Finalisme

ensemble avec l’intelligence, nous renseigner sur l’essence des choses, le sens de la vie et d’autres énigmes de la vie. Le finalisme, finalités (« goals » ou « purposefulness ») et le mécanisme – Toujours selon M. Bergson, l’intelligence humaine, façonnée aux demandes de l’action humaine, procède par intention et par calcul, par la coordination de moyens à une fin (c’est le finalisme) et par la représentation de mécanismes (p. 47 de l’extrait de l’Evolution créatrice) pour arriver aux fins (« results »

pages 44 et 46, Hobbes et Spinoza abandonnent l’idée de finaliste de la nature humaine pour introduire l’idée d’un régime qui organise la paix entre les Hommes ; bien qu’ils aient des divergences sur la méthode à utiliser pour y arriver. Le rejet du finalisme ouvre la porte au relativisme des régimes ; il n’y a pu de régime meilleur qu’un autre. - Idée 3 : Entre les pages 44 et 46, Marx, Comte et Pareto abandonnent l’idée supra-historique des régimes politique pour introduire l’idée de rapport de

provocation : ce sont les 2 manières de se rapporter à la nature d'après Heidegger. La production renvoie à la technique artisanale (qui n'accumule pas, ne stocke pas). La provocation renvoie à la technique industrielle (qui accumule et qui stocke). - finalisme : idée selon laquelle il y a à l'œuvre une intention dans la nature (but, téléologie). Il y a des moyens et des fins. - mécanisme : ________________n’y a pas__________________________ Il y a des causes et des effets. - l’objet technique se caractérise

HLP – PHILO Hambli – Partie B – La représentation de la science moderne – Partie 1 – a – Principes et perspectives 1 B- La représentation de la science moderne : un miroir objectif du monde Avec la découverte du Nouveau Monde, l’homme de la renaissance a dû changer ses représentations : • De la nature • Des autres cultures • De la place qu’il occupe dans le monde A partir de la Renaissance s’effectue une transition entre la vision du théocentrisme (Dieu est le centre de tout) à une

l’idée de l’apparition de la vie selon Dieu, mais comment explique-t-il alors l’apparition de Dieu ? D’un être supérieur à l’Homme ? Au XVIIèmesiècle, notamment avec les travaux de Galilée et Descartes, se développe la pensée mécaniste, opposée au finalisme. Selon cette pensée, la nature s’explique en fonction de deux données : la matière et le mouvement. De ceux-ci sont dégagées les lois mécaniques qui expliquent les régularités des phénomènes naturels et rendent par conséquent compte de l’ordre du

a) Qui constitue ou concerne un terme ; SYN. ultime, dernier, opposé à initial. b) Cause finale : qui provoque ou explique un fait à la manière d'un but à atteindre, ou comme moyen par rapport à une fin ; opposée à cause efficiente ; cf. cause, finalisme, téléonomie. 7. Finalité. : a) Fait de posséder une fin, une signification, d'être organisé selon un dessein, un plan ; on distingue : la finalité externe qui a pour fin un être autre que celui dont il est question ; la finalité interne à un être

successivement, il a fallu détrôner la Terre, l’humain, puis le moi. Comme l’avait dit SPINOZA, l’h se croyait « un empire dans un empire », i. e. croyait échapper aux lois objectives de la nature par son statut de sujet, et raisonnait avec le finalisme. § 2. Au finalisme, Balzac réplique : « la nature sociale est une nature dans la nature » (Modeste Mignon). Mais peut-on vraiment objectiver l’h, i.e. trouver les mécanismes qui déterminent ses comportements en société ? Oui, si un groupe n’est pas une juxtaposition

a) Qui constitue ou concerne un terme ; SYN. ultime, dernier, opposé à initial. b) Cause finale : qui provoque ou explique un fait à la manière d'un but à atteindre, ou comme moyen par rapport à une fin ; opposée à cause efficiente ; cf. cause, finalisme, téléonomie. 7. Finalité. : a) Fait de posséder une fin, une signification, d'être organisé selon un dessein, un plan ; on distingue : la finalité externe qui a pour fin un être autre que celui dont il est question ; la finalité interne à un être

elle-même visible, elle est déductible. D’une façon générale, la biologie explique le visible complexe à partir de l’invisible simple. En laissant une place au hasard, elle ne contredit pas sa vocation scientifique, mais au contraire échappe au finalisme non scientifique. Le hasard n’est pas ici le refus irrationnel d’explication, mais une condition de l’explication biologique. III. Les transformations du vivant. La biologie comprend d’une part l’histoire naturelle, qui se place à l’échelle

facultés sont rattachées comme à leur cause à une puissance, à un principe... à ce qu’Aristote appelle une âme. L’âme est le principe d’animation, le principe de la vie. L’âme est une forme, le corps est la matière. VOIR AUSSI II. 1. point sur le finalisme. L’idée principale à retenir : l’idée qu’il y a bien une matière vivante, spécifique par rapport aux conditions physico-chimiques. Le problème d’une telle conception est qu’elle semble contredite par les découvertes de la biologie. En réalité, selon