Formule de Leibniz

ce qui est par nature prédicat d’une pluralité et par particulier ce qui ne l’est pas». L’universel c’est un ensemble de prédicat de chose, ce qui est exprimé dans un terme général. B – Le problème des universaux Le problème des universaux a été formulé par Porphyre dans Isagogue : « Il s’agit en ce qui concerne les genres et les espèces de savoir si ce sont des réalités subsistantes en elles-mêmes, ou seulement de simples conceptions de l’esprit, et s’ils sont corporels ou incorporels et s’ils sont

occidentale, par le détour de l’orientalisme, très fréquent à cette époque, que l’on retrouve d’ailleurs dans les Lettres Persanes de Montesquieu, ou encore dans Les Contes des Milles Et Unes Nuits. Il soutient également tout au long du récit, la thèse de Leibniz, sur une potentielle «Destinée». Dans cet extrait, Voltaire s’efforce particulièrement à dénoncer les limites de la Justice, tout en déroulant le fil de la Destinée de son personnage principal, Zadig. Nous essayerons donc, dans un premier temps, d’analyser

« sans raisonner » car « c’est le seul moyen de rendre la vie supportable » (l.136-137).   ð     La parole du philosophe est empêchée ou coupée, car considérée comme inutile. Ainsi à la proposition de Pangloss de philosopher (sur des thèmes chers à Leibniz), la seule réponse du derviche est de lui claquer la porte au nez (l.86-87) ! Quant à Candide, il met fin au long discours inutile de Pangloss récapitulant les rois morts de mort violente (l.131).   ð     Ce qui n’empêche pas le philosophe d’entamer

et « des fenêtres » (l.12) prouvent la multitude des pièces et la richesse du baron de Thunder-ten-tronckh. L’adjectif évaluatif et mélioratif « beau » dans l’expression « un très beau château » (l.37) est la seule caractéristique du château. La formule « il y avait » introduit le texte sous la forme d’un conte onirique. De plus, nous pouvons dresser le champ lexical de l’aristocratie avec les termes « baron » (l.1), « quartiers » (l.9), « seigneurs » (l.11), « château » (l.12) et « baronne » (l

chrétienté. La Renaissance, vers 1600 La censure est beaucoup moins présente, ce qui leur permet de faire de grandes découvertes. Les grands philosophes sont aussi à cette époque de grands scientifiques. Philosophes : Hobbes, Descartes, Pascal, Leibniz, Spinoza. Le siècle des Lumières, vers 1700 Révolution française. Encyclopédie. Droits de l’homme. Philosophes à préoccupations sociopolitiques : Rousseau, Hume, Kant, Fichte Le XIXème siècle, vers 1800 Révolution industrielle. Règne napoléonien

extraits ? • comment la question de l’existence du Mal est-elle résolue dans les deux extraits ? • en quoi la semi cécité est-elle symbolique ? Prolongement : lecture de l’extrait du chapitre 30 de Candide Objectif : remise en question de la thèse de Leibniz. Séance 7 (2h): lecture analytique du chapitre 19. Objectif : la résolution du conte. Axes d’étude : • une dernière page traditionnelle de conte Page 3 • une fin ouverte Questions préparatoires : • quels éléments de cette fin paraissent parodier

pour légitimer en quelque sorte l'acte guerrier ( ligne 13 ). Justification philosophiques : le raisonnement accrédite la guerre comme l'indique la reprise d'un terme de philosophie de Leibniz « la raison est suffisante » ( ligne 7 ), « des effets et des causes » ( ligne 14 ), « meilleur des mondes » = formule de Pangloss. Justification d'ordre légal : « droit public » ( ligne 17 ) = l'acte guerrier est une fois de plus légitimé par une référence au droit international qui régit les relations

pour légitimer en quelque sorte l'acte guerrier ( ligne 13 ). Justification philosophiques : le raisonnement accrédite la guerre comme l'indique la reprise d'un terme de philosophie de Leibniz « la raison est suffisante » ( ligne 7 ), « des effets et des causes » ( ligne 14 ), « meilleur des mondes » = formule de Pangloss. Justification d'ordre légal : « droit public » ( ligne 17 ) = l'acte guerrier est une fois de plus légitimé par une référence au droit international qui régit les relations

extraits ? comment la question de l’existence du Mal est-elle résolue dans les deux extraits ? en quoi la semi cécité est-elle symbolique ?   Prolongement : lecture de l’extrait du chapitre 30 de Candide Objectif : remise en question de la thèse de Leibniz. Séance 7 (2h): lecture analytique du chapitre 19. Objectif : la résolution du conte. Axes d’étude : une dernière page traditionnelle de conte une fin ouverte Questions préparatoires : quels éléments de cette fin paraissent parodier le

n’implique aucune orientation doctrinale définie. De même que la mise en correspondance des notions de la deuxième colonne à celles de la première, elle vise uniquement à définir une priorité dans l’ordre des problèmes que ces notions permettent de formuler. Les notions figurant dans l’une et l’autre colonnes ne constituent pas nécessairement, dans l’économie du cours élaboré par le professeur, des têtes de chapitre. L’ordre dans lequel les notions sont abordées et leur articulation avec l’étude