Foi musulmane

vouloir essayer de la rendre ainsi, car elle sera perçue différemment par d’autres personnes. Chaque religion est bonne. Croire que sa foi est vérité n’empêche pas, au contraire, de s’émerveiller devant les autres croyances. C’est une excellente occasion d’en savoir davantage sur elles. Et c’est aussi un très bon moyen d’approfondir sa propre foi : la façon dont les musulmans vivent le ramadan peut questionner notre approche du carême. Il ne s’agit pas de comparer ou de juger ou de tirer ce que l’on aime

l'effondrement de Rome. Il atteignit sa plus vaste extension au début du 9ème s. Charlemagne suscite un renouveau culturel qui influença le développement de l'art médiéval. Aux alentours de l'an 1000, malgré les menaces extérieures vikings et musulmanes les États chrétiens d'Europe commençaient à se relever. Au cœur de leur régénération était l'Église. Toujours plus imposant, surtout en architecture, l'art était encore presque exclusivement religieux. Une des conséquences fut une programme de construction

: I – La Foi Islamique : La première valeur qui saute à l’œil c’est la foi islamique ; 1 Ŕ la foi en Dieu : - La croyance en l’existence de dieu : * « la grandeur et la miséricorde de Dieu, créateur de toutes choses vivantes » * « Allah l’omnipotent …….qu’il soit glorifié ! Il n y a de Dieu que lui » p : 82 2 Ŕ La foi en anges : - La croyance en l’existence des anges : * « une foule immense d’êtres d’une incomparable beauté …c’étaient les anges du paradis » p : 89 3 Ŕ La foi en livres sacrés

La foi qui n'agit point, est-ce une foi sincère ? "La bonne foi est une vertu essentiellement laïque, que remplace la foi tout court" (André Gide).Dans les états occidentales modernes, on retrouve des courant, des lois et des législations visant à laicisé la société. Ces mesures, déja très ancienes et prenant origine dans la Révolution française de 1989, ont pour objectif prioritaire d'empecher toute interaction entre le fanatisme religieux et l'incoscient de chacun ou les rouages politiques de

jamais revenir. » (1) 1.2) Ma el Aïnine II incarne la figure du marabout, du chef spirituel et temporel des tribus insoumises qui refusent d'abdiquer devant les envahisseurs. Il représente la fidélité à la tradition, aux ancêtres, à la religion musulmane. Il se bat jusqu'au bout comme Abdel Kader en Algérie. C’est aussi un thaumaturge (guérison du guerrier aveugle), un mystique. « Quand Ma el Aïnine commença à réciter son dzikr (2), sa voix résonna bizarrement dans le silence de la place, pareille

serait donc pas question d’une confession mais plutôt de l’idée même de la religion, cette idée qui influence nos actions et notre manière de vivre. Si donc la religion est si difficile à définir, Kant explique qu’il faut parler de confession juive, musulmane, chrétienne et non de religion. Si il souligne ce point c’est que le terme confession est plus approprié, « cela se trouve être plus dans l’usage ». En effet, le terme confession désigne l’appartenance à une religion, la proclamation d’une croyance

exceptionnelle, le XIII siècle est un siècle de paix. Cependant, il faut donner au royaume de France un sens dans un contexte de croisade. Philippe Auguste, son grand-père, Louis VIII et Louis IX partent en croisade pour aller sauver Jérusalem de la pression musulmane. Mais l'idée de croisade est au bout d'un processus;il faut donc, dans un contexte de recomposition de la chrétienté, redonner de la ferveur religieuse . Ainsi St Louis devient le maître d’œuvre en rachetant à l'Empereur Byzantin les reliques de

jugement dernier. -610-622 tensions à la Mecque entre musulman et polythéiste -622 Hégire Muhammad et les musulmans de la Mecque s’installent à Médine. Entre 622-632 à Médine, Muhammad assume un rôle de leader -politique. - militaire  tension avec la Mecque, nécessite de montrer une structure militaire. pratique de la razzia comme alternative à la misère * Religieux Les Mecquois ne sont pas content que les musulmans soient là. Les Mecquois attaquent Médine surtout à cause

de « conflits de civilisations ». Jean-François Revel nous dit : « Les échanges entre civilisations ne sont féconds pour toutes qu’à la condition qu’aucune d’entre elles ne cherche à propager chez les autres une quelconque foi religieuse ou politique. Le communisme fut une foi politique encore plus répressive que ne l’avaient été les fois religieuses en leurs pires excès. Seule la liberté peut transformer les conflits en coopération et en fécondation réciproques. C’est pourquoi l’histoire nous montre

vocation et sa destinée. Dans ses thèmes abordant la passion de ce protagoniste pour son amour Awen (Colinne par la suite) et pour sa profession, sa lutte contre les épreuves dont lui réserve la vie mais toujours avec la présence de la religion et la foi en Dieu, comme M.Grégoire a très bien souligné ce point. Dans notre rencontre avec le personnage de Nivard, passant par la révolte le doute et l'art, auquel on s'attache très vite de par les épreuves face auxquels il a surmonté, face à son amour Awen