionnaire on est sur l’éducation d’un tout un peuple à contrario de l’école de jules ferry qui est sur l’instruction de quelques-uns. b. L’éducation dans les bornes de l’instruction Pour Condorcet la révolution doit être comprise dans la longue histoire des progrès de l’humanité c’est à dire qu’elle fait partie d’un processus dans l’histoire

la vie civile, l’évolution du droit et de la morale, etc., indépendamment de tout dogme religieux. La Troisième République a notamment recréé l’organisation du système scolaire, en instaurant l’enseignement public, laïque et obligatoire (lois Jules Ferry). Ce processus s’est conclu par la loi sur la séparation des Églises et de l’État en 1905, qui a marqué l’aboutissement d’une laïcisation affirmée. Au long du xxe siècle, l’État a légiféré et généralisé la laïcité en concevant de nouvelles règles

les citoyens, toutes classes confondues, sur les mêmes bancs. Pour libérer l'enseignement de l'influence des religieux, le gouvernement crée des écoles normales, dans chaque département, pour assurer la formation d'instituteurs laïcs. Grace à Jules Ferry en 1881 l’école devient laïque et gratuite. II – Le combat pour la laïcité A – L’opposition des catholiques Les relations entre l’Église catholique et l’État français sont fixées par le concordat de 1801. Depuis l’affaire Dreyfus, les catholiques

députés de 1870 à 1881 ; puis président du conseil et ministre des affaires étrangères du 14 novembre 1881 au 30 janvier 1882 connu sous le nom de « Grand Ministère ». Il incarne le parti de l'Union Républicaine, face à la Gauche Républicaine de Jules Ferry et le centre Gauche de Thiers . Donc, les thèmes principaux dans ce texte sont : les grands traits de la République et les réformes. A partir de là, on peut alors se demander comment Gambetta, à travers sa déclaration à l'Assemblée démontre que par

Il fut élu député républicain radical de la ville de Paris en 1870. Clemenceau devint la figure de proue des radicaux de l’extrême gauche et se fit remarquer par de fortes prises de position. En 1885, il s’opposa à la politique coloniale de Jules Ferry tant et si bien qu’il le contraignit à démissionner. Ayant déjà fait chuter le ministère de Léon Gambetta l’année précédente, il gagna le surnom de « tombeur de ministères ». Son tempérament fougueux lui valut également quelques ennuis. Ainsi, en 1872

refus d'une telle « trahison ». Le jour même, la Garde nationale des quartiers populaires organise un soulèvement afin de tenter de prendre l'Hôtel de Ville. La Garde nationale des quartiers bourgeois, emmenée par Jules Ferry, s'y oppose et empêche le coup de force. Clemenceau et Ferry deviennent ce jour des rivaux acharnés15. Désavoués pour leur complicité avec les révolutionnaires, le maire Arago démissionne, suivi de Clemenceau15. Le gouvernement obtient la confiance des Parisiens par le plébiscite

de l'enseignement primaire, modifie la composition et les attributions des Conseils départementaux, assure aux instituteurs des traitements plus élevés et des garanties nouvelles, et prépare l'élimination graduelle du personnel congréganiste. Jules Ferry, ministre de l'instruction publique, d'accord avec le rapporteur sur toutes les questions de principe, estime toutefois qu'un projet aussi étendu et aussi complexe aboutirait difficilement à une solution. Il juge plus pratique de s'attaquer d'abord

voir leur éducation changer. Chlo’ : Julie-Victoire de Fontenay- le Château a été la première fille à avoir son bac en 1961 ! Meg : Camille sée va créer une école normale pour former des enseignantes . Marine : Le plus important est Jules Ferry , l’homme qui a déclaré l’école obligatoire , gratuite et laÎque. La loi Haby a ensuite créé l’école pour tous . Aujourd’hui , filles et garçons apprennent ensemble les mêmes choses , sous le même toit . Meg’ : En un quart d’heure, nous avons retracé

social Jusqu’au milieu du 20ieme siècle divisé en 2 réseaux Primaire : enfants de 6 à 12 ans, a subit des tiraillements, enjeu de conflits entre l’église et l’Etat car à la période ou il se met en place (1880) de manière très difficile (époque Jules Ferry), car avant l’école était dirigée par les religieux mais qui concernait qu’une faible partie de la population « les petite écoles religieuses » qui donnait un certificat d’étude à 12 ans et pour les bourgeois ils avaient le choix d’aller dans le secondaire