Fixation Des Prix Danone

COMMERCIALISATION Marc Filser ............................................... Marc Filser ............................................... Pierre Desmet ........................................ 279 287 311 Les fondamentaux Distribution Politique de prix PARTIE 7 RESSOURCES HUMAINES 337 345 369 Les fondamentaux Thierry Picq ............................................. La gestion des ressources humaines face au défi de la diversité Thierry Picq ...........................................

l’émergence de postes spécifiques. Pour illustrer notre présentation et montrer à quel point les missions sont diverses à l’intérieur même d’un poste voici un descriptif de fonction d’un Contrôleur de gestion de centre de profit décentralisé de la société Danone. Descriptif de fonction Sa mission peut se résumer de la façon suivante : Concevoir et faire évoluer les méthodes et les moyens d’information et de contrôle du département. Animer et coordonner les différentes phases du cycle de planification.

du mandat : 2015 Renseignements personnels – Expérience et expertise Antoine Bernard de Saint-Affrique est Président de l’activité Alimentaire (Foods) de la société Unilever. Après avoir été Directeur du Marketing de la société Amora-Maille (groupe Danone puis PAI), il rejoint le groupe Unilever en 2000. Il y exerce les fonctions de Directeur Europe de l’activité Sauces et Condiments jusqu’en 2003, puis devient Président-Directeur Général d’Unilever Hongrie, Croatie, Slovénie de 2003 à 2005, et enfin

en partenariats ........................................................................ 42 b) Implantation au Japon sous forme de filiale ..................................................................................... 42 c) Décomposition du prix de revient des voitures japonaises avec 2 exemples....................................... 43 d) Mise en place d'une veille systématique sur le Japon........................................................................ 43 BIBLIOGRAPHIE.......

Banque, Assurance, …). Entre 1999 et 2003, ayant atteint une taille critique, le Groupe consolide ses positions et tissent des liens étroits avec de nombreux partenaires internationaux avec lesquels il signe plusieurs accords (SEMAFO dans les mines, DANONE pour BIMO et Leader Food, AUCHAN au niveau de la grande distribution, …). En 1999, l’ONA prend le contrôle de la Société Nationale d’Investissement (SNI) ; le nouvel ensemble ONA-SNI constitue un groupe doté d’une nouvelle dimension économique et

|sont pas totalement utilisées | Le management adapté à la théorie Y doit être fondé sur les éléments suivants : - la DPO qui suppose que le salarié participe activement à la définition et à la fixation de ses objectifs ainsi qu’au contrôle de leur réalisation. - La volonté d’aider le subordonné dès qu’il rencontre une difficulté, plutôt que de porter une appréciation périodique sur performances. - Clarification des modalités de calcul

▪ Segmentation et positionnement ▪ Objectifs datés et chiffrés - Mettre en œuvre la politique (marketing opérationnel) o Mise en œuvre du marketing mix (4P) ▪ Produit (Product) ▪ Prix (Price) ▪ Distribution (Place) ▪ Communication (Promotion) - Contrôler o Audit et contrôle des résultats au regard objectifs Marketing opérationnel – Mix marketing A : La décision Produit

le divise en segments, choisit les plus prometteurs et se consacre au service et a la satisfaction des clients de ces segments. L’entreprise élabore un marketing mix comprenant les variables contrôlables qui sont de son ressort, comme le produit, le prix, la distribution et la communication. Afin de trouver le meilleur marketing mix et de le mettre en action de façon plus efficace, la compagnie s’engage dans l’analyse, la planification, l’exécution et le contrôle des activités de marketing. Le passage

par Joan Woodward dans le cas de Ford. 1. Expliquez quels facteurs environnementaux ont poussé la General Motors à revoir sa stratégie. Deux facteurs environnementaux interviennent : – La concurrence : Ford propose un modèle unique de voiture à un prix très compétitif. Il occupe 60 % du marché. Cette concurrence met à mal la General Motors qui commercialise huit modèles dont seulement deux sont bénéficiaires. – La demande : les consommateurs semblent prêts à dépenser davantage, selon leurs revenus

d’examiner les questions agricoles . . . . . Avant-propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 11 13 15 17 Première partie La dégradation de la concurrence par les prix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Chapitre I 21 23 23 23 26 30 33 33 35 36 39 39 39 41 42 42 42 43 45 45 46 La réforme de 1996 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Évolution des relations entre fournisseurs et distributeurs