Fin De Partie

souvenirs de carte postale, Hamm demande à Clov de boucler les couvercles. Celui-ci s'exécute, laissant mourir Nell tandis que Nagg pleure en silence dans sa poubelle. Hamm et Clov restent seuls et poursuivent leur comédie. Comme pour l'empêcher de partir, Hamm multiplie les ordres donnés à Clov: il lui demande de le promener dans la pièce en rasant les murs puis de le replacer au centre exact de celle-ci; d'observer la mer à la lunette par la fenêtre de droite pour savoir si quelque chose n'arrive

Philosophie. Erin Gruwell, jeune professeur d'anglais, débarque à Long Beach, un des quartiers les plus chauds de la West Coast. Pleine d'espoir et de naïveté (à la limite même de la niaiserie), elle se donne à fond pour ses élèves. Bien qu'incomprise dans un premier temps, elle réussit à force d'acharnement à enrayer les préjugés raciaux au sein de sa classe. Elle en oublie même sa vie de couple. Comme une sorte de sacrifice pour ses élèves. On pourrait voir ce sacrifice comme un acte

soumettre. Les personnages se définissent par les objets qu’ils utilisent 3. Rôle important dans le dénouement. Hamm se retrouve avec son « vieux linge » qui est à la fois le baillon mais aussi le rideau qui marque la fin de la pièce. On voit disparaitre les objets, mais Clov apparait, à la fin, affublé de nouveaux objets qui caractérisent le départ. Il est sur le départ, les objets ici semblent représenter l’adhésion à de nouvelles valeurs, Clov est transformé par l’objet. Cependant, Clov n’utilise pas

la possibilité de s'évader que par la pensée; en créant un univers fictif. Les personnages n'essaient même pas de se représenter le monde idéal, ce monde idéal relevant du souvenir. On ne saura jamais s'ils sont comme un fou imaginant un univers de fin du monde.

1ERE PARTIE : UN ESPACE MONDIALISE CHAPITRE 1: Mondialisation & Interdépendance Introduction : La mondialisation est un processus de mise en relation, d’espaces et d’hommes à l’échelle mondiale, elle provient d’évolutions économiques, techniques, culturelles liées à l’extension du système capitaliste dans le monde et cela remonte au 19eme siècle. Cela se renforce dans les années 1850-1914 : les deux révolutions industrielles et l’essor de la colonisation. Le tournent est en 1950 : on a des

Fin de Partie, est une pièce de théâtre particulière en effet celle-ci ne rentre pas dans les codes de mise en scène traditionnels du Théâtre. Le rôle de cette mise en scène est primordial pour la compréhension de l’œuvre. Beckett a donné une signification à chaque objet, chaque chose afin de rendre cette ambiance bien particulière qu’est celle de Fin de Partie. D’où l’importance des didascalies qui donne la direction à prendre par les acteurs. Mais nous noterons aussi que il y à une sorte de

SCHOPENHAUER I. Schopenhauer II. La pensée de l’auteur III. Schopenhauer dans Fin de Partie, S.Beckett Schopenhauer Arthur Schopenhauer (1788-1860) Philosophe allemand issu d’une riche famille de banquiers, Arthur Schopenhauer a suivi les cours de Fichte et du sceptique Schulze. Après une série de voyages en Europe, il entreprend des études de sciences naturelles et de philosophie. Il vit en solitaire, sans responsabilité civile, enclin à la mélancolie et au cynisme

de manière démesurée face à l’agresseur supposé. Intertextualité ?? : La scène reprend des éléments classiques du burlesque. En 1952, dans "Les Feux de la rampe", Chaplin qui joue le rôle d'un comique en "fin de partie" propose un numéro de dompteur de puces (sans grand succès). A la fin du numéro, la puce est aussi dans le pantalon et fait réagir son dompteur de manière tout aussi burlesque. Y aurait-il ici un clin d'oeil de Beckett ? D'autant que Buster Keaton y fait également une apparition

irrémédiable. L’un des phénomènes essentiels de la dramaturgie de Beckett est qu’il tisse sa trame dramatique sur un univers inquiétant dans lequel les valeurs qui régissent le cours normal de la vie se trouvent subverties. Tel est le cas de Fin de Partie (1957), pièce attestant à bien des égards le discours beckettien basé principalement sur une vision pessimiste de l’existence et l’échec de toutes tentatives humaines dans ce monde dérisoire dépourvu de sens. C’est sur une temporalité brouillée

parviens à obtenir la richesse que je désire, j’en éprouverai naturellement une forme de joie). Ainsi, il peut sembler légitime de faire de la réalisation des désirs la condition nécessaire et suffisante du bonheur. C’est d’une telle idée que semble partir Kant lorsqu’il définit le bonheur comme « satisfaction de tous nos penchants » (dans leur diversité, leur intensité et la durée). Ce lien apparent entre bonheur et désir pose de nombreuses questions et problèmes en philosophie. En premier