Financiarisation

cgi?article=1000&context=cstch consulté le 12 décembre 2008. Pottier, C., « Mondialisation et mise en concurrence des salariés. Le rôle des multinationales », dans G. Duménil et D. Lévy (dir.), Le triangle infernal. Crise, mondialisation, financiarisation Paris, Presses Universitaires de France, 1999, p., 265. Radio-Canada., « L’État à la rescousse », http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/10/07/009-Crise_financiere-Rescousse.shtml, consulté le 28 octobre 2008. Stiglitz

Cette globalisation financière soulève plusieurs question qui vont prêter au débat. Certains économistes pensent que l’ouverture des marchés de capitaux permettent de financer l’économie mondiale dans les meilleures conditions. Pour d’autres, la financiarisation se développe au détriment de l’économie réelle (production, emploi). On entend par économie réelle les échanges de biens, de services, de capitaux et de travail…. Les marchés financiers sont un moyen de gérer ls ajustements nécessaires au sein

faillites de répandent en série. La crise s'installe au Japon à partir de 1990. En 1991 la France connait une grave crise immobilière , du en particulier à l'éclatement de la bulle immobilière concernant le marché des bureaux, provoqué par la financiarisation du marché immobilier. Les banques procèdent à des "lissages de provision". C'est le développement de l'ingénierie financière, et le développement du "Nouveau Capital" avec les financements structurés. C'est aussi le développement de la gestion

sujet : A : Le droit pourrait être un élément dynamiteur de l’activité économique 1 – Le droit et l'économie, une relation inévitable  Face à la mondialisation, à la place accrue de l'économie de marché et des entreprises, à la financiarisation croissante de l'économie, des régulations juridiques sont nécessaires, parce que le mécanisme des prix ne suffit pas pour borner le poids du plus fort et organiser la responsabilité des dirigeants. Rawls va parfaitement dans ce sens dans sa théorie

| |[pic] | |Le pilotage de la performance dans un contexte de financiarisation de l’économie  | |BOURASSI Hanane 

permis à la capitale de se désindustrialiser, cette dernière a su capitaliser les activités tertiaires. Le nombre de bureaux dans la capitale a donc augmenté depuis les années 1980 accompagnant l'arrivée de nouvelles entreprises étrangères. La financiarisation et le développement d'activités économiques ont engendré des conséquences sur toutes les facettes de l'urbain, depuis la forme physique jusqu'à la gouvernance urbaine car « le territoire n'est pas un simple réceptacle de logiques financières

sortir le management de l’impasse de son instrumentalisation au rang d’outil de légitimation du système en place, pour lui restituer sa portée analytique en tant qu’organe créateur de solutions face aux lacunes que révèle le contexte actuel de la financiarisation de la gestion des entreprises. Les objectifs du cours sont, ce faisant, de permettre aux étudiants : - d’apprendre à situer le management dans son contexte global, d’en définir le rôle et d’en mesurer l’impact sociétal; - de se constituer une

liquidité financière s’analyse, dès son origine, comme une transgression de l’économie réelle ». Si l’on suit cette analyse, on ne peut plus faire de l’explosion des marchés financiers dans les années 1980 une maladie de l’économie. La « financiarisation » est voulue et programmée par la communauté des investisseurs. Contrairement aux transferts de propriété entre gros actionnaires qui se font hors marché et dont vous n’entendez parler qu’après coup, les transferts d’action entre petits

Produits bien que présentant l’avantage de répartir le risque entre un plus grand nombre d’agents et d'assurer une plus grande stabilité au système financier mais loin de produire une accélération définitive de la croissance (Gafard et al). Cette financiarisation sophistiquée de l’économie a créé des conditions d’une forte instabilité. Toutefois, les inconvénients d’une telle dispersion du risque, qui a conduit à une grande opacité des produits financiers, n’étaient pas correctement perçus, faute de recul

PME continuent de s’adresser, quant à elles, aux banques. Compte tenu du fait que les GE s’adressent majoritairement au marché financier lorsqu’elles ont besoin de capitaux pour financer leurs investissements, on parle de « phénomène de financiarisation », ou de « marchéisation », c’est-à-dire que les marchés de capitaux jouent un rôle de plus en plus important. Et comme les marchés de capitaux sont reliés entre eux, c’est-à-dire que l’argent circule librement d’un marché à l’autre, on parle