Finitude

1er défi : Préserver l’environnement Les ressources naturelles ne sont pas infinies. La faune, la flore, l’eau, l’air et les sols, indispensables à notre survie, sont en voie de dégradation. Ce constat de rareté et de finitude des ressources naturelles se traduit par la nécessité de protéger ces grands équilibres écologiques pour préserver nos sociétés et la vie sur Terre. Parmi les principaux enjeux environnementaux, les thématiques suivantes ont été identifiées : Economiser et préserver les

dépendre de personne. Autarcie, se suffire à sois même. Eudémonisme : somme des postulats qui considèrent la recherche du bonheur comme moral. Ensemble des postulats considérant la recherche du bonheur comme absolument moral. Frugale : simple Finitude : Caractère limité de l’homme Homme juste : selon Platon tempérament courageux est sage. Hubris : démesures, quelque chose qui dépasse l’homme Hédonisme ascétique : limite contre le manque, travail rationnel, raison fondée sur le bonheur

l'investissement en R&D... B. Décroissants : croissance en elle-même qui est en cause. Croissance est intenable, si on l'entend comme développement indéfini de la X°. Elle est intenable pour 2 raisons : se heurte aux limites physiques de la finitude de la planète. N. Georgescu-Roegen : 2nde loi de thermodynamique, dite loi d'anthropie qui montre que le niveau d'organisation dans un système fini est voué à la dégradation. L'énergie une fois utilisée se dégrade irréversiblement après usage, pcq

un objet notoire de désir car il est issu de la recherche. Celle-ci est une relation à ce qu’on ne sait pas encore et dont l’esprit rêve que sa possession sera source de puissance et de plaisir. La connaissance permet de faire face au néant, à la finitude, à l’impuissance, à la mort. Le savoir est un enfant du désir. Encore faut-il éprouver la brûlure de son absence. L’ennui, comme expérience intime du néant, en est la meilleure préparation. Jean-Jacques Delfour

Introduction “Le défi climatique est une chance pour le capitalisme” est une interview de Pierre Dockès, professeur honoraire d'histoire de l'économie à l’université Lyon 2, publiée le 13 avril 2021 sur le site www.polytechnique-insights.com . Dans celle-ci, Dockès aborde les différentes formes de capitalisme, l’importance de l’innovation dans leur développement face aux crises de l’Histoire et finit par arriver à l’idée que le défi climatique actuel peut insuffler

LA PENSÉE D’ÉPICUREQUESTION 1 : Être heureux consiste à éprouver une satisfaction totale durable et qui provient d’un état général. Or la connaissance de notre finitude inévitable, nous fait ressentir de la peur et de l’appréhension. Un sentiment négatif qui nuit à notre état de plénitude. C’est donc un obstacle dans notre quête du bonheur. De plus selon Épicure, notre propre mort, n’est pas quelque chose dont l’on peut avoir peur. Il pense notamment que « la mort n’est rien pour nous ». En effet

voit le désespoir (presque mortuaire) que dépeint Pascal à travers l’homme lui même et sa nature misérable. Le désespoir retranscrit par des actes « trompe réalité » qui sont là pour faire oublier les malheurs que se cause l’homme lui-même et sa finitude. Les trois fragments montrent chacun un exemple des « vaines agitations » de l’homme pour ne pas tomber dans l’ennui

leurs désirs puissent ne pas être comblés, or nous dirons pour reprendre les mots de Descartes, qu’il vaut mieux changer ses désirs que l’ordre du monde. L’aspect insatiable des désirs inhérents à notre nature fait que nous sommes condamnés à notre finitude et à la frustration. L’homme doit de ce fait apprendre à gérer et à réguler ses tendances narcissiques et ses penchants. De cette lucidité et de cette grande prise de conscience il découle un savoir douloureux de ce que nous sommes et de ce que sont

dans les journaux télévisées ou d'articles de presse cela reste une réalité lointaine. En effet pour la plupart d'entre nous ce n'est que lorsqu'une personne de notre entourage fait face à la mort que l'on se rend compte de façon tangible de notre finitude. Ce livre m'a aussi fait réfléchir sur l'isolement qui touche en masse les personnes âgées qui perdent peu à peu leur force, leur autonomie - qui est la possibilité d'effectuer sans aide les principales activités de la vie courante et s'adapter à

(parole + actions) 3. L'épopée consacre la Kléos (la gloire) du héros, sa capacité à se battre seul contre tous, contre le destin (les dieux et leur rancune), et par là-même les valeurs qui l'ont animé et soutenu : - endurance - sentiment de sa finitude humaine assumée et consentie (refus de l'immortalité) - amenuisement de son hubris (suppliant et non plus arrogant) - courage - respect des règles religieuses (pratiques + épisode des vaches) digne d'être immortalisé par le chant de l'aède