Financiarisation

change », de plus on voit que la balance courante américaine par PIB se nourri de plus en plus par l’endettement de l’économie tandis que les réserves internationales ont augmenté de 15% à 50% « manque de liquidité + endettement à cause de la financiarisation ». Aux Etats-Unis, le plan Paulson adopté pour sauver le secteur financier est estimé efficace mais à court terme, ce qui augmente le doute et la méfiance des opérateurs boursiers qui le condamne comme insuffisant, de plus le contribuable

intérêts passés et futurs », en rappelant comme Wall Street campe devant la Maison Blanche et/ou le Capitole. Et pourtant des solutions simples pourraient être mises en place. Cela passerait sans doute par des mesures visant à attaquer de front la financiarisation du secteur bancaire, en mettant un peu d’ordre dans les méandres « complexes » de l’innovation financière, et en effectuant une re-spécialisation des banques sur les activités financières d’une part, et commerciales de l’autre (qui s’occupent

de l’économie n’a pas été son unification. Le « modèle américain » ainsi que ses « clones » souvent cités en exemple ces dernières années (Grande-Bretagne et Espagne) apparaît comme la première victime de la crise. Les stratégies combinant une financiarisation de l’économie, une déréglementation et une acceptation de fortes inégalités en accroissent la vulnérabilité. Le cœur économique traditionnel de l’Union Européenne est appelé à traverser une période de dépression, voire de récession relativement

l'environnement, de protection du consommateur ou de l'investisseur, toutes les règles qui entravent la concurrence, et empêchent les nouveaux compétiteurs d'entrer sur un marché doivent être éliminées ; La propriété doit être légalement sécurisée ; Financiarisation. 2.2) Les écoles économiques parfois qualifiées de « néo-libérales » De nos jours le terme « néolibéral » est employé d'abord et surtout pour qualifier des écoles économiques libérales, telles que l'école autrichienne et l'école de

Obama a dit qu'il voulait se désendetter, P. Moscovici a rappelé que c'était le désenttement la priorité aussi. Que va t il se passer si tout le monde le fait en même temps ? La crise des subprimes met surtout en évidence l'instabilité de la financiarisation des économies. La spéculation sur la hausse constante des prix immobiliers est à l'origine. Et la titrisation est aussi mise en cause par la crise car a paralysé les marchés interbancaires : les banques ne voulaient plus se prêter entre elles

cso.edu/home.asp http://www.journaldunet.com/ Annexe 1 http://management.journaldunet.com/dossiers/050164livres/crozier.shtml Michel Crozier, "L'acteur et le système" "Aujourd'hui il faudrait intégrer une réflexion nouvelle sur la financiarisation" ----------------------- [1] http://www.cnam.fr/lipsor/dso/articles/fiche/crozier_fried.html [2] Philippe Bernoux , Sociologie des organisations [3] M.Crozier, E.Friedberg L’acteur et le système p.42 [4] P.Bernoux, La sociologie des

liquidité financière s’analyse, dès son origine, comme une transgression de l’économie réelle. » Si l’on suit cette analyse, on ne peut plus faire de l’explosion des marchés financiers dans les années 1980 une maladie de l’économie. La « financiarisation » est voulue et programmée par la communauté des investisseurs. Contrairement aux transferts de propriété entre gros actionnaires qui se font hors marché et dont vous n’entendez parler qu’après coup, les transferts d’action entre petits propriétaires

solidité financière des banques a donné naissance au canal du capital bancaire (chapitre 3). Ainsi, l’évolution des fonds propres des banques a une incidence majeure sur leur comportement. Tous les trois facteurs susmentionnés (gestion actif/passif, financiarisation de l’économie et exigences minimales de fonds propres) ont des effets potentiellement amplificateurs sur la transmission des décisions de politique monétaire. 21 Chapitre I Le rôle particulier des banques dans le processus de transmission

entreprises sans effets suffisants sur l'emploi 16 FAUSSE EVIDENCE N°7 : IL FAUT RASSURER LES MARCHES FINANCIERS POUR POUVOIR FINANCER LA DETTE PUBLIQUE Au niveau mondial, la montée des dettes publiques doit être analysée corrélativement à la financiarisation. Durant les trente dernières années, à la faveur de la totale libéralisation de la circulation des capitaux, la finance a accru considérablement son emprise sur l'économie. Les grandes entreprises recourent de moins en moins au crédit bancaire

juste valeur : L’adoption et l’utilisation de la comptabilisation à la juste valeur a compromis en fait les fondations des rapports comptables et financiers habituels. En effet, cette comptabilisation confirme expressément la logique de la financiarisation qui donne la primauté aux marchés financiers et aux investisseurs dans la détermination des normes comptables (Capron, 2006, p118). Cela conduit à s’intéresser plus à la gourme dont on peut défendre l’intérêt actionnarial au détriment des intérêts