Flexisécurité

conjoncturels. Ainsi, réduire durablement le chomage ne peut se faire qu'au prix de réformes structurels adéquates, et donc de réformer en profondeur la politique de l'emploi. Une des pistes étudiée pour réduire le taux de chomage est le recours à la flexisécurité, inspiré du modèle scandinave, comme nous l'avons vu précedemment. Ce qui nous intéresse ici, c'est de savoir si il est possible d'importer le modèle scandinave de flexi-sécurité. Nouss verrons que la transposition de ce modèle à la France

argumentée et structurée, illustrées d’exemples, vous exposerez les raisons qui expliquent le développement du travail précaire et la législation applicable. En conclusion, vous montrerez brièvement de quelle manière ce sujet illustre le concept de flexisécurité (flexibilité pour les employeurs, sécurité pour les salariés)._ Introduction : Le contrat de travail est un accord par lequel une personne (le salarié) s’engage à travailler pour le compte et sous la direction d’une autre personne (l’employeur)

de flexisécurité du marché du travail s’est progressivement imposée comme un idéal conciliant l’objectif de sécurité des travailleurs et les impératifs de flexibilité des entreprises. Elle répond à la logique selon laquelle il faudrait « équiper les individus pour faire fonctionner le marché plutôt que d’équiper le marché pour faire fonctionner les individus » (Gautié et Gazier, 2003). La stratégie européenne pour l’emploi lancée en 1997 s’est attachée à développer cette idée de flexisécurité dans

l’‛expression d’‛un rapport de force entre partenaires sociaux. Distinguer les causes du chômage et les remèdes selon les néo-classiques et les keynésien Définir demande effective, équilibre de sous-emploi, chômage involontaire, chômage structurel, Flexisécurité, Montrer les conséquences du chômage sur l'intégration sociale expliquer les processus de désaffiliation Indications complémentaires : En se limitant à une présentation graphique simple et en insistant sur les déterminants de l'offre et de la demande

nécessité de définir un véritable statut du travailleur, fondé sur l’ensemble des droits attachés à l’individu et non plus à son emploi. Dans le même contexte on a vu apparaître au Pays-Bas un concept nouveau de flexicurité. A. FLEXISECURITE a la française ? La contraction de flexibilité et sécurité est fréquemment employée pour désigner un système social conjuguant une grande facilité de licenciement pour les entreprises (flexibilité) à des indemnités longues et importantes pour

nouveaux outils que les politiques d’emploi et sociales pourraient avoir à leur disposition afin d’éviter la segmentation sur les marchés du travail et l’extension des inégalités. La flexisécurité et la qualification En 2007 une communication de la Commission a commencé à développer l’approche de la « flexisécurité »16. Une méthode visant à mieux faire fonctionner les marchés du travail en Europe. Celle-ci repose sur 4 composantes : flexibilité contractuelle (le droit au travail) : pour que les

Flexisécurité Aller à : Navigation, rechercher Le terme de «flexi-sécurité» (contraction de flexibilité et sécurité) désigne un dispositif social autorisant une grande facilité de licenciement pour les entreprises (volet flexibilité) et des indemnités longues et importantes pour les salariés licenciés (volet sécurité). Il repose sur l'idée apparemment paradoxale selon laquelle pour inciter les employeurs à embaucher, il faut faciliter la procédure de licenciement. Les PME hésitent en effet

trouver les bonnes mesures pour chacun des deux côtés. Le lissage ou un nouveau système concernant les seuils sociaux pourrait déjà être un bon moyen pour commencer. IV/ Comparaison avec d’autres pays européens : la notion de « flexisécurité » Nous avons vu précédemment que, malgré certaines réformes proposées et mises en place par le gouvernement, notamment avec la loi Macron et le projet de simplification lancé en 2014 et 2015, la France n’arrive toujours pas à sortir la tête hors

du cycle de vie et parce qu’il contribue à dégager des ressources publiques indispensables au respect de la limite des déficits publics à 3% du PIB et à la pérennité des régimes de retraite. L’inclusion active renvoie, à son tour, au concept de flexisécurité retenu à Bruxelles. Il s’agit de combiner la flexibilité du travail, imposée par la mondialisation et le passage à l’euro, et la sécurité du revenu en cas de chômage. Rendre le travail « payant » est, en effet, devenu la clé de voute de la stratégie

et hausse du pouvoir d’achat, phase de rattrapage technologique avec de forts I, P et C de masse, mise en place de l’Etat-Providence, bref tous les ingrédients keynésiens de la croissance, avec en prime un chômage marginalisé. * succès de la flexisécurité danoise dans les 90’s qui est davantage due à la politique d’investissement public permis par un taux d’intérêt plus faible que dans la zone euro. * loi d’Okun : corrélation inverse entre taux de croissance du PIB et taux de chômage. On peut