Formule de Leibniz

peindre » et, par-delà, celui de décrire « l’humaine condition ». Bacon (philosophe) (1561-1626), philosophe anglais et homme d’État, un des pionniers de la pensée scientifique moderne. Hobbes (1588-1679), philosophe anglais, auteur de la célèbre formule « l’Homme est un loup pour l’Homme » et d’une description du comportement humain selon une perspective mécaniste et naturaliste. Descartes (1596-1650), philosophe, scientifique et mathématicien français, un des promoteurs du rationalisme moderne

Cicéron ; Épictète ; Marc Aurèle ; Sextus Empiricus ; Plotin ; Augustin ; Averroès ; Anselme ; Thomas d'Aquin ; Guillaume d'Ockham. • Période moderne : Machiavel ; Montaigne ; Bacon ; Hobbes ; Descartes ; Pascal ; Spinoza ; Locke ; Malebranche ; Leibniz ; Vico ; Berkeley ; Condillac ; Montesquieu ; Hume ; Rousseau ; Diderot ; Kant. • Période contemporaine : Hegel ; Schopenhauer ; Tocqueville ; Comte ; Cournot ; Mill ; Kierkegaard ; Marx ; Nietzsche ; Freud ; Durkheim ; Husserl ; Bergson ; Alain ;

dernière suffit à lui en couper l’envie. PANGLOSS Il est le précepteur de Candide, de Cunégonde et de son frère. Il est aussi le compagnon du début de voyage de Candide. Il prône la doctrine leibnizienne (du philosophe et scientifique allemand Leibniz, 1646-1716), touchant plus au sophisme (raisonnement faux malgré une apparence de vérité) qu’à la philosophie et qui gagne en ridicule au fur et à mesure de l’avancée du récit. Voltaire, étant à l’opposé de cette doctrine, la caricature volontairement

commun parlerait plus volontiers d’un progrès de la recherche ou de la connaissance scientifique – et à ce propos, il ne fait aucun doute pour personne qu’il existe bien un progrès de ce type. Après cette première réaction d’étonnement, je peux formuler les question suivantes, afin de questionner l’intitulé du sujet : pourquoi parler de vérité « scientifique » et pas simplement de vérité ? En quoi une vérité de nature scientifique serait-elle différente, par exemple, d’une vérité historique ou

de s'étonner. La première démache de la philosophie va être de démolir ces opinions. C'est ce que visent d'ailleurs la philosophie « le doute » de Descartes, mais aussi l' « ironie » de Socrate. « Connais-toi toi-même » disait-il, reprenant la formule inscrite dans le fronton du temps d'Apollon à Delphes. Il entendait par là «  soucie-toi/prends soin de toi ». Le savoir le plus important était selon lui la connaissance du bien. Il disait d'ailleurs « Nul n'est méchant volontairement », et faisait

articles de l’Encyclopédie. Mais l’histoire littéraire a consacré son Candide comme type parfait du conte philosophique, sinon comme chef-d’œuvre de notre écrivain.  1. Ingrédients traditionnels de la phase initiale du conte Voltaire recourt à la formule classique du conte: «Il y avait en Westphalie» pour entamer son récit. Il l’inscrit de cette façon dans un genre codé auquel il le rattache et à partir duquel le lecteur pourra mesurer l’écart. Il reprend également toutes les tendances langagières

fait que l’opinion contrairement à la Science est subjective. En effet, si la Science était subjective donc soumise au jugement du scientifique qui la pratique, celle-ci dépendrait des intérêts du scientifique et ne pourrait donc par conséquent formuler aucune explication précise et vraie. De plus dans le même schéma, la Science finirait également par se désintéressait de certaines choses si elle devenait dépendante de l’utile. Bachelard propose donc une solution, afin d’éliminer ces opinions

- Hypocrisie religieuse mais aussi, finalement, responsabilité religieuse de la traite des noirs. - Exister C. De la philosophie de Leibniz - La philosophie de Leibniz est également attaquée dans cet extrait. - Voltaire fait de Pangloss le porte-parole du providentialisme de . Il y déforme volontairement sa doctrine en la réduisant à la formule: « tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Le mot « optimisme » est ainsi utilisé à deux reprises en l’espace de deux lignes

donc que les conséquences de nos opinions. Ainsi, même la vertu en apparence la plus étrangère à l'intelligence, [12] se réduit, en définitive, au savoir : il suffit de connaître le bien pour le faire.  « Je ne méprise presque rien »    Cette formule de Leibniz  résume  une conséquence de l'intellectualisme  socratique. Si tout homme  choisit le bien, tel qu'il lui apparaît, il est possible de communier avec son inspiration, même lorsqu'on réprouve ses choix. Une option contestable, en effet,  consiste 

blasé qui reçoit Candide et Martin dans son palais. 5.12 Pangloss Précepteur au service de la famille Thunder-ten-Tronckh, ce philosophe allemand enseigne la métaphysico-théologo-cosmolonigologie et professe un optimisme béat, répétant d’après Leibniz que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Son nom – en grec tout en langue – reflète son bavardage impénitent et le vide de ses constructions verbales. 5.13 Jardinier turc Bon vieillard rencontré par Candide aux abords de Constantinople