Formes De Gouvernement Selon Aristote

avec les premiers auteurs (Homère, Hésiode) à un discours logique et démonstratif (Platon, Aristote)   Et encore, les Grecs ont inventé la logique, l’induction, la déduction, le syllogisme, le principe d’identité,…le théâtre, le rapsode,…la tragédie (Eschyle, Sophocle et Euripide) et la comédie (Aristophane), l’Histoire (Hérodote, Thucydide)   Les Grecs ont l’idée de changer le système de gouvernement, ils ont supprimé le Roi et ont créé une organisation de la cité où chaque citoyen peut intervenir

dernière approche qui intéresse le plus la sociologie politique. Le qualificatif politique possède plusieurs sens : A l’origine dans la cité grecque, le mot politique désigne les affaires de la cité c’est-à-dire par extension ce qui concerne le gouvernement du groupe. En tant qu’adjectif, il renvoie principalement à une activité particulière qu’exerce certains individus ou des institutions. On va parler d’hommes politiques ou encore de juridictions. Par extension, on parle souvent de décision politique

L’argent est plus honorable que le gouvernement, car on ne peut pas vivre sans argent, et on peut très bien vivre sans exercer un gouvernement » ; l’argent est « honorable », « droit », « décent ». Ces raisons suffisent à supprimer toute honte par rapport à la recherche, à la possession et à la dépense de l’argent. C’est pourquoi certains font même de la richesse (possession d’argent ou de biens monnayables) un but de la vie, et un synonyme de bonheur (cf. Aristote, Ethique à Nicomaque, l. 1). C’est

qu’un philosophe. Sous la plume de platon il représente plus qu’un courant d’idée, les tendances naturelles du peuple. Un autre auteur décrit par platon, Calices. On le connait dans le récit «  le Gorgias ». Il prône également la loi du plus fort. Selon lui les lois sont également une convention imposée par un groupe d’hommes qui sont les plus faibles dans la cité qui essaient d’imposer leurs lois aux plus forts. Sans la contrainte de la loi les plus forts pourraient s’imposer aux plus faibles, les

Puisque celui qui commande a aussi le besoin d’obéir dans un autre secteur. L’autorité suppose une obéissance, mais l’obéissance peut parvenir de la contrainte ou de la confiance, la contrainte ne suffit pas à maintenir l’autorité, là où les gouvernements se maintiennent par la contrainte elle est renversé par un putsch par exemple. Max Weber à qualifier l’autorité en trois classes : -> Autorité traditionnelle. (Transmission du pouvoir à travers le respect de la tradition.) -> Le mode charismatique

République pour les Affaires Economiques et Sociales, …) et en institutions non officielles telles que les partis politiques et les groupes de pression. La vie de ces institutions, par exemple les rapports entre une majorité parlementaire et le gouvernement, constitue aujourd’hui, un élément déterminant pour la compréhension des systèmes constitutionnels. C’est pourquoi, certains auteurs parlent de cours de constitution et institutions politiques alors que d’autres parlent d’institutions politiques

n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice », cette phrase extraite de L’Esprit des lois publié pour la première fois en 1748 est de Montesquieu. Bien que la distinction des trois principaux pouvoirs remonte à l’antiquité avec Aristote, le principe de séparation des pouvoirs est formulé par John Locke mais surtout par Montesquieu à l’époque où le roi disposait de tous les pouvoirs se fondant sur la souveraineté de droit divin. La séparation des pouvoirs est le principe qui tend

d’une norme crée par le législateur. Dans notre façon de penser tout les jours le droit est un pouvoir de donné par le législateur. Dans notre façon de penser tout les jours, le doit est un pouvoir donné par les législateurs. Le volontarisme : idée selon laquelle la volonté elle-même est à l’origine du droit. Vision récente à l’échelle de l’Histoire de l’humanité  Apport des anciennes civilisations Les sociétés traditionnelles voient un lien très fort entre le divin et le droit. Le droit est limité

acte par lequel l’esprit adhère à une proposition ou affirme la réalité d’une chose, sans pouvoir en administrer la preuve. Du latin sapere, avoir la saveur de, avoir de la pénétration ou encore comprendre quelque chose. L’acte de savoir comporte des formes et des degrés très différents, allant du simple savoir-faire, fondé sur l’expérience et la pratique, à la connaissance scientifique, qui s’appuie sur une construction théorique et abstraite de l’objet considéré. La croyance implique l’affirmation

sens strict du terme, théologien il tente cependant une définition du droit qui imprégnera pour longtemps plus de 1000 ans la pensée occidentale. Il opère une distinction entre les lois profanes et les lois divines. Les premières seraient injustes selon lui. A ce titre saint Augustin tient que les institutions profanes ne sont pas du droit. En cela, il reste fidèle à la tradition des philosophes et des juristes gréco-romains qui ne nomme droit que ce qui est juste. A partir de ce moment, le droit