Fontaine d'Eure

Expression proverbiale du temps de La Fontaine qui fait référence à la ruse du renard. Elle remonterait au moins à Plutarque qui écrivait dans « Les vies des hommes illustres », chapitre XI « Quand la peau du lion n'y peut fournir, il y faut coudre aussi celle du renard. Jacques Schiffrin note que dans sa « Lettre à Monsieur de Turenne », La Fontaine écrit « Quoi ! la bravoure et les matoiseries ?... / Vous savez coudre . . . / Peau de lion avec peau de renard » (« La Fontaine - OEuvres complètes, tome I »

Malade Imaginaire" de Molière, représentation donnée par sa troupe un an après sa mort, devant le Roi et sa Cour à la grotte de Thétys, dans les jardins du château de Versailles. Molière (1622 - 1673) Jean Racine (1639 - 1699) Jean de La Fontaine (1621 - 1695) Charles Perrault (1628- 1703) Corneille (1606 - 1684) Mlle de Villandon (1664 - 1734) Mme de Beaumont (1711 - 1780) Mme d'Aulnoy (1650 - 1705) _En Peinture "L'inspiration du poète" de Nicolas Poussin vers 1630 (musée du

Rosette le découvre.  Scène 4:  Maître Blazius apprend au baron que Camille tapait Pluche pour qu'elle aille donner une "lettre d'amour" à ce que eux pensent être un "gardeur de dindons".  Scène 5:  Camille rencontre finalement Perdican à la fontaine, comme le lui demandé son papier.  Elle lui demande si elle fait bien d'aller en couvent, elle dit qu'elle y va car elle ne veut pas souffrir les douleurs d'un amour fini...  Il discute, mais finalement, pas de réponse.  Acte III :  Scène

héroïque caractérisé par l’enchainement d’action, l’emphase : par accumulation d’adjectifs et de verbe l’emploi de nombreux superlatif et des adverbes d’intensité. Le second texte relève du genre de la poésie un peu à la manière des « Fables de la fontaine », l’auteur utilise les registres ironiques et caricaturales pour servir son but qui est de ridiculiser le personnage. Il utilise alors des exagérations ou des formules péjoratives et des formes d’opposition. 3. Il s’agit d’une caricature, on

« Les grenouilles qui demandent un roi » Jean de La Fontaine Comparaison avec Esope (« les grenouilles qui réclamaient un roi ») et Phèdre (Introduction)  « Les Grenouilles qui demandent un roi » est la quatrième fable du livre III du premier recueil des Fables de La Fontaine, édité en 1668. Jean de La Fontaine (1621-1695), maître des eaux et forêts, est un écrivain et poète dramaturge, moraliste et romancier français du XVIIe siècle. Il publie des fables entre 1664 et 1693, organisées

b. Un monde merveilleux * Ligne 2 : « les moutons volants » * ligne 6 : « matière du portail » * Ligne 13 : « duvet du colibri » * Ligne 7 : « prodigieuse » * Ligne 32 : « liqueur de canne à sucre » * Ligne 32 : « fontaines d’eau rose » * Ligne 36 : « girofle et cannel » * Ligne 11 à 12 : « sol d’or et pierres précieuses » c. Un monde organisé. * Ligne 15 : « Sa Majesté » * Ligne 13 à 14 : « grand officier, grand Officière » * Ligne 10 : « filles

               Respect de chaque genre car elles assurent la cohérence de l'oeuvre d'art: il faut encore un "je ne sais quoi", le charme qui séduit, le sublime qui boulverse. VI-Les acteurs du classicisme: En littérature: Molière, Racine, La Fontaine... Le classicisme apparait également dans la peinture, l'architecture, le jardin et la musique. 

TEXTE BAC N°2: La Besace, La Fontaine: Intro: La Fontaine, auteur classique et cultivé du 17ème siècle, est connu principalement pour ses fables, qu'il regroupa en 12 recueils de 1668 à 1694. Ses fables, inspirées de Esope pour les grecs et de Khalil et Dina pour les arabes, sont connus de tous, principalement des enfants qui les apprennent par cœur depuis leur plus jeune âge, mais aussi des adultes, puisque les apologues de La Fontaine ont une visée sociale, politique ou philosophique,

Comment La Fontaine critique-t-il la cour? I- Un récit théâtral 1. Une exposition tragique * Comme dans les pièces antiques où le coryphée venait exposer les prémices de l'action, le narrateur vient ici exposer le début de l'histoire a la troisième personne; on a d'ailleurs toutes sortes de références au monde antique. On trouve «l'Achéron» (vers 5), «le ciel en sa fureur» (vers 2), «de pareils dévouements» --- > périphrase sacrifices antiques (vers22). D'emblée, La Fontaine inscrit son

des anciens. Les écrivains classiques, à leur tour, les imitent car ils pensent que les grands auteurs de l'antiquité avaient atteint la perfection, prouvée selon eux par la durée de leur renommée. Molière a ainsi imité Plaute, Racine Sénèque, La Fontaine le fabuliste grec Esope. La grande question du XVIIe siècle est la question religieuse. Les écrivains classiques sont donc nécessairement pétris de culture religieuse. Certaines œuvres, comme Les Provinciales de Pascal ou l'œuvre de Bossuet relèvent