Finitude

irrationnelle du monde ne désigne pas « un vainqueur ». Le théorème de Gödel résume, synthétise la situation d’opposition »tout systèmes contient forcément au moins un élément indémontrable ».Lavoie mystique est la plus sure si on veut toucher la finitude mais elle n’est pas une réponse à tous les caractères constituants le monde. La théorie scientifique, s’enferme dans une conscience, une vision du monde humaine. On peut dire qu’aucune de ces deux théories ne répond pleinement à la question de la

variables qui élaborent des buts par négociation Propriétés de nature structurelle   L’existence d’une frontière qui permet de distinguer l’organisation d’un univers qui lui est extérieur. L’organisation implique des frontières et une finitude. Propriétés de nature structurelle  Possession ou disponibilité de ressources, matérielles et immatérielles, constituant un patrimoine qui conditionne le développement des activités. Propriétés de nature processuelle   L’intentionnalité

par le doute qu'il est imparfait et tire, selon Descartes, de Dieu l'idée de perfection qu'il ne peut pas produire lui même. (référence 1) En s'examinant, l'homme prend conscience de sa fragilité, « un rien peut nous détruire » (Pascal) ou de sa finitude, « l'homme se situe entre l'infiniment petit et l'infiniment grand ». Il perd ses repères avec « le passage du monde clos à l'univers infini », il est « un milieu entre rien et tout ». Pascal insiste sur la misère de la condition humaine. L'homme

faire pour éviter l'erreur dans les sciences (1712) La recherche de la vérité est d'abord orientée dans la connaissance de l'esprit humain et sa définition métaphysique : cf. Descartes, l'erreur et la tromperie, marques de mon impuissance et de ma finitude, la certitude et la vérité comme « connaissance claire et distincte », preuves de mon existence d'être pensant, et que l' « âme est plus aisée à connaître que le corps » ( voir Méditations métaphysiques) b) La vérité comme horizon de la recherche

chasseur, qu'importe le qualificatif, l'homme s'occupe, se divertit pour ne pas souffrir un retour à soi inquiétant où sa condition innée et actuelle (elle ne change que socialement, conventionnelle, de manière contingente...) lui ferait apercevoir sa finitude. L'élucidation pascalienne, procédant par approfondissements successifs du

L. FERRY, « Apprendre à vivre, Traité de philosophie à l’usage des jeunes générations », édit. Plon, Paris, 2006 Chapitre I page 15-31 : qu’est-ce que la philosophie ? La finitude humaine et la question du salut Philosophie et religion : 2 façons opposées d’approcher la question du salut. Les trois dimensions de la philosophie : l’intelligence de ce qui est (théorie), la soif de justice (éthique) et la quête du salut (sagesse) P15 : L’histoire de la philosophie = 5 étapes P15 : Définition de la

tous. Ainsi, sur un plan purement biologique, il serait totalement stérile de différencier l’homme des autres espèces. Il n’est pas « un empire dans un empire » (Spinoza) mais bien un des éléments de cet empire. L’homme n’échappe pas non plus à la finitude. A la mort. Individuellement et probablement aussi en tant qu’espèce. Ainsi F. Nietzsche écrit-il « il y a eu des éternités où il ne fut pas ; quand il aura de nouveau disparu, il ne se sera rien passé » insistant ainsi sur l’insignifiance de l’homme

pas prendre conscience de notre finitude, nous fuyons cette prise de conscience car elle nous effraie et nous angoisse. “La chasse, la conversation des femmes et le jeu” sont des dérivatifs puissants à l'angoisse et à l'ennui. Mais ils sont superficiels. Nous ne serions véritablement sereins que si l'on pouvait “demeurer en repos dans une chambre”, c'est-à-dire si l'on était capable de supporter l'inaction et la solitude qu'implique le face à face avec notre finitude. Le sujet doit donc

cela, l’homme peut s’élever au dessus des bêtes et se rendre « semblable à Dieu ». Pascal pense que la conscience fait la grandeur de l’homme dans le sens où elle permet de prendre du recul sur soi. Néanmoins celle ci peut être un fardeau car la finitude est un savoir sur soi qui plonge l’homme dans une grande détresse. 2) « je pense donc je suis ». Descartes est un philosophe qui considère que la grandeur de l’homme passe par sa conscience mais que celle-ci est médiate. Il pense aussi (ainsi

Alcinoos, c'est cette opposition qu'il met en avant : « je ne ressemble aux Immortels qui possèdent le ciel immense/par la taille ni part le port : je ne suis que mortel » (VII, v.208-210). Ulysse est conscient de sa condition d'Homme et en accepte la finitude. Il refuse l'immortalité que lui offre Calypso et accepte la mort, mais il veut mourir chez lui : « que je meure, mais revoyant/mes servantes, mes biens et ma grande haute demeure » (VII, v.224-225). Or, c'est là ce que semblent lui refuser les dieux