Fondamentalisme

maintenir cette unité dans le principe lui-même », écrit Hegel dans Les Principes de la philosophie du droit. Cependant, aujourd’hui, certaines tendances sociales et politiques visent à s’écarter de ce principe. Les conflits inter-ethniques, les fondamentalismes religieux, les inégalités sociales profondes etc. produisent des exclusions et des processus d’enfermement sur soi. Dès lors, une partie de la population ne se reconnaît plus d ans l’Etat et a le sentiment de ne plus être reconnu et de ne plus

attentats incessants. La seule réussite c’est la mort de Ben Laden. Du coup les Etats-Unis semblent réviser leur position, ils entendent un dialogue avec l’Iran pour que celui-ci renonce à l’arme atomique, mais aussi parce qu’il redoute moins le fondamentalisme religieux chiite que sunnite.

arrive comme prédicateur. Il y a un contraste (« clivage ») : les traditionnels (jouent leurs rôles, les chefs ont l’air liés à l’anthropo et ont contribués à ce qu’elle filme le + possible) En même tps, c’est ce même chef qui a introduit le fondamentalisme et qui est prédicateur. Donc religion très présente dominante ds les iles environnantes, ils sont donc sous la pression de ce qui vient de l’extérieur, mais c’est quand même lui qui l’introduit. Et il le fait avec un style qui ne lui est pas vrmt

libérateur à condition d'accompagner la mutation technique par une mutation sociale. Dans ce contexte, la crise du progrès et les incertitudes du lendemain soit réduisent le vivre à un " au jour le jour ", soit transforment les ressourcements en fondamentalismes ou nationalismes clos. D'où les gigantesques problèmes de civilisation qui nécessiteraient mobilisation pour : humaniser la bureaucratie, humaniser la technique, défendre et développer les convivialités, développer les solidarités. Tous ces

mouvement de mécontentement de la part de la jeunesse très nombreuse et peu intégrée au monde du travail ( réforme politique par le roi Abdallah depuis 2005 o attitude ambiguë vis-à-vis des islamistes (AS à la fois défenseur du fondamentalisme et en guerre contre les attentats sur son sol), et des Etats-Unis (considérés comme les protecteurs mais aussi par certains dirigeants comme l’empire du Mal). Refroidissement des relations avec les EUA depuis 9/11 (les terroristes

manifeste une cohésion plus attractive, si loin qu’il faille parfois chercher en profondeur des principes existants ou préexistants. Des itinéraires différents, par conséquent, mais qui tendent quant même, en général et loin de tous fanatismes ou fondamentalismes, à assurer un accord de l’univers des formes juridiques avec l’évolution sociale. Bref à satisfaire aux exigences inhérentes tant à l’ordre qu’au progrès. C’est alors qu’on passe nécessairement de la genèse à la destinée. Mais, là encore,

imposer ses croyances. Les DDH ne peuvent pas toucher aux croyances et chacun peut avoir sa propre lecture des livres religieux en matière de DDH. La liberté de conscience, c’est aussi la liberté d’avoir une lecture personnelle de la religion. Fondamentalisme : régler sa vie comme on l’entend, sans contrainte sur les autres. Intégrisme : application d’une croyance à l’intégralité de la société. Les DDH s’immiscent dans un moment où certains Chrétiens ont réinterprété de manière humaniste leur religion

le contrôle de tous les leviers politiques, économiques et sociaux du pays selon des moyens et méthodes autoritaires dont vous pourrez trouver la description détaillée dans un article paru il y maintenant près de vingt ans. Face à la montée du fondamentalisme qui progresse à la faveur de tous les bouleversements actuels du monde arabe, son successeur se retrouve comme les Juifs en Israël, le dos à la mer avec le seul choix de vaincre ou mourir. Les Alaouites ont été rejoints dans leur résistance par

Mustafa Kemal Atatürk est le fondateur et le 1er président de la République turque, il est élu pour la première fois le 24 avril 1920, puis il est réélu le 13 août 1923. Depuis 1952, la Turquie laïque se dresse comme un rempart naturel devant les fondamentalismes enfantés par l’Islam arabe, persan ou caucasien. Cette situation a pour conséquences, la promesse faite à la Turquie de devenir un jour un membre à part entière de l’Union Européenne à condition de réformer son système et de devenir plus démocratique

utopique. Il élabore ainsi, avec une verve certaine qui le distance définitivement du style des exégèses classiques institutionnalisées des ulémas (tasfir), des outils théoriques afin de penser une « réforme moderne de l’Islam, mais en des termes de fondamentalisme (au sens étroit) avec un degré de holisme Islamique. » (W. Shepard). En effet, dans un contexte de politique nassérienne de formation d’un Etat indépendant qui veut faire de l’Egypte une nation indépendante moderne, et cela en instrumentalisant