Financiarisation

inspirer l’entreprise.   - L’entreprise a, par ailleurs, réalisé qu’elle pouvait influencer son environnement (cibles institutionnelles, pouvoirs publics, milieux financiers et boursiers, actionnaires, personnel...) par des opérations ciblées. La financiarisation de l’économie, la nécessité de fidéliser les actionnaires et de sécuriser les milieux financiers et bancaires renforcent le bien fondé d’une telle démarche.   - Les entreprises sont de plus en plus dépersonnalisées ; il n’y a plus – ou de moins

exprime ses regrets à propos de ces événements et annonce l'arrêt des notations des dettes publiques. Impact négatif sur les politiques publiques Plus fondamentalement, les critiques relatives à l'influence des agences de notation concernent la financiarisation de la politique. Cet aspect signifie que les politiques publiques des états tendent à s'aligner sur les exigences du secteur financier, qui ne sont pourtant pas les mêmes que celles des citoyens et n'ont aucune légitimité démocratique. Les critères

très onéreuses, ce qui a mis en cause leur solvabilité.  D'autant qu'au même moment, lesFonds d'investissement sont sur la même pente. On verra plus loin (chapitre 2) qu'ils sont de plusieurs types mais qu'ils ont tous joué un grand rôle dans la financiarisation des économies depuis les années 1980. Limitons-nous ici à évoquer le Fonds Madoff qui, fin 2008, perd 65 G$ suite à des retraits par les grandes fortunes ou les clients institutionnels, affolés par la crise. Aux 20% de la valeur des actifs  perdue

qu'une crise immobilière aux Etats-Unis puissent directement influencer la vie économique de milliards d'être humains tant les origines de la crise peuvent paraître lointaines pour certains , néanmoins, dans le cadre de la mondialisation et de la financiarisation des économies nationales , la crise du secteur financier décrite précédemment n’a pas tarder à se propager rapidement à l'économie globale de la majorité des pays du globe et ce principalement via le mécanismes du crédit qui ont été mis a rude

ne perd rien, il ne gagne rien non plus La banque quant à elle perd de l’argent. 2) Le baiser mortel de la finance Doc 1 – Le développement des marchés financiers A partir des années 1980 on développe le marché : « marchéisation », financiarisation, globalisation financière de l’économie. Le financement intermédié est délaissé Les Etats sont de plus en plus endettés, ils ont donc besoin de développer plus d’argent On applique la règle des 3 D : -Décloisonnement -Déréglemente (on

des années 1970, après le premier choc pétrolier, ne remettent pas en cause fondamentalement la croissance. Sans entrer dans le détail on pourra mettre l’accent sur quelques caractères communs (saturation des marchés, spéculations boursières, financiarisation de l’économie, etc.) et sur la diversité des réponses apportées à ces crises, qui d’initiatives étatiques sont aujourd’hui en quête de solutions internationales (G.20, F.M.I., O.M.C.). - Dans le contexte de l’épuisement des modèles idéologiques

LIMITES DE CETTE STRATEGIE A-Les raisons : a-L’environnement, avec les trois grands mouvements qui influencent le système productif à l’échelle mondiale. Il s’agit de la mondialisation, de l’irruption des NTIC et du mouvement de financiarisation. Ce dernier a été décisif dans le déclenchement des stratégies de recentrage. Ce processus s’est amorcé au début des années 1980 aux États-Unis. Ces entrepreneurs financiers avaient compris que la logique de diversification correspondait certainement

l’épreuve de la crise de confiance  CHARIBA Adnan  2010  Les crises économiques et financières: la pérennité du système et de la gouvernance économiques actuels  BRAZI Mohamed  2010  Le pilotage de la performance dans un contexte de financiarisation de l’économie  BOURASSI Hanane  2010  Analyse stratégique d’une PMI: cas de Fermetures 2000  BOURASS Yousra  2010  La MRP au service de la réduction des coûts  BOUNIT Mohammed  2010  Gestion des risques bancaires : Cas du risque

mais compensé par les inégalités au sein des pays Inégalités au sein des pays  Privatisation favorise les plus aisés (cf. Russie)  Epargne riche > épargne pauvres (effet boule de neige)  Effet des politiques (taxes héritage et capital)  Financiarisation => Retour sur investissement + élevés pour les grosses fortunesDiapositive 1 Les mesures des inégalités économiquesDiapositive 2 Données empiriquesDiapositive 3 Le XXème Diapositive 4 Aujourd’huiDiapositive 5 Les instruments de mesure des

mouvement ouvrier était fort et puissamment organisé D’après PLIHON, le capitalisme actionnarial repose sur 4 points : - La modification du rapport de force entre travail et capital dans la répartition de la richesse nationale. - La “ financiarisation ” de la gestion des entreprises : l’augmentation forte du taux d’autofinancement des entreprises et la modification du rapport de force entre actionnaires, dirigeants et salariés au profit des premiers. - Le développement de la gestion collective