Financiarisation

financière : * Dérèglementation : suppression de règles et de limitations qui avaient étés mises en place dans les années de l’après guerre avec l’effondrement des parités fixes. * Décloisonnement : révolution informationnelle. * Financiarisation : du capital des entreprises par l’ouverture massive du capital des grandes entreprises aux actionnaires internationaux. Donc Désintermédiation, qui est le financement des entreprises par titres aux détriments des banques. Les évolutions

engrais chimiques Alfred Nobel & la chimie des explosifs: découverte de la dynamite B) Une nouvelle économie : les trusts, les bourses, le fordisme Ce qui caractérise la seconde industrialisation c’est la concentration des entreprises, la financiarisation, CAD le développement de l’ingénierie financière (essor des banques d’affaires, des bourses). On voit apparaître le management moderne avec la rationalisation du travail (Taylorisme & Fordisme), le marketing. 1) La concentration des entreprises :

FMI DANS LE SYSTéME MONƒTAIRE INTERNATIONAL 122 122 125 126 129 129 130 133 133 134 135 137 141 143 145 145 8.2.1 Le renforcement de la surveillance 8.2.2 La communication comme outil de contr™le 8.3 LA MONDIALISATION DE LÕƒCONOMIEÊ: SA FINANCIARISATION 8.3.1 Les marchŽ axŽs sur la gestion des risques futurs 8.3.2 Le regroupement des pays en tant quÕÇÊŽconomies de marchŽÊÈ 8.3.3 La ÇÊdŽcouverteÊÈ de la mondialisation 8.3.4 La libŽralisation et lÕintŽgration Žconomique rŽgionale 8.3.5 La flexibilisation

financière continue et de la forte polarisation de la distribution des revenus dans le monde. Eckhard Hein, dans une description parallèle, explore les trois dernières décennies pour retrouver les racines profondes de la dernière crise de la financiarisation de l’économie, et ses différentes conséquences: la régulation insuffisante des marchés financiers, l’accroissement des inégalités de la distribution des revenus et les déséquilibres des comptes des opérations courantes au niveau mondial. Il montre

OCDE du G20 et chute des paradis fiscaux.) 3. Innovations financières produit de plus en plus complexes On assiste à une sophistication des produits et techniques financières (croissance des produits dérivés et titrisation). Cette financiarisation a modifié le comportement des acteurs principaux que sont les investisseurs ; ceux ci recherchent plus désormais la rentabilité à court terme et la liquidité que l’investissement à but industriel et commercial, durable. Ils veulent aussi se couvrir

d’investissements, les boursiers, ou encore les banques qui multiplient les nouvelles activités (spéculation, investissement, consentement de prêts très risqués) grâce à la déréglementation du système bancaire, se renforcent. Cela conduit ainsi à une financiarisation de l’économie et à un capitalisme financier dans lequel, l’intérêt de l’actionnaire efface le prestige du manager et la rentabilisation du capital investi s’impose comme la mesure première du bien-être collectif. Enron, Alcatel, WorldCom sont

pour ensuite vivre une crise majeure en 1929, et revenir en 1990 à son niveau de départ, puis il y a quelque temps rechuter. Pour Landier et Thesmar nous sommes donc dans une époque qui est « à la fois une seconde mondialisation et une seconde financiarisation ». La bourse à toujours été un investisseur de long terme contrairement aux banques qui investissaient sur le court terme. Il y a aussi le fait que la concurrence n'est pas très développée en France, on a un fort protectionnisme ainsi qu'une

internes, ... Elle est due à la perte de certains repères et à l'effacement progressif de la frontière entre ce qui est permis et ce qui ne l'est pas, * la montée des risques liée à la globalisation, à la dématérialisation des opérations, la financiarisation, ... Ce sont des tendances profondes. On n'y peut rien et cela se traduit par une multiplication des situations délicates. Il est pour cette raison nécessaire de mettre en place des mesures appropriées de façon à limiter le niveau des risques

internes, ... Elle est due à la perte de certains repères et à l'effacement progressif de la frontière entre ce qui est permis et ce qui ne l'est pas, • la montée des risques liée à la globalisation, à la dématérialisation des opérations, la financiarisation, ... Ce sont des tendances profondes. On n'y peut rien et cela se traduit par une multiplication des situations délicates. Il est pour cette raison nécessaire de mettre en place des mesures appropriées de façon à limiter le niveau des risques

entreprises, l’exercice du pouvoir va peu à peu être transféré au dirigeant (directeur) de l’entreprise désigné par les actionnaires eux-mêmes. De nombreux actionnaires cherchent à reprendre le pouvoir et à rétablir un réel contre-pouvoir. La financiarisation de l’économie a donné un coup d’arrêt au pouvoir sans limite du manager salarié. Les actionnaires se mettent à exiger des informations des comptes et à s’intéresser aux stratégies lors des assemblées générales. 1 – LES DIFFERENTES PARTIES PRENANTES