Fonction De La Mise En Abyme

; DJ lui coupe parfois la parole (ll 186-187) - Sg ne peut poursuivre la conversat° « libre » que par un moyen détourné.  la liberté d’expression que lui accorde DJ est relative ; ce dernier aime ê admirer par son valet et le provoquer  Sg fonctionne comme un miroir de DJ (+ qu’un dbl) - 3) L’apparition d’un personnage attendu représentation - annoncé dès le titre et présenté (de façon subjective) dans la scène précédente  enjeu de la scène + point de vue du spectateur (costume, ton

l’amour illicite. Il y a dans son œuvre l’amour incestueux de Myrrha pour son père (elle est transformée en laurier), l’amour vénal, l’amour heureux (le seul exemple est Pygmalion et Galatée), et l’amour malheureux (Orphée et Eurydice, etc). → Mise en abyme : terme emprunté à l’héraldique (la science des blasons), Michel Pastoureaux étudie ce sujet. C’est le phénomène du « blason dans le blason » Ex : Van Eyche, Les Armolfini 2) L'œuvre Les métamorphoses sont un ensemble de 12000 vers, il ne

règle de bienséance(pas de sang sur la scène, pas de morts). Le texte théâtrale relève de la littérature mais également du spectable, de plus le théâtre se repose sur des conventions, c'est à dire des codes compris et admis du public. L'art de la mise en scène exploite ces conventions grâce a des choix esthétiques que le public déchiffre et interprète. C’est à travers la parole théâtrale que passent tous les éléments nécessaire à la compréhension mais aussi à la représentation d’une pièce. Elle

de culture générale et d’expression du BTS Présentation de l’organisation de l’année Examen critique de l’épreuve de BTS de la session de juin 2008 (composition du corpus, formulation des sujets de synthèse et d’écriture personnelle, mise en valeur de la nécessité d’une démarche méthodique pour répondre aux contraintes de temps et de technique) Séance 2 : Savoir identifier les documents d’un dossier de synthèse L’analyse du paratexte des documents d’un corpus Recherche

personnages, la mort est aussi présente, Isabelle par exemple la mentionne à plusieurs reprises (acte IV scène 1, et acte V scène 5), ce discours est atténué par le fait que ce ne soit en réalité qu’une pièce de théâtre. Au début la mort possède une fonction symbolique, le père veut se donner la mort suite à son désespoir. De plus le camp lexical de la mort est plus que présent, Clindor se voit possédé par la mort. Plusieurs antithèses sont mises pour accentué le coté fatal et irrémédiable de la mort

parallèle est caractéristique du roman car il suit une trame, une intrigue. Le roman traditionnel est ainsi le lieu d’un monde à part où le lecteur se projette. * Jacques le fataliste de Diderot, montre cette dimension car il présente un cas de mise en abyme du lecteur avec un narrataire qui n’hésite pas à montrer sa curiosité pour entendre la suite des amours de Jacques. B- L’imaginaire du lecteur * Cela constitue un lieu unique, chaque lecteur a une appréhension différente du sujet. Lorsque

anaphorique, sauf si on considère que Marguerite Duras fait entrer son lecteur dans le roman déjà commencé de Peter Morgan. En réalité, on ne saura jamais le nom de la jeune fille désignée par ce pronom. Surprise par rapport au titre qui correspond à une fonction occupée par un homme. De nombreuses phrases commencent par le pronom « elle » en anaphore. Les informations sur « elle » sont livrées par bribes. On finit par l’assimiler à une sorte de Petit Poucet à l’envers, ce qui lui donne une

numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : erudit@umontreal.ca Document téléchargé le 5 December 2012 11:19 V u Espaces sacres « Albertine, en cinq temps Texte de Michel Tremblay. Mise en scène : Martine Beaulne, assistée d'Allain Roy ; scénographie : Claude Goyette ; costumes : François Barbeau ; éclairages : Michel Beaulieu ; musique : Claude Lamothe. Avec Sylvie Drapeau (Albertine à 30 ans), Élise Guilbeault (Albertine à 40 ans)

Phèdre 3 1) L’âme 3 2) Le monde des Idées (intelligible) 3 3) De l’amour à la philosophie 4 III. La parole dans le Phèdre 4 1) Les formes de la parole 5  Le dialogue 5 Le caractère théâtral de la parole 5 Les paroles mises en abyme 5  Les trois discours 6 Le discours de Lysias 6 Le premier discours de Socrate 6 Le deuxième discours de Socrate (palinodie) 7 Conclusion 7  Les mythes 7 Le mythe de l’art et de l’amour 7 Le mythe des cigales 8 Le mythe de Theuth

« restitue à peu près l’atmosphère difficile de cette époque ». 4. Cet épisode se situe à l’Opéra municipal ; Camus utilise un schéma narratif fréquent : bien des scènes romanesques se situent à l’opéra ou au théâtre. Mais  ici l’Opéra a une fonction particulière : les Oranais y viennent chercher l’oubli, au moins momentané, du fléau qui les accable. Tarrou et Cottard font partie ce soir-là du public et assistent à la représentation d’Orphée et Eurydice jouée depuis plusieurs mois puisque les