Flaubert Monologue Intérieur

première 1. La nécessité d’un schéma narratif : un début, un déroulement et une fin – donner un ou des exemples concrets de romans. 2. Inventer une histoire à partir de faits divers : exemples de romans dont par exemple Madame Bovary pour lequel Flaubert est parti d’un fait divers. 3. Les personnages : dans toute histoire le personnage est essentiel – donner des exemples de personnages de roman. Axe 2 : La mise en forme : l’histoire ne se suffit pas à elle-même, car il faut des techniques pour raconter

------------------------------------------------- SUPPORTS : Madame De Lafayette , La princesse de Clèves (1678) Stendhal , Le Rouge et le Noir (1830) Flaubert , Madame Bovary (1857) Camus , L’Etranger (1942) Boris Vian , l’Ecume des Jours (1947) Alain Robbe-Grillet , la Jalousie (1957) Un personnage de roman a un nom , une identité , et un statut social. Le personnage principal d’un roman

de la « négresse » dans la nouvelle - mise au point sur le registre pathétique Module 2 : Exercices d’entraînement (1 heure) Objectif : revoir la notion de point de vue ; reconnaître le mode d’énonciation d’un texte (narrateur extérieur ou intérieur à l’histoire). Activités : - exercices 1 et 2 p.175 in Méthodes et Techniques - exercices 7 et 8 p.31 in Expression (Magnard) - distribution d’une fiche mémo sur les trois points de vue À faire au propre pour le jeudi 25 septembre : exercice

- aspiration : la nature, le romantique et la nostalgie font la paire, la passion et le rôle de la nature jouent un rôle crucial. Stendhal utilise la passion amoureuse, il est réaliste. Mouvement littéraire : - réalisme (FLAUBERT, BALZAC) - naturalisme (ZOLA, MAUPASSANT) déterminisme sociale - symbolisme(BEAUDELAIRE) Stendhal se sert de fais divers comme source d’aspiration (ex : les personnages ont assassinés leurs amours respectifs) Les personnages :

commence par s’identifier à son personnage pour réintégrer ensuite sa position propre, d’où il voit le personnage comme un autre distinct de lui-même. Le romancier, donc, se pose comme la conscience englobante qui donne au personnage son achèvement. Flaubert dit crée ses personnages en « se transportant » dans ses personnages et non « en les attirant à soi » Mais si après s’être identifié à sa créature, le romancier se distancie d’elle dans un mouvement que Todorov nomme « exotopie », il n’en reste

kitch du romantique - Autre poncif romantique : état intérieur des perso fusionné au paysage extérieur - Nature personnifiée l5-9 elle est animé par des verbes de mouvements + préposition « pour » = intention de la nature + complicité de cet amour clandestin - Correspondance développée l13 : analogie sur plan sonore où tout communique -> parole, cœur qui trouve écho dans la nature bienveillante et protectrice - De cette manière Flaubert amène les « affinités électives » (titre roman de Goethe)

ces romans : -Le père Goriot : Balzac XIXe. -Lettres Persanes : Montesquieu XVIIIe. -L'Etranger : Albert Camus XXe. (l'absurde) -Jacques le Fataliste :Diderot XVIIIe. -Les Faux monnayeurs : André Gide XXe. -Madame Bovary : Gustave Flaubert XIXe. -Gils Blas de Santillane : Lesage XVIIIe. -La Princesse de Clèves : Marie-Madeleine de la Fayette XVIIe. -Les Gommes : d'Alain Robbe-Grillet XXe. -L'assomoir : Zola XIXe. (naturalisme) -Voyage au bout de la nuit : Louis-ferdinand

décasyllabe dans une succession de laisse. Genre oral et formulaire, riche en phrases toutes faites, à syntagmes fixes. Ex : l’épithète homèrique : « Achille aux pieds légers » 1)les techniques narratives : Omettre est l’inventeur : - du monologue intérieur - du début « in médias res » - du retour en arrière - du travelling, focalisation - alternances de scènes dialoguées et d’actions relatées. Aristote : La Poétique : « L’épopée va de pair avec la tragédie » le point commun : « des

l'environnement dans lequel le personnage ou les personnages vont fabriquer le roman. Le réalisme est moteur d'une grande partie de la littérature 5romanesque et de grands auteurs tels que Zola, Balzac ou encore Flaubert ont utiliser le réalisme pour légitimer leur roman, toutefois le rêve de Flaubert qui écrivait à Louise Collet était de faire un roman qui ne tienne à rien que par lui-même, il invoquait déjà la possibilité de se séparer d'un personnage central, d'une mimésis de la vie. Il s'agit ici, non

l’apparence d’un personnage. Le lecteur se trouve alors plongé dans l’univers personnel de l’auteur. Car rappelons avant tout que les réalistes ont pour but de représenter le réel, mais aussi de critiquer son fonctionnement. Dans Madame Bovary, Gustave Flaubert, maître du réalisme critique, penche vers le romantisme et fait preuve d’une certaine ironie dans certaines de ces œuvres afin de dévoiler son propre ressentit par rapport au destin pathétique des personnages. L’auteur dénonce également une jeunesse