Forces De La Concurrence Secteur De La Sidérurgie

houillères ainsi qu’à leur équipement vétuste (+salaires mineurs relativement élevés grâce aux avantages acquis pendant la guerre). A l’image du charbon, la plupart des industries anglaises traditionnelles traversent une véritable crise (le coton, la sidérurgie, les chantiers navals, les constructions mécaniques) due à la concentration insuffisante des entreprises, au manque de dynamisme du patronat, à l’ancienneté de l’équipement, aux charges fiscales élevées ainsi qu’aux hauts salaires (40% de + qu’en

pour desservir une population de 18 millions de consommateurs. ■ Le marché occupe une superficie de 232 hectares aménagés proches de la saturation (95 % de taux d’occupation). Une forte spécialisation marque l’organisation des bâtiments répartis en secteurs d’activités : – des entrepôts (produits de la mer, fruits et légumes, produits laitiers, produits carnés…) ; – des administrations et des activités de services collectifs (restaurants, commerces, banques, location automobile) ; – des centres de bureaux

industrie n’aura pas connu de réel développement même si certaines matières, telles que le bois, voient apparaître de nouveaux débouchés. Malgré la crise économique qui aura eu des impacts sur les volumes collectés et le Chiffre d’affaires de notre secteur, notre industrie compte aujourd’hui 2500 établissements répartis sur l’ensemble du territoire. a proximité des gisements, notre industrie constitue donc un réseau uni et professionnel, plus que jamais prêt à relever les défis environnementaux, économiques

DOSSIER Industrie : le positionnement stratégique du Royaume Longtemps dominé par les industries du textile & cuir et de l’agroalimentaire, le secteur industriel marocain s’est fortement diversifié intégrant aujourd’hui les nouvelles technologies et les industries de pointe. Dossier réalisé par Rachid Alaoui conjoncture@cfcim.org Maroc : quelle politique industrielle ? Interview avec Abdellah Amallah, professeur à l’ISCAE Emploi : la chasse aux profils qualifiés Des incitations pour stimuler

1974-1975 connaissent un recul du PIB, une montée du chômage et une poussée inflationniste : ce tournant se nourrit de l’ébranlement monétaire de 1971-1973, de l’essoufflement du fordisme, des mutations de la hiérarchie et de la distribution des secteurs de production et du premier choc pétrolier, qui agit comme un détonateur. Elles ouvrent une nouvelle période, à la fois en continuité et en rupture avec les « trente glorieuses » : conjoncture plus cyclique, poursuite de la croissance (le PIB par

.................................................................... 31 1 b.2.1. Le secteur agricole ................................................................................................................................ 31 b.2.2. L’industrie ....................................................................................................................................... 31 b.2.3. Le secteur des services .........................................................................

la terre, source de prestige. Pour tenter de résoudre ce problème, expérience menée par John Law, sur la base de deux idées : celle du rôle moteur de la monnaie dans l'économie ; celle de la nécessité d'une bonne orientation des capitaux vers des secteurs productifs. D'où deux mesures : création d'une banque privée (1716) destinée à créer de la monnaie papier, ce qui doit permettre de donner de la souplesse au système monétaire, d'augmenter la circulation monétaire et donc de "doper" l'économie ;

commerce international : c’est ce qui se produisit après 1929 ; les principales nations cherchent alors à se protéger de la concurrence étrangère rendue responsable de l’approfondissement de la dépression. Cette fermeture des frontières contribue au renforcement de la dépression. Ces tendances à la protection s’appuient sur une idée simple : les importations sont une concurrence inacceptable, à l’origine de l’accroissement du chômage. L’actualité aujourd’hui est celle des chiffres des échanges internationaux

l’économie, qui obligent les banques à effectuer des crédits à taux bonifiés à certains secteurs jugés prioritaires. Depuis 2011 et la prise fonctions de Dilma Rousseff, d’autres axes ont été ajoutés à la nouvelle version du PAC : - réformer les institutions et prendre des mesures favorisant l’économie et l’égalité sociale : les mesures d’allègement fiscales prises depuis 2007 ont permis à certains secteurs de se développer de manière considérable et de stimuler les investissements ; - développer

d’anciens dirigeants d’usines d’État. La quasi-totalité de l’industrie et des mines sont privatisées, mais en maintenant les combinats (grands ensembles industriels polyvalents, datant de l’ère soviétique : sidérurgie, chimie, textile, etc.)). L’État possède encore des grandes entreprises, en concurrence avec des sociétés privées. Les kolkhozes et les sovkhozes ont été transformés en sociétés privées, dont les paysans sont souvent salariés (les paysans indépendants sont moins de 5%) : malgré des « terres