Figure Du Tyran

je t'ai donné la vie »Auguste s'impose comme un père « Comme à mon ennemi, je t'ai donné la vie » « Je te la donne encore comme à mon assassin » = Chiasme = figure paternel amour inconditionnel : le père ne peut pas tué le fils qui l'a trahi Auguste aussi le père d'Emilie « ma fille » Auguste ne fait pas le généreux seuleument pour la figure paternel, mais il est généreux avec ses énémis pour des raisons stratégique. En effet sa clémence lui permet de donner une nouvelle image au peuple et ainsi

Extrait n°2 (lecture analytique n° 6) : p. 31, « tous les tyrans » à « il est insensible » INTRODUCTION : Pblm : Comment LB fait-il la diatribe de l’usage du divertissement comme moyen d’asservir les peuples ? Annonce du plan : On verra comment l’écrivain s’appuie sur des exemples historiques pour fustiger le recours au divertissement pour contrôler les populations. On montrera enfin que derrière cette diatribe contre les tyrans, c’est aussi le peuple que LB critique en fustigeant sa lâcheté

Ce qui est complètement insensé, c’est de considérer comme étant « juste » tout ce qui figure dans les institutions et les lois des peuples, ou même, les lois (en admettant qu’il en soit !) portées par des tyrans. Si les Trente d’Athènes* avaient eu la volonté d’imposer des lois ou si leurs lois tyranniques avaient plu au peuple athénien tout entier, serait-ce une raison pour les considérer comme « justes » ? À aucun titre, je crois, - pas plus que cette loi qui porta chez nous un interroi** donnant

du moment où, au premier siècle après J.-C. le jeune empereur Néron s’affranchit du joug maternel de sa mère Agrippine et devient progressivement le tyran qui a laissé un souvenir sanglant dans l’Histoire pour les meurtres de son frère Britannicus et sa mère Agrippine. Comment les propos d’Agrippine donnent-ils une représentation de Néron en tyran et en fils monstrueux ?  Les vers 1 à 4 évoquent des faits accomplis par Néron.  Dans les vers 5 à 23 du passage, Agrippine évoque sa vision de

logique et mathématique, si tout le groupe (village, pays, nation) refuse de donner son accord alors le tyran seul n’a plu aucun pouvoir. Il n’est même pas forcément utile de se battre contre le tyran, juste refuser de le servir. La Boétie le résume clairement en essayant de comprendre : «  comment il se peut que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois un tyran seul qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire qu’autant qu’ils

personnage-narrateur à Hamm (« Ton de narrateur /Ton normal »), différence cependant qui ne va pas jusqu’au bout puisque certains tics de langage du narrateur-personnage rappellent ceux de Hamm comme le « fââcheux », p.70. 2.2 ) Hamm = le narrateur tyran et Clov = l’enfant abandonné ? On peut donc se demander si Hamm ne raconte pas la propre histoire des personnages sur scène. La situation des personnages dans le roman semble être le doublet de celle des personnages sur scène : le monde est

rentrer dans un jeu pervers de domination et soumission. Le bouffon et le roi étant deux figures récurrentes du théâtre, on a à faire ici à une scène où la tyrannie tente de pervertir le rôle traditionnel du bouffon : plaire, distraire et faire réfléchir avec légèreté. C’est un tyran qui agit et parle pour dessiner un portrait paradoxal du bouffon de sorte que tous deux se livrent à un jeu à double tranchant. Un tyran 1. volonté de domination 2. la peur 3. un fou Un portrait paradoxal du bouffon

calculée) à l’image d’une peinture. 3 Le fantasme est la combinaison de l’ombre (captivité, le tyran voit la prison comme une ombre où s’apaiser, associé aux pleurs) et la lumière (captives, vierges médiatrices donnent à l’homme la respiration) = impossible de concevoir une lumière heureuse à condition qu’il y ait une égalité entre ombre et lumière (c’est le jour et pas le soleil qui entretient la figure du jour car le soleil est meurtrier puisqu’il est temporaire, il est évènement et non milieu et

• Texte A : Alfred JARRY, Ubu Roi, acte Ill, scènes 3 et 4, 1888. À la fin du texte A, l’élève fait le point sur les figures de roi qu’il propose. Il serait souhaitable qu’il emploie des termes précis et techniques sur la royauté. On cherche à faire produire une récapitulation claire et exhaustive, sans indiquer les preuves dans l’immédiat. Il s’agit pour l’instant d’un simple exercice de synthèse sur le texte. Quatre rois : • Ubu : c’est le nouveau roi de Pologne, un usurpateur

Introduction : La figure du tyran occupe une place centrale dans la pensée et la littérature, comme le montre en particulier la tragédie attique du Ve siècle. Le thème de la tyrannie s'introduit ainsi dans l'histoire même des dieux. La tyrannie sert de référence pour analyser d'autres réalités, ou d'autres régimes . Notre corpus est composé de cinq œuvres : - Britannicus : c'est la deuxième grande tragédie de Racine - Antigone : Créon est le tyran le plus célèbre de tout le théâtre grec