Financiarisation

Jean-Claude Trichet attire notre attention sur le fait que l’euro est en péril en situation de conjoncture économique. Aujourd’hui, c’est aussi une certaine conception de l’Europe qui agonise. La crise actuelle solde à la fois les erreurs d’une financiarisation à outrance et la faute politique que furent le traité de Lisbonne et le déni de démocratie qui suivit le référendum sur le projet de traité constitutionnel en 2005. L’euro est-il en danger face à la crise ? Après avoir vu les effets dévastateurs

crédit dans les années 80, et la prolifération d'instruments financiers exotiques et mal compris qui ont été au cœur de la crise de 2007-2008. Les tendances les plus dangereuses, y compris la progression des déséquilibres globaux et la dramatique financiarisation de l'économie, se sont dangereusement accélérées à partir de 2004. On se souvient que Mme Thatcher, qui avait peu de goût pour le crédit, avait déclaré : « Je ne crois pas aux cartes de crédit. » Elle avait en effet une philosophie rigoureuse

investissements qui ne seront pas profitables à très court terme. Et ces contraintes peuvent être interprétées comme ne tenant pas compte des réalités opérationnelles de production, de qualité et de sécurité par les salariés. Nous pouvons dire que la financiarisation à court terme de l’activité, contribue à la perte de sens au travail. La compréhension Les salariés acceptent le changement à condition de le comprendre et de participer à sa mise en œuvre. Les changements incessants dans les entreprises (projets

médiatique ont de enjeux qui les dépassent. En effet, un énorme trou noir a englouti les projets de transformation et d’appropriation démocratiques des médias, alors même que concentration, leur déploiement multinational et multimédias, leur financiarisation et leur soumission à la logique du profit en faisaient des acteurs et les zélateurs de la mondialisation libérale. Les résistances à l’ordre médiatique n’ont d’autres objectifs que de redéfinir de tels projets. Quoi de plus démocratique ?

pousser psychologiquement une partie des employés au départ volontaire, réduisant ainsi les indemnités à payer. Des nombreux salariés (14000 entre 2006 et 2008) changent de postes à l’intérieur de l’entreprise, parfois sous contrainte. Cette financiarisation excessive, alors que l'entreprise compte encore de nombreux fonctionnaires, et, bien qu'elle soit de fait toujours contrôlée par l'État, induit des tensions, et une vague de suicides s’en suit, 58 entre 2008 et 2010. Tout ceci montre une certaine

on recherche des entreprises de grandes tailles pour jouer sur des volumes d’achats important c’est la massification. De plus il est nécessaire d’écrasé les coûts fixes comme les frais de publicités, coût s de fonctionnement des centrales. Financiarisation des entreprises : pour financer la croissance externe et l’internationalisation. Les enseignes font appels aux marchés financiers. Il en résulte un effacement des fondateurs il en résulte également un augmentation de la prise de risques (gestion

l’offre de monnaie L1 = la demande de monnaie pour des motifs de transaction et de précaution Y = la croissance économique L2 = la demande de monnaie pour des motifs de spéculation I = le taux d’intérêt L2 est en relation inverse du taux d’intérêt Financiarisation de l’économie : je rends la monnaie d’un bien Le modèle de Baumol Il date des années 50 et a pour objectif de modéliser le comportement financier d’un acteur. Baumol va raisonner au niveau d’un agent eco pour pouvoir ensuite extrapoler à

sociétés désireuses d’être sur l’un des trois premiers compartiments doivent impérativement respecter les critères suivants : Expliquer en quoi consiste la technique de titrisation ? La technique de titrisation, appelé aussi Mobélirésation, financiarisation ou sécurisation est une innovation consistant à transformer un paquet de crédits en titres négociables et à les céder sur le marché financier. elle procure un certain nombre d’avantage : • fournir de nouvelles possibilités de financement aux

l’instabilité politique se répercute sur la situation économique et financière, ce qui provoque une crise économique qui accentue l’instabilité politique. Le risque-pays s’est renforcé sous l’effet de la libéralisation, de l’internationalisation et de la financiarisation des économies (cf. crises dans les PE).   N.B. : pour les instruments de marché, le risque de crédit existe aussi : perte en capital sur le P de titres. La perte en cas de défaut dépend de la valeur de ces instruments et de leur degré

justifieraient ce changement : le marché à terme est tout d’abord moins facilement manipulable que les marchés spots de référence, caractérisés par une faible transparence et une production déclinante, synonyme d’une baisse de liquidité. De plus, la financiarisation des marchés pétroliers s’accroît et par là même la liquidité des marchés papiers. Tout ceci atteste du rôle central qu’occupent désormais les marchés à terme dans la formation des prix pétroliers. Cependant, que la référence retenue soit un marché